Que vous soyez un coureur aguerri ou bien saisonnier, intégrer un programme de musculation pour coureur à votre semaine est une clé de succès pour vous tenir loin des blessures!
Pourquoi? Parce qu’avoir une bonne capacité musculaire vous aide à utiliser efficacement vos muscles, autant en force qu’en endurance.
De plus, développer votre musculature vous aide à avoir un bon contrôle moteur pour optimiser votre patron de course. Tout est lié! Un programme de musculation n’a pas besoin d’être réalisé quotidiennement, vous pouvez le réaliser entre 2 et 3 fois par semaine afin d’avoir un gain notable!
Pourquoi? Pour augmenter votre stabilité et votre force au niveau des ischio-jambiers et des fessiers.
Comment? En équilibre sur un seul pied, vous venez tranquillement pencher votre tronc vers l’avant tout en laissant lever votre jambe arrière (tel un balancier). Vous devriez sentir un recrutement de vos fesses et de l’arrière de vos jambes.
Combien? Tentez de réaliser 10 répétitions sur une seule jambe avant de changer. Nous vous recommandons de faire entre 2 et 3 séries par jambe.
Pourquoi? Pour augmenter votre force au niveau des quadriceps et travailler le contrôle de votre mouvement comme lors de la phase d’absorption dans votre foulée de course.
Comment? Au départ, vous avez vos deux pieds côte à côte. Faites un grand pas vers l’avant. En contrôlant la flexion de votre genou, descendez vers le sol jusqu’à avoir un angle de 90° de flexion pour votre genou avant et pour celui en arrière. Votre poids devrait se situer dans votre talon du pied avant et votre genou ne devrait pas dépasser vos orteils. Vous devriez sentir un recrutement de vos cuisses (avant et arrière de la cuisse)
Combien? Tentez de réaliser 10 répétitions sur une seule jambe avant de changer. Nous vous recommandons de faire entre 2 et 3 séries par jambe.
Pourquoi? Pour augmenter votre force des mollets. Ce sont des muscles extrêmement sollicités lors de la pratique de la course à pied. Ce sont eux qui vous propulsent vers l’avant et qui vous aideront à être plus dynamique dans vos montées.
Comment? Sur les deux pieds, venir monter sur le bout de vos orteils, maintenir la position la plus haute et redescendre en contrôle.
Combien? Tentez de réaliser 15 répétitions sur deux jambes et faites entre 2 et 3 séries. Vous pourriez augmenter la difficulté en réalisant le même exercice sur une seule jambe.
Pourquoi? Pour augmenter votre force au niveau des quadriceps et travailler le contrôle de votre mouvement comme lors de la phase d’absorption dans votre foulée de course principalement en descente de côtes.
Comment? Vous partez en équilibre sur une seule jambe, descendez en contrôle, comme si vous descendiez un escalier. L’objectif est de contrôler la descente!
Combien? Tentez de réaliser 10 répétitions sur une seule jambe avant de changer. Nous vous recommandons de faire entre 2 et 3 séries par jambe. Attention, vous ne devriez avoir aucune douleur à l’exécution de cet exercice, si c’est le cas, diminuez l’amplitude de mouvement.
Pourquoi? Pour augmenter votre force au niveau de votre tronc. La course, c’est aussi une question de recrutement des abdominaux!
Comment? Vous vous mettez en position push up, soit sur les mains ou bien les avant-bras et vous tentez de maintenir la posture sans que votre dos soit creux ou arrondi. Vous devriez sentir un renforcement dans vos abdominaux.
Combien? Tentez de maintenir la posture 30 secondes et faites entre 2 et 3 séries. Pour diminuer le niveau d’intensité, mettez-vous sur vos genoux. Pour l’augmenter, tentez de vous mettre en appui sur une jambe, puis sur l’autre.
Pourquoi? Pour augmenter votre force au niveau de vos ischios jambiers. Ce sont vos muscles qui viennent vous aider à plier votre genou !
Comment? Au départ, vous vous couchez sur le dos en appui sur vos deux talons. En rentrant le nombril légèrement, vous poussez dans vos talons afin de soulever les fesses et d’atteindre une ligne droite entre vos épaules, vos hanches et vos genoux.
Combien? Tentez de réaliser 10 répétitions sur deux jambes et de faire entre 2 et 3 séries. Pour augmenter le niveau d’intensité, n’hésitez pas à le faire à une seule jambe.
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Comme toute pratique d’un sport, l’échauffement en ski alpin est essentiel pour prévenir les blessures… Et qui dit sport d’hiver dit aussi températures froides! Prévoyez donc quelques exercices d’échauffement dynamique avant de débuter votre activité et aussi au sommet de la montagne avant de vous élancer sur les pistes. Cela permettra de bien préparer votre corps en augmentant votre température corporelle et en diminuant les effets indésirables du froid!
La grandeur de vos bottes de ski est un élément important en ski alpin. Il faut s’assurer de ne pas avoir des bottes trop grandes. Cela imposera un stress supplémentaire aux articulations des membres inférieurs, vous demandera beaucoup plus d’efforts pour contrôler vos skis et vous fatiguera plus rapidement. Ceci vous met ainsi plus à risque de vous blesser.
Bien sûr, il ne faut pas non plus exagérer et prendre des bottes trop petites et ainsi nuire à votre circulation sanguine entraînant d’avoir froid aux pieds.
Les conditions de piste se détériorent au-cours de la journée: il se forme de plus en plus de plaques de glace et parfois des bosses. Comme la luminosité diminue en après-midi, la visibilité s’en trouve affectée et il devient plus difficile de percevoir les différents obstacles dans les pistes.
Avec la fatigue qui s’accumule également dans la journée, le temps de réaction peut diminuer et il devient plus difficile de gérer les différents obstacles… la dernière descente est souvent celle de trop! Il faut donc être à l’écoute de son corps et arrêter (ou prendre une pause) lorsque vous ressentez de la fatigue ou de la douleur, particulièrement avec les conditions plus difficiles de fin de journée.
Diminuez les risques de vous faire un « skier’s thumb » (entorse au pouce) en enfilant les dragonnes de vos bâtons de la bonne façon. Une bonne position des sangles de votre dragonne diminuera le stress sur votre articulation de pouce lors d’une chute.
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Par exemple, il est fréquent de voir un joueur de soccer se réchauffer sur le bord du terrain avec des mouvements dynamiques ou bien d’observer un coureur effectuer quelques exercices spécifiques avant de débuter sa sortie de course. Qu’en est-il de la natation? Avez-vous déjà vu un athlète se réchauffer sur le bord de la piscine avant son entrée à l’eau? Si oui, vous êtes chanceux!
Pourtant, l’importance de s’échauffer avant de faire de la natation afin de mieux performer et prévenir les blessures est très bien démontrée par la science.
Un triathlète de haut niveau fait environ 500 000 tractions par bras en une année d’entraînement! Imaginez un nageur! Donc, même si le nageur moyen ne fait probablement pas 500 000 tractions par bras par an, il n’en résulte pas moins que le nombre de coups de bras est considérable! Il faut donc bien se préparer à ce geste répétitif.
Il suffit de faire deux séries d’une dizaine de répétitions par exercice. Croyez-moi, ce sera un petit 5 minutes bien investi avant votre entraînement!
1) Rotation externe de l’épaule :
2) W :
3) Tirade horizontale :
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Et si malheureusement, un malaise vous limite dans la pratique de votre badminton ou votre tennis, consultez un physiothérapeute rapidement!
Tout d’abord, il est important de se souvenir que l’enfant n’est pas un petit adulte. La croissance et l’ossification de son squelette sont des facteurs très importants qui provoquent des douleurs et des problématiques différentes de celles d’un adulte.
La croissance est complétée chez 90 % des jeunes de 18 ans. Les filles atteindront leur croissance complète 1 à 2 ans avant les garçons.
Il est possible que votre enfant vous rapporte des douleurs de croissance. Celles-ci sont dues à l’augmentation, parfois très rapide, de la longueur des os et à l’étirement des muscles. La définition d’une douleur de croissance demeure encore très vague et peu de recherches sont faites à ce sujet. Des études démontrent qu’elle serait présente chez 50% des enfants dans les différentes phases de croissance. Les critères suivants aident à en faire le diagnostic clinique:
– Douleur diffuse principalement aux tibias, aux mollets, aux cuisses et derrière des genoux qui affecte souvent les 2 membres de façon symétrique.
– Douleur qui n’affecte pas les articulations
– Douleur de type épisodique qui apparaît en fin de journée et surtout la nuit. Celle-ci disparaît le matin au lever.
– Douleur d’intensité modérée à sévère qui peut durer de quelques minutes à quelques heures.
– Aucun signe et symptôme inflammatoire ne sont observables
– Aucune reproduction de douleur lors de la palpation
Les douleurs de croissance étant tout à fait normales chez la majorité des enfants, il ne faut pas s’inquiéter et laisser le temps au corps de s’adapter. Dans le doute, il est toutefois important de consulter votre médecin.
Il s’agit d’une région à l’extrémité des os longs (fémur, radius, ulna, etc.) qui est présente seulement chez les enfants et les adolescents. Lors des périodes de croissance, les cellules qui s’y trouvent produisent de la matière osseuse pour que l’os puisse s’allonger. Étant donné la quantité importante d’activité qui se produit au niveau de la plaque de croissance, celle-ci constitue le maillon faible du système musculosquelettique de l’enfant. Ainsi les blessures à ce niveau y sont très fréquentes.
Osgood-Schlatter, maladie de Sever, syndrome de Sinding-Larson-Johansson… Ça mange quoi en hiver ? Ce sont des affections fréquentes qui touchent les plaques de croissance des enfants.
Durant les différentes phases de croissances, les os vont changer de longueur plus rapidement que les muscles et les tendons. Avec la pratique d’activité physique, le tendon crée une force de traction sur la zone vulnérable qu’est la plaque de croissance. Un stress répété peut alors rendre la région symptomatique.
Les principales régions touchées par ce type de problématiques sont variables selon les activités pratiquées par vos enfants.
– Douleur localisée à la palpation à l’insertion du tendon sur l’os;
– Douleur d’apparition graduelle et reproduite par l’activité physique (course et sauts au membre inférieur, lancer au membre supérieur);
– Douleur est absente ou minime au repos;
– Observation de symptômes inflammatoires locaux comme un gonflement, chaleur et rougeur;
Il est important de consulter un professionnel, car une mauvaise prise en charge de ce type de blessure peut grandement prolonger le temps de guérison et les symptômes douloureux, occasionner des déformations visibles et parfois, dans de rares cas, demander une intervention chirurgicale.
La douleur est une perception qui provient d’une analyse complexe de notre système nerveux. C’est le corps au complet qui interprète s’il y a un danger et donc s’il a besoin d’envoyer un signal de douleur pour nous protéger. Notre analyse est influencée par différents facteurs. Par exemple, lorsqu’on a moins bien dormi ou que l’on vit une émotion difficile, notre système nerveux devient moins tolérant. Le corps perçoit alors davantage de danger pour la même blessure, car il interprète la présence d’une plus grande menace et veut alors nous protéger davantage. La douleur, c’est notre système nerveux qui nous parle!
La douleur est 100% du temps réelle. Si vous expérimentez une douleur, c’est que votre corps interprète qu’il doit vous protéger. Plusieurs éléments influencent l’analyse comme des aspects biologiques (ex : tensions musculaires, raideurs articulaires, inflammation, etc.), des aspects psychologiques (ex : émotions, croyances, adaptation, etc.) et des aspects sociaux (ex : environnement familial, amis, travail, finance, etc.). L’origine de la douleur est donc multifactorielle et unique à chaque personne.
Bien souvent, la blessure initiale est guérie ou cicatrisée complètement même si la douleur persiste! Une douleur qui devient chronique, c’est un indice que notre système nerveux est sensibilisé et qu’il interprète de façon erronée les informations qu’il reçoit. Malgré la guérison, il peut tout de même rester des raideurs et des tensions musculaires ainsi que des faiblesses musculaires aux pourtours de la zone blessée. Ces éléments pourront être traités lors de vos visites en physiothérapie. Par ailleurs, il faudra également adresser les autres éléments qui influencent votre système nerveux pour espérer voir une amélioration de la douleur chronique.
Souvent, la pire chose à faire, c’est d’arrêter de bouger! En se réexposant progressivement à des mouvements spécifiques à sa condition et en s’assurant de ne pas provoquer de pics de douleur pendant et en évitant l’augmentation de douleur le lendemain de l’exercice ou de l’activité, le corps va se réentraîner et se désensibiliser progressivement. Ainsi, la douleur va diminuer. À ce stade, l’aide d’un professionnel en physiothérapie ou en ergothérapie ayant une expertise avec les douleurs chroniques est un atout.
Bien souvent, s’éloigner longtemps des activités qui nous sont chères, pourrait nous amener à développer une peur de les reprendre. Si la reprise des activités est effectuée de façon douce et progressive tout en développant une bonne gestion des pics de douleur, le risque de se re-blesser sera minimale et la confiance en vos capacités augmentera au fil du temps. Cette persistance dans la tâche est même liée à une diminution de douleur.
Quand cela fait aussi longtemps que la douleur est présente, on ne sait pas si on sera en mesure de l’enlever complètement avec les traitements. Chose certaine, on pourra la diminuer et vous rendre beaucoup plus fonctionnel pour reprendre vos activités préférées. Le corps humain est une formidable machine qui a toujours le potentiel de s’améliorer.
La plupart du temps la prise de médication n’est que temporaire. En effet, il faut parfois donner le temps au corps de récupérer et de bouger davantage. À noter que la médication est souvent très utile lors de l’expérience d’un certain sous-type de douleur qu’on appelle « neuropathique » (ex : sciatalgie, brachialgie, névralgie, etc). Par ailleurs, lors d’un sommeil perturbé par la douleur, la médication pourrait être un allié à court terme pour soulager la douleur durant la nuit et ainsi favoriser le sommeil et la récupération. Ainsi, le niveau d’énergie augmente et la douleur diminue durant la journée qui suit.
Les médicaments peuvent être utiles dans plusieurs situations dans un contexte de douleur chronique. Toutefois, comme seule thérapie, c’est bien souvent insuffisant et il y a de nombreux effets indésirables associés, tels que de la prise de poids ou de la somnolence, par exemple.
La recette gagnante pour améliorer sa condition? C’est la combinaison de bons exercices pour sa condition, une meilleure compréhension du fonctionnement de la douleur ainsi que le support d’une équipe de professionnels de confiance ayant une expertise en douleur chronique!
La différence majeure entre le canicross et le canitrail, c’est la vitesse qui sera diminuée en lien avec le lieu de pratique. En trail, pour l’humain, le défi est réel considérant l’exigence des sentiers parcourus. Plus un sentier sera technique (parsemé de roches, racines et changements de direction), plus il sera difficile d’y naviguer, surtout avec son chien traction. Le bipède devra donc ralentir et adapter sa conduite aux conditions. En hiver, les roches et racines étant cachées sous la neige, le niveau technique descend d’un cran.
Nous ne le dirons jamais assez: le contrôle et la confiance sont essentiels! Optez pour des terrains où votre équipe sera à l’aise de pratiquer le canitrail, autant au niveau du dénivelé que du défi technique du terrain. L’hiver est un merveilleux moment pour apprendre à apprécier la course en sentier avec son chien, aussi bien en profiter!
Vous voulez des conseils de course personnalisés? Contactez l’un de nos physiothérapeutes experts en course à pied!
Crédit photo : DanielTphoto
Le Cours PCN vous permettra de:
Ce cours s’adresse aux futurs physiothérapeutes, aux soigneurs d’équipes sportives, aux entraîneurs et à tout autre intervenant en milieu sportif qui désirent se former pour pouvoir mieux réagir en contexte d’urgence sur le terrain.
Nouveauté cette année! Pour maximiser le temps de pratique, nous vous proposons d’effectuer la partie théorique avant la formation!
Nous vous offrons donc une heure de contenu théorique préparatoire en vidéo que vous pouvez écouter au meilleur moment pour vous avant la formation. Ce contenu couvre:
Par la suite, ce contenu théorique sera mis en situation pendant les jours de formation en présentiel où nous:
Des mises en situation vous permettront d’appliquer concrètement la théorie!
Quand: Le vendredi 17 mars de 16h30 à 21h et le samedi 18 mars de 8h à 16h30
Coût: 190$ taxes incluses (150$ taxes incluses pour les étudiants)
Où: à l’Académie St-Louis, au 1500 Rue de la Rive-Boisée S, Québec, QC G2C 2B3
Après avoir passé une superbe saison de course automnale, M. Hirrité enfila ses chaussures d’hiver pour affronter la première neige. Dès les premiers kilos, il se rendit compte à quel point la sensation de courir sur la neige était différente de celle du bitume. Ses pas étaient moins efficaces et il dut adapter sa technique de course. Il y alla raisonnablement avec une distance et un parcours auxquels il était habitué.
Le lendemain de la course, rien de majeur, quelques courbatures sur le côté de la jambe droite. Différent de cet été où c’était un fessier qui faisait des siennes. Il continua sa semaine de course sans trop se soucier de cette sensation de muscles qui ‘’n’avaient pas travaillé depuis longtemps’’.
Il enfila les sorties de course comme à l’habitude en maintenant un volume semblable aux semaines précédentes. Rien de nouveau. Pourtant, la courbature à la cheville se transformait lentement en inconfort matinal jusqu’à une douleur en descendant l’escalier.
Il décida donc de consulter chez PCN son physiothérapeute expert en course à pied pour trouver la solution à son problème et courir en hiver dans le plaisir.
Verdict: tendinopathie des éverseurs de la cheville, un problème commun chez les coureurs pouvant survenir lorsque des changements trop rapides sont apportés au régime d’entraînement.
En résumé, trop de changements trop vite et son corps n’a pas eu le temps de s’adapter. En particulier, des muscles qui sont responsables de stabiliser le pied dans la neige. La solution: le dosage. Aussi connu sous le nom de: quantification du stress mécanique.
1. Le changement de surface de course.
Cet élément à lui seul peut favoriser l’apparition de douleur. Pourquoi? Parce que votre corps s’adapte à l’environnement spécifique dans lequel vous l’entraînez. Donc, si vous courez toujours sur du dur et que soudainement la surface est enduite de 3cm de neige molle la demande sera différente.
Votre corps peut alors ne pas être suffisamment résistant pour l’effort demandé et nécessite d’envoyer un signal douloureux pour que vous adaptiez votre comportement. Puis, s’en suivra la guérison et le retour graduel à l’entraînement. Votre physiothérapeute est là pour vous aider à franchir toutes ces étapes le plus optimalement possible.
2. Le changement de la chaussure est un autre facteur bien connu pouvant influencer le développement d’une douleur.
Hirrité avait choisi de prendre ses chaussures de trail auxquelles il était déjà bien habitué. Il y ajouta simplement des crampons pour bien adhérer à la surface. L’ajout de crampons doit aussi être à considérer dans l’apparition de certaines pathologies telles que les métatarsalgies, soit une douleur sous le pied au niveau de la base des orteils.
Lors des changements de saison obligeant une modification de vos habitudes de course, réduisez votre volume de course. Surtout lorsqu’il vient de neiger et que la surface n’est pas encore durcie. Si vous n’êtes pas habitué à cette surface, vous pourriez vous irriter et devoir passer chez PCN. Petit truc de votre physio: fiez-vous à votre temps d’effort plutôt qu’à la distance parcourue.
Votre problème ressemble à celui de M. Hirrité? Vous voulez optimiser votre guérison et réduire les risques de vous blesser en retournant à l’entraînement? Voyez un physiothérapeute expert en course à pied formé par la Clinique du Coureur.
Il existe plusieurs types d’incontinence urinaire. Parmi celles-ci, l’urgence urinaire peut vous donner la sensation d’avoir une envie pressante et soudaine. Elle s’accompagne parfois de fuite urinaire. Elle peut aussi être anxiogène dans le quotidien.
Un autre type d’incontinence est celle à l’effort. Elle peut survenir lorsqu’il y a une augmentation de pression dans l’abdomen, par exemple lors de la toux, d’éternuements, de soulèvement de charge, de changements de position, de la pratique de sports, de sauts, etc. Si le plancher pelvien ne parvient pas à contrer cette surcharge de pression abdominale, il se peut que vous souffriez de fuites urinaires d’effort.
Il est possible de souffrir des deux types d’incontinence précédemment mentionnés. Il s’agit alors d’incontinence urinaire mixte.
Voici 6 choses que la physiothérapie périnéale peut faire pour vous aider à diminuer vos symptômes d’incontinence d’effort ou d’urgence urinaire :
Une évaluation détaillée en physiothérapie périnéale et adaptée à vos besoins peut vous aider à diminuer ces inconforts au quotidien et ainsi retrouver une meilleure qualité de vie!
Réservez votre place avec une physiothérapeute en rééducation périnéale dès maintenant!
Pour nous, c’est primordial que chacun se sente bien au quotidien. On se crée donc plusieurs occasions de partager comment on va, que ce soit au moyen de sondages anonymes récurrents, de moments en groupe ou de rencontres en triade. Selon les commentaires de chacun, on choisit ensuite des actions à poser pour améliorer notre quotidien!
Dans notre équipe, tous les joueurs comptent! Quand on prend des décisions qui touchent le groupe, c’est par consentement. On prend l’opinion de tout le monde et on s’assure que tous peuvent vivre avec la décision.
On accorde donc beaucoup d’importance au dialogue authentique et bienveillant ainsi qu’à l’écoute.
On croit fermement que chaque personne doit se trouver sur son X, l’endroit où elle se sent dans ses forces et où elle a le plus de plaisir. C’est pourquoi on se laisse la liberté de participer à des projets qui sortent de nos responsabilités principales lorsqu’ils nous intéressent. Alors lorsqu’on planifie nos projets, on prend le temps de vérifier qui sont les intéressés! Ton potentiel, tes idées et tes talents seront définitivement les bienvenus.
On est une équipe tissée serrée et on aime bien jaser. C’est pourquoi on a instauré nos dîners chill d’équipe du jeudi midi et ce n’est pas rare qu’on y commande une poutine ou des sushis! Et toi c’est quoi ta commande?
…une progression de vacances avantageuse, un salaire selon ton expérience et notre échelle salariale en place, un régime d’assurances collectives avec plusieurs options et un REER-RPDB collectif pour ta retraite!
Ça t’intéresse? Reste à l’affût des postes qui ouvrent dans l’équipe!
Une tendinite, c’est l’inflammation d’un tendon qui peut se produire entre autres à la suite de mouvements répétitifs ou d’un effort excessif. Cette inflammation résulte en une douleur principalement lors de mouvements demandant une certaine force ou dans certaines positions spécifiques dépendamment de l’articulation touchée. Quand la douleur persiste, l’inflammation n’est plus le principal problème du tendon, mais sa capacité à résister à un stress mécanique peut devenir grandement diminuée. Le tendon est malade, ses fibres sont désorganisées; on parle plutôt d’une tendinopathie
Les tendinopathies sont un problème très fréquent qui peut occasionner beaucoup de douleur et de frustrations. D’apparence inoffensive, ces blessures peuvent grandement nous ralentir si elles ne sont pas traitées correctement.
Dans certains cas, il suffit de bien doser l’activité et de pratiquer des exercices de renforcement pour améliorer la situation. Parfois, le problème peut devenir plus ardu à gérer, surtout s’il est présent depuis longtemps.
La thérapie par ondes de choc radiales (communément appelée shockwave) est une approche novatrice et éprouvée qui permet de relancer la guérison d’une tendinite qui s’avère plus rebelle. En fournissant une énergie mécanique au tendon sous forme d’onde de choc, il devient possible de stimuler le processus de guérison et d’améliorer la souplesse du tendon, ce qui peut lui donner une deuxième chance de bien récupérer.
Forts d’une expérience de plus de 15 ans d’utilisation du shockwave, les physiothérapeutes PCN combinent cette technologie de pointe avec un protocole de prise en charge complet, qui maximise les chances de guérison des tendinites et minimise les risques de récidive.
Cette approche a été démontrée efficace pour diverses problématiques comme les tendinites au tendon d’Achille, à la coiffe des rotateurs à l’épaule, aux muscles fessiers à la hanche, au tendon rotulien au genou, ainsi que pour les épicondylites/épitrochléites au coude et les fasciites plantaires au pied.
Si vous souffrez d’une tendinite récalcitrante, n’hésitez pas à consulter nos physiothérapeutes à la clinique PCN Ste-Foy qui se feront un plaisir d’élaborer avec vous la stratégie optimale pour vous permettre de continuer à bouger!
Dans une articulation saine, il existe un équilibre entre la régénérescence et la dégénérescence du cartilage. Le cartilage a besoin d’une certaine quantité de charge, donc de mouvement, pour se régénérer. C’est pourquoi des charges saines doivent être appliquées sur les articulations pour ainsi favoriser une certaine réparation du cartilage et ainsi une bonne santé articulaire.
Le terme arthrose est utilisé pour décrire les changements qui se produisent lorsqu’il y a un déséquilibre qui survient, c’est-à-dire une plus grande dégradation par rapport à la synthèse du cartilage dans une articulation. Ces changements affectent toute l’articulation, mais principalement le cartilage articulaire qui devient alors mince et fragile.
L’arthrose est souvent décrite comme étant une «usure» de l’articulation qui occasionne un amincissement du cartilage, une fissuration et potentiellement une dégradation du cartilage articulaire. L’ensemble de ces changements font en sorte que les os pourraient (dans les cas d’arthrose sévères) commencer à se frotter les uns contre les autres.
L’arthrose peut être due, entre autres, à un cartilage sain exposé à de lourdes charges sur une longue période de temps (ex : un travail très lourd sur plusieurs années), et/ou un cartilage malsain qui ne pourra supporter des charges dites «normales».
Il n’est pas rare de ressentir un gonflement et une augmentation de la chaleur dans les articulations en raison de l’inflammation.
Le cartilage n’a pas de récepteurs de la douleur, mais les os, eux, en ont. Quand ils sont affectés, nous commençons alors à ressentir la douleur. Cela peut être aggravé lorsque les tissus mous, y compris les ligaments et les muscles autour de l’articulation, sont affectés.
Par exemple, cela peut parfois entraîner une laxité (relâchement de l’articulation) et les muscles peuvent alors être davantage tendus afin de compenser cette instabilité, entraînant ainsi plus de douleur.
L’arthrose peut survenir dans toutes les articulations. Cependant, le genou et la hanche sont de grosses articulations qui sont fréquemment touchées en raison des charges qui leurs sont transmises au quotidien (ex : marche, escaliers, transferts, etc.).
Le genou en particulier est sujet aux blessures, et les blessures au genou conduisent souvent à l’arthrose.
Les symptômes de l’arthrose du genou peuvent inclure: douleur à la marche, sensation d’une jambe raide et instable/dérobades, craquement/bruits articulaires, etc. Les symptômes peuvent aussi causer des difficultés à monter/descendre un escalier, à s’accroupir et à se relever, etc.
Enfin, la destruction articulaire peut éventuellement entraîner des déformations de type «valgus» (genoux vers l’intérieur) ou «varus» (arqués ou genoux «cow boy»).
La douleur à la hanche, quant à elle, sera souvent localisée au pourtour de la hanche et peut parfois irradier à la cuisse.
L’arthrose de la hanche entraînera souvent une réduction de la mobilité articulaire, entraînant ainsi des problèmes au quotidien tels que monter dans la voiture, mettre des chaussettes/souliers, etc.
La longueur de vos pas à la marche en sera aussi affectée. Il pourrait aussi vous être difficile de redresser vos hanches une fois debout, de sorte que vous pourriez avoir ainsi tendance à marcher un peu penché.
À ce jour, il n’existe aucun moyen connu de guérir la perte de cartilage. Les traitements actuels visent principalement la réduction de symptômes et l’amélioration de la fonction.
Des exercices spécifiques, prescrits par un physiothérapeute, peuvent être effectués pour soulager la douleur, stimuler la fonction articulaire et le maintien des amplitudes articulaires. Lorsque la fonction s’améliore, il est primordial de demeurer actif, car cela peut aider à maintenir un poids santé et à améliorer la santé globale.
La prise en charge des symptômes de l’arthrose comporte trois volets:
L’arthroplastie comme solution ultime
Une fois toutes les alternatives de traitement conservateur épuisées (physiothérapie, médication, infiltrations, etc.), viendra alors l’option de la chirurgie de remplacement articulaire.
L’arthroplastie est le nom de la chirurgie de remplacement articulaire dans laquelle l’articulation endommagée est enlevée, puis surfacée/remplacée par des surfaces articulaires artificielles (métal, céramique, plastique, etc.).
Il s’agit d’une procédure courante pour les personnes souffrant d’arthrose sévère de la hanche (PTH : Prothèse Totale de la Hanche) et du genou (PTG : Prothèse Totale du Genou).
Le plus grand gain après la chirurgie sera une diminution de votre douleur, voire une disparition graduelle et complète après quelques mois. Vous pourrez ainsi retrouver une excellente qualité de vie et reprendre plusieurs activités et loisirs.
L’importance de la réadaptation après l’arthroplastie
Une période de réadaptation sera requise après la chirurgie, afin d’en optimiser les résultats.
Saviez-vous que, selon la science, 1 patient sur 4 rapporterait une douleur chronique, une faiblesse musculaire, un équilibre précaire, des limitations fonctionnelles et une qualité de vie moyenne à la suite d’une arthroplastie? Ces constats pourraient s’expliquer par une pauvre qualité de réadaptation ou une réadaptation inadéquate. D’où l’importance de confier votre réadaptation à une équipe de professionnels (physiothérapeute, kinésiologue, ergothérapeute) hautement qualifiés!
Chez PCN, notre équipe saura ainsi vous accompagner et vous conseiller tout au long du continuum de soins, dès l’apparition des premiers signes et symptômes de l’arthrose, jusqu’à une réadaptation optimale!
Notre objectif demeure le vôtre soit que vous puissiez reprendre toutes vos activités et loisirs à la hauteur de vos attentes!
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Nous vous offrons donc une heure de contenu théorique préparatoire en vidéo que vous pouvez écouter au meilleur moment pour vous avant la formation. Ce contenu couvre:
Par la suite, ce contenu théorique sera mis en situation pendant les jours de formation en présentiel où nous:
Des mises en situation vous permettront d’appliquer concrètement la théorie!
Quand: Le vendredi 14 octobre de 16h30 à 21h30 et le samedi 15 octobre de 8h à 16h
Coût: 190$ taxes incluses (150$ taxes incluses pour les étudiants)
Où: à la Scène LB9
Une douleur de type «globale» ou une sensation de courbature post-entraînement est habituellement normale et même souhaitable. En effet, elle suggère que vos muscles s’adaptent et la bonne nouvelle, c’est qu’ils seront en mesure de mieux tolérer un stress équivalent la prochaine fois.
Toutefois, une douleur assez précise, d’apparition subite, répétée et qui augmente après l’entraînement ou la répétition d’un mouvement est une douleur qu’on peut qualifier d’«anormale».
Un inconfort qui persiste entre 30 minutes et 1h après votre activité peut être considéré comme «normal» s’il diminue relativement rapidement avec le repos et ne revient pas.
S’il persiste plus d’une heure après une activité physique, il peut être considéré comme une douleur anormale. Mais pas de souci, celle-ci est souvent simplement un indice que vous avez mal dosé votre activité!
Une douleur qui est constante (elle est toujours présente depuis plusieurs jours et ce sans période d’accalmie) nécessite l’évaluation d’un professionnel de la santé. Tout comme une douleur progressive qui augmente de jours en jours.
Une douleur n’est pas inquiétante lorsqu’elle ne vous incommode pas au quotidien et qu’elle est associée aux caractéristiques d’une douleur normale mentionnées plus haut.
Une douleur nécessite l’aide d’un professionnel de la santé si elle vous limite au quotidien, vous empêche d’être fonctionnel ou d’effectuer certains gestes, activités, sports ou loisirs. Une douleur qui vous réveille la nuit est également considérée “anormale”.
Il est important de savoir qu’un élément isolé est parfois insuffisant pour déterminer s’il s’agit d’une douleur normale ou non.
Le portrait global de votre condition est à considérer et peut demander l’analyse d’un professionnel. Si une douleur apparaît et vous incommode n’hésitez pas à venir bénéficier d’une prise en charge par l’un de nos professionnels de la santé PCN!
Par une belle journée de mai ensoleillée sous un ciel bleu de printemps, M. Hirrité enfile ses nouveaux souliers et part pour sa première course depuis quelques semaines.
M. Hirrité a couru à quelques reprises cet hiver en trail sur de courte distance sur la neige à un rythme plutôt lent vu les conditions non optimales. Rien de trop structuré ou constant comme entraînement. Il skiait aussi donc il avait moins de temps à consacrer à la course à pied. L’an dernier, M. Hirrité cumulait des sorties allant jusqu’à 10km en forêt quelques fois par semaine! Ayant des bons souvenirs de ses dernières sorties de l’automne, il se lance pour un 10km sur l’asphalte qui a fini par vaincre la couche de glace.
Quelque part entre le 7ème et 8ème kilomètre, il commence à ressentir une gêne en latérale du genou droit. Étrange! L’an dernier, c’était le gauche. Il ne s’en fait pas avec cela et termine sa course avec une légère boiterie. Ça ira mieux demain qu’il se dit!
Le lendemain au réveil, misère! Il a de la difficulté à descendre les escaliers. Ne voulant pas gâcher sa saison de course, il consulte un physiothérapeute expert en course à pied chez PCN. Voici les constats de sa première rencontre…
Comme 80% des blessures en course à pied, M. Hirrité en a fait trop, trop vite.
On ne le dira jamais assez, la progression est le principe le plus important dans la prévention des blessures. Il est très tentant de se laisser emporter par le chaud soleil, le ciel bleu et une nouvelle paire de chaussures pour filer une longue course lors de vos premières sorties de l’année. Il s’agit cependant d’un mélange parfait pour vous créer une blessure de surutilisation.
Même pour les sportifs de haut niveau, à la suite d’une période de repos ou une diminution de volume d’entraînement, il est primordial de recommencer progressivement à augmenter le volume et l’intensité de l’entraînement.
Solution: un peu moins est mieux qu’un peu trop en début de saison
Donc, ne recommencez pas au même point que lorsque vous avez laissé vos souliers la saison précédente. Commencez par une sortie plus courte, cumulez en quelques-unes du même genre sur quelques semaines pour permettre à votre corps de s’y adapter de nouveau. Puis, augmentez progressivement votre volume, votre dénivelé ou votre vitesse.
M. Hirrité avait choisi une nouvelle paire de chaussures dans le même style que ses anciennes, mais s’est retrouvé quand même avec quelques ampoules sur les pieds.
Votre peau tout comme votre système musculosquelettique (lire ici: muscles, tendons, ligaments, os, etc.) a besoin de temps pour devenir plus résistante au stress engendré par la course.
Le changement de chaussures peut induire un changement de votre biomécanique (la façon dont vous bougez). Tout changement dans vos habitudes de course à pied doit être suivi d’une période où vous laissez le temps à votre corps de s’adapter à ce changement.
Donc si vous courez avec les mêmes chaussures été comme hiver ou vous continuez d’utiliser la même paire que l’an dernier, vous n’aurez pas besoin de faire attention à cet élément.
Si vous avez une nouvelle paire de chaussures, il faudra être prudent puisque des matériaux neufs ne travaillent pas comme votre ancienne paire bien usée à votre physionomie. Cela risque donc de laisser des traces sur vos pieds.
Après avoir couru tout l’hiver sur la neige durcie et ses différentes variations dans les sentiers ou les rues, le retour sur le bitume sera probablement nécessaire le temps que les sentiers s’assèchent.
Les sentiers, par leur variation de forme du terrain, sont bien loin de la constance des surfaces créées par l’homme (asphalte, trottoirs, etc.). En courant dans les sentiers, le stress engendré sur le corps est plus variable ce qui présente un avantage en évitant de stresser toujours de la même manière les tissus de votre corps.
Si vous n’êtes pas un coureur adepte de l’asphalte et que les conditions vous obligent à y courir, vous devrez adapter votre plan. Puisque vous n’avez plus accès à la diversité qu’offre un sentier, vous devrez diminuer la demande faite à votre corps en ajustant soit la distance, l’intensité ou le temps d’entraînement pour éviter l’apparition de douleurs.
Les gens courant toujours sur des surfaces fermes peuvent faire face au même problème en allant courir en trail. Le corps s’adapte de façon très spécifique à ce qu’on lui demande. Solution: s’entraîner à courir sur toutes sortes de surfaces et de terrains!
La solution au problème de M. Hirrité? Un plan d’entrainement en course à pied pour permettre à son corps de s’adapter à la réintroduction de ce stress.
En ayant commencé avec un 10km et une nouvelle paire de chaussure sur une surface pour laquelle il n’était pas adapté, M. Hirrité s’est irrité le genou et c’est ce qui s’est aussi produit pour la peau de ses pieds.
Son physiothérapeute l’a donc aidé à organiser son entraînement de début de saison et il a même analysé son patron de course à pied pour l’aider à prévenir de futurs blessures, en plus de l’aider à optimiser sa performance.
Suite à cette prise en charge en physiothérapie chez PCN, M. Hirrité songe maintenant à changer son nom pour M. L’Heureux 🙂
Quelque soit la situation que vous vivez à la maison, Amélie Béland-Lacasse est la professionnelle qu’il vous faut! Éducatrice spécialisée d’expérience et zoothérapeute, elle offre du coaching familial et de l’accompagnement pour les enfants de 0 à 12 ans ayant besoin de soutien dans leur développement. Depuis plus d’une dizaine d’années, elle accompagne les familles, s’implique dans la communauté et œuvre auprès des enfants ayant des besoins particuliers en garderie.
Votre enfant a des difficultés de concentration ou d’apprentissages? Vous remarquez un retard dans son développement? La routine est un défi? Votre petit vit-il avec beaucoup de stress ou d’anxiété? Vous vivez des situations d’opposition ou d’agressivité avec votre enfant? L’éducation spécialisée peut vous aider!
Planifiez une rencontre dès maintenant avec Amélie en appelant au 418 827-1096 pour accompagner vos enfants vers leur plein potentiel ou pour obtenir du soutien dans votre rôle parental! Elle vous recevra dans nos locaux du 2e étage au 9745 boul. Sainte-Anne.
En 2009, mon fils Victor, alors âgé de 18 mois, avait quelques retards dans son développement moteur. Je remarquais plusieurs caractéristiques qui le différenciaient des autres enfants de son âge sur le plan moteur global. Il n’était pas porté à vouloir se déplacer et la position debout ne l’intéressait pas du tout. Ces comportements faisaient partie de mes premières inquiétudes en tant que parent.
Lorsque je le plaçais à un endroit, il restait là, fixant le vide sans se déplacer ou changer de position. Le pédiatre de Victor nous a donc référés en physiothérapie pédiatrique pour comprendre ce qui se passait et comment nous pouvions aider Victor à se développer à son plein potentiel.
Lors du premier rendez-vous, la physiothérapeute remarque déjà que Victor est craintif dans ses mouvements et n’a pas beaucoup d’intérêt pour les déplacements. Les premières observations nous ont permis de voir que Victor accusait un retard d’environ 1 an sur son développement moteur global. Une absence de prise en charge ne pourrait que faire augmenter cet écart. Nous avions un travail à faire en tant que parent en participant aux séances et en travaillant les exercices à la maison. Ensemble, nous allions tenter de diminuer cet écart!
Je dois dire que ce qui m’a fait le plus de bien lors de ces premiers rendez-vous, c’est le fait que la physiothérapeute m’a tout de suite rassurée en me disant que ça arrivait parfois que certains enfants avaient besoin d’un coup de main pour comprendre comment se déplacer et bouger. Elle a tout de suite enlevé une petite culpabilité que j’avais sur mes compétences parentales et la façon dont je stimulais mon enfant. Non seulement cette professionnelle prenait soin de mon enfant, mais elle prenait aussi soin de moi en prenant le temps de m’expliquer pour que je comprenne bien les objectifs qu’elle visait avec Victor.
Déjà, après quelques rendez-vous, Victor a commencé à se déplacer à quatre pattes et était plus actif! La physiothérapeute l’avait aidé à prendre confiance en travaillant sa force musculaire pour lui montrer qu’il était capable.
Chaque séance, je pouvais observer concrètement ce que la physiothérapeute travaillait et les progrès étaient impressionnants! Lorsque Victor a commencé à se promener à quatre pattes, la physiothérapeute gardait l’œil ouvert pour remarquer les autres petits détails du développement qui pourraient demander du soutien de sa part. Les semaines passaient et Victor vieillissait, mais ne montrait toujours pas d’intérêt pour la marche. D’autres petits comportements atypiques ont aussi attiré l’attention de la physio, ce qui nous à mené à consulter d’autres professionnels de son équipe pour continuer d’investiguer les différentes sphères du développement de Victor. Elle ressentait le besoin de pousser plus loin l’investigation. Nous avons bien fait de suivre ses conseils…
L’expertise et le professionnalisme de cette physiothérapeute nous ont mené, plusieurs professionnels plus tard, à un diagnostique d’autisme chez mon garçon lorsqu’il était âgé de 3 ans et demi. Évidemment, le développement moteur était la première sphère que nous avions remarqué, mais, c’était la pointe de l’iceberg.
En juin 2011, lors de l’annonce du diagnostique nous avons fait un dernier contrôle en physiothérapie puisque Victor était suivi depuis déjà 2 ans à raison de 2 fois par semaines. Ce contrôle nous a démontré que Victor avait fait beaucoup de progrès et que même s’il avait acquis la marche à 23 mois, il ne présentait plus de retard dans son développement moteur global.
Grâce à ce suivi rigoureux et au diagnostic précoce, Victor a totalement rattrapé son retard moteur et nous avons pu mettre un terme aux consultations avec la physiothérapeute en juin 2011 lorsque Victor avait presque 4 ans.
Dans mon cœur, je garde toujours une place précieuse pour la professionnelle que nous avons rencontrée à ce moment. Toute cette aventure a débuté lorsque nous avons pris l’excellente décision d’aller consulter en physiothérapie. Mon garçon a aujourd’hui 14 ans et a encore beaucoup de défis à relever, mais le travail accompli très tôt dans sa vie lui a donné toute les chances de bien évoluer.
Comparé à beaucoup d’autres enfants à besoins particuliers et beaucoup d’autres familles qui rencontrent des défis, notre histoire n’est pas exceptionnelle, mais elle met en vedette des gens qui le sont au quotidien.
Le torticolis congénital est en effet une atteinte bénigne qui est constituée d’un raccourcissement de certains muscles du cou et qui entraîne une rotation et/ou une inclinaison de la tête chez le bébé. Dans la grande majorité des cas, il s’agit du muscle sternocléidomastoïdien (SCM) qui est contracté ou fibrosé et qui empêche le bébé de prendre les positions où il est étiré. Il s’agit d’une atteinte posturale assez fréquente, pouvant toucher jusqu’à 16% des nouveau-nés.
Les signes rencontrés de façon précoce chez le bébé atteint de torticolis congénital sont: une préférence à tourner la tête d’un côté par rapport à l’autre et une préférence à garder la tête inclinée d’un côté, soit en rapprochant une oreille de l’épaule du même côté.
Les causes précises du torticolis congénital sont peu connues. Il est toutefois démontré qu’un accouchement difficile et que l’utilisation d’équipement (ventouses, forceps) lors de celui-ci augmenterait les risques du torticolis chez le bébé, car il crée un étirement du muscle SCM qui réagit en se raccourcissant et en se fibrosant. La position contraignante de bébé dans l’utérus pourrait également se trouver en cause du torticolis.
Le torticolis congénital n’est habituellement pas une pathologie qui rentre dans l’ordre seule avec le temps. Bien que vous pouvez avoir l’impression que l’atteinte est légère et que votre bébé n’est pas complètement figé dans sa position, elle nécessite des interventions personnalisées à votre enfant et une bonne compréhension de l’ensemble de la condition de votre part. Ces aspects sont couverts de fond en comble lors d’une rencontre avec un physiothérapeute pédiatrique.
Voici les risques si le problème n’est pas corrigé. À plus long terme, un bébé avec un torticolis congénital est plus enclin à développer des asymétries de mouvement, comme l’utilisation plus grande d’une main par rapport à l’autre, une force plus grande d’un côté du corps ou l’exploration de son environnement uniquement du côté où sa tête demeure tournée.
90% des bébés avec un diagnostic un torticolis congénital risquent également de présenter une déformation de la boîte crânienne, aussi appelée plagiocéphalie ou «tête plate», car la pression n’est pas appliquée également des deux côtés sur celle-ci quand bébé garde sa tête tournée du même côté pour une longue période.
Les torticolis et les déformations crâniennes sont plus fréquents dans les dernières années pour de multiples raisons. Comme la position sur le dos est la seule position de sommeil considérée sécuritaire, bébé passe souvent moins de temps sur le ventre, position optimale pour diminuer les risques de plagiocéphalie car il n’y a pas de pression sur sa tête. De plus, l’utilisation d’équipement de positionnement pour bébé, comme la coquille, le landau ou la balançoire augmente le temps d’appui à l’arrière de sa tête et ainsi le risque de développer une plagiocéphalie.
L’intervention d’un physiothérapeute pédiatrique sera principalement un travail d’équipe avec vous, les parents, afin de modifier certains aspects du quotidien de bébé et de pratiquer avec lui des exercices dans le but de normaliser la mobilité de son cou, de corriger sa posture ainsi que de prévenir l’apparition de déformation crânienne.
Idéalement, le bébé doit rencontrer un professionnel de la physiothérapie expert en pédiatrie dès que vous avez un doute sur la présence d’un torticolis chez votre bébé. Selon la science, les résultats seront meilleurs lorsque la physiothérapie est débutée de façon précoce (avant l’âge de 3 mois).
Lorsque traités avant l’âge d’un mois, 98% des enfants avec un torticolis retrouvent une mobilité du cou complète à l’intérieur d’un mois et demi! Si vous n’avez pas pu consulter dans le premier mois de vie de votre enfant, ne vous inquiétez pas, il y a tout de même d’excellents résultats à la physiothérapie tout au long de sa première année de vie.
Vous avez des doutes sur la présence d’un torticolis congénital chez votre bébé? Rencontrez un physiothérapeute pédiatrique dès maintenant!
Sources:
L’important est de débuter son activité bien hydraté, c’est à dire, sans avoir soif. Ensuite, pendant l’activité, on vise à ne pas dépasser une consommation de 800 ml de liquide par heure. Pourquoi? Une quantité d’eau trop importante par rapport aux pertes augmente les risques d’hyponatrémie (dissolution du sodium dans le sang) qui peut survenir pendant les événements d’endurance. L’hyponatrémie amènera un gonflement des mains et du visage puis viendront ensuite les problématiques de conscience.
Le plan d’hydratation se doit d’être adaptatif en fonction des sensations qu’on ressent! Si l’événement se tient dans des conditions climatiques chaudes et humides ou dans un terrain plus abrupt, votre taux de sudation (quantité d’eau perdue par heure) est plus élevé.
Il n’y a rien de pire (sauf peut-être les malaises intestinaux) que de manquer d’énergie pendant son événement d’endurance. Pour vous assurer de ne pas «frapper de mur», il est essentiel d’avoir des repas adaptés avant la course et suffisamment de glucides à consommer pendant l’évènement.
La planification nutritionnelle permet donc de trouver des combinaisons d’aliments que vous aimez bien et qui sont riches en glucides pour faire vos réserves de glycogène (d’énergie) dans vos muscles. Elle vous permet également de planifier combien de produits amener avec vous pendant la course.
Finalement, la planification vous permettra d’adapter ce que vous buvez et/ou mangez pendant l’évènement à ce qui vous sera disponible dans les points de ravitaillement sur le parcours.
La consommation de liquide et glucides avant et pendant l’événement peut conduire à des des inconforts intestinaux qui peuvent être une cause d’abandon. La planification nutritionnelle permet de limiter les inconforts en pratiquant sa stratégie pendant les entraînements et en augmentant graduellement les quantités de liquides et de glucides consommés, en plus de trouver les combinaisons qui sont préférables pour vous.
Si vous éprouvez des difficultés ou que vous vous sentez perdus face à tout ceci, n’hésitez pas à consulter une nutritionniste du sport. Celle-ci saura répondre à vos questions et regardera avec vous quelle est la meilleure stratégie nutritionnelle en fonction de votre niveau, de l’événement prévu et de vos besoins!
Mon équipe est jeune et tout le temps en train de travailler ensemble. C’est vraiment dynamique comme environnement et il y a beaucoup d’entraide. Je sais que je peux aller voir mes collègues à tout moment pour leur poser des questions sur des cas quand j’ai besoin d’un second avis. Ils se rendent toujours disponibles et ça me permet d’assurer une belle qualité de soins à mes patients!
J’adore comment je peux prendre ma place dans ce que j’aime dans la clinique peu importe mon rôle dans l’équipe ou mon niveau d’ancienneté. Je m’implique par exemple dans la qualité des soins en mentorat avec notre nouvelle collègue physio Anabel.
J’ai la chance de pouvoir choisir mes horaires et mes quarts de travail pour concilier ma carrière de joueuse de baseball au niveau national. Je peux ajuster mes horaires à mes entraînements chaque semaine et je trouve ça vraiment motivant! Ce n’est pas partout que je pourrais faire ça.
Mon équipe me permet de partir plusieurs semaines à la fois pour les championnats canadiens de baseball et les qualifications nationales. Je sens que ça leur fait plaisir que je me dépasse dans mon sport. J’ai aussi la chance de pouvoir m’impliquer dans le sport comme thérapeute! Actuellement, je m’implique auprès des équipes de hockey de Cardinal-Roy et auprès de l’équipe de dekhockey professionnel PSL.
Je sens beaucoup de support dans mes projets. Par exemple, je joue au dekhockey et j’ai réalisé que nous n’offrions pas de soins de physio pour aucune équipe dans le coin. J’ai donc vu une belle opportunité qui m’intéressait beaucoup. On m’a donné tout le soutien dont je pouvais avoir besoin et on m’a encouragé à développer ce partenariat. Mon initiative a été très bien accueillie!
Je sens que je peux vraiment développer ma pratique avec notre programme de formations internes et l’accès aux formations externes. J’ai des supers bons mentors! Peu importe l’expertise dont j’ai besoin, je sais que je peux la trouver dans notre grande équipe: que ce soit la course avec Blaise, l’épaule avec JP, le genou avec Vincent, la thérapie manuelle avec Kevin ou autres! J’ai vraiment beaucoup de gens compétents autour de moi et de références en savoir-être et savoir-faire.
C’est vraiment simple d’obtenir l’avis ou des conseils d’un collègue peu importe sa clinique! Dernièrement, j’avais des questions pour Christina à propos d’un cas et en quelques minutes après lui avoir écrit via Slack, on était en pleine discussion et j’obtenais son avis. C’est vraiment un gros plus dans le quotidien d’avoir accès à l’ensemble de ses collègues au bout de ses doigts.
Ça te parle? Toi aussi tu pourrais le vivre! Rend-toi ici pour voir encore plus d’avantages d’évoluer dans l’équipe!
«La plus grande présence du leadership au féminin chez PCN s’inscrit totalement dans la vision d’une entreprise humaine où chacun peut être lui même dans toute son authenticité et sa vulnérabilité. PCN étant composé de plus de 70% de femmes, pouvoir jouir de modèles dans l’organisation qui nous ressemblent et qui vivent des défis semblables est inspirant tout en confirmant qu’on évolue dans la bonne organisation.
J’ai pu observer la diversité d’opinions ou de visions apportées par les femmes dans les dernières années au sein du leadership et ça apporte de bons questionnements pour avancer ensemble dans la bonne direction! C’est une richesse inestimable de pouvoir compter sur des femmes qui s’expriment et s’assument comme leader dans les différentes cliniques!»
– Anick Ritchie
«Si je n’avais pas VU une femme dans un poste de leader, je n’aurais peut-être pas osé penser à y accéder moi-même. On a besoin d’hommes et de femmes dans des postes de leadership au même titre qu’on a besoin de différents types de personnalités au sein d’une gestion saine d’entreprise. C’est ce qui nous permet de couvrir tous les types d’intelligence, de créativité, de capacité, etc.
On doit l’exposer pour que ceux qui en on besoin voient que nos chances et nos droits sont égaux.»
-Christina Gauthier
«Nous avons la chance, dans notre entreprise, de partager le leadership avec plusieurs femmes. Le leadership féminin que ces femmes d’exception nous apportent en est un humain. J’ai noté l’impact de façon globale alors que l’écoute, la VRAIE, permet aux gens de s’exprimer librement et sans crainte malgré les opinions divergentes. Le support, à travers les difficultés professionnels et personnels. La confiance sincère en l’engagement de l’autre.
Bref, un ensemble de valeurs et de gestes concrets tournés vers l’humain. Cet état d’esprit diminue le stress relié à notre charge de travail, améliore les relations de travail et agrémente de plaisir notre quotidien. Merci à vous toutes!»
– Marcel Hardy
«L’impact du leadership féminin chez PCN est qu’il démontre que tout est possible! Aucune barrière n’est présente pour poursuivre notre chemin vers nos aspirations professionnelles et personnelles. Peut importe le chapeau que nous avons (physiothérapeute, agente, etc.), nous avons toutes les possibilités devant nous il ne nous reste plus qu’à les saisir!
J’ai autour de moi chez PCN tellement de modèles de femmes qui me démontrent que tout est possible:
-Edith Castonguay
«Même si ça sonne comme une généralisation, je crois que le leadership féminin chez nous amène certainement plus de sensibilité et d’humanité à nos processus.
Je vois cela facilement en Anick, Édith, Geneviève B., Laurence S. et beaucoup d’autres collègues. Je le vois à l’interne ici à PCN Lévis avec l’impact de plus en plus grand de Noémie sur l’expérience humaine!»
-Simon Genest
«Pour moi l’impact du leadership au féminin, c’est à la base un impact sur l’humain. C’est créer des projets par et pour que les gens se sentent reconnus, appréciés, unis et valorisés. J’ai l’impression que les femmes se donnent la main pour avancer ensemble.
Peut-être parce qu’elles se sentaient exclues quand c’était uniquement des hommes aux commandes et que voyant la valorisation et le bonheur que ça leur amène de se sentir partie intégrante des décisions, elles veulent que le plus grand nombre d’entre elles en profitent.»
-Sonia Beaudry
«Je crois sincèrement que le leadership féminin nous amène plus loin en tant qu’organisation. La touche féminine d’audace, d’authenticité et de bienveillance de ces femmes influencent la grande équipe PCN à se dépasser. Nous avons d’excellents exemples de leadership féminin dans les différentes cliniques, dans l’équipe de soutien et assurément à la direction générale. Je suis fier que ces femmes prennent leur place légitime et que tous l’acceptent comme étant la normalité.»
-Olivier Fallon
«Le leadership des femmes chez PCN, c’est beaucoup de bienveillance et d’écoute. Ce sont des femmes humaines, parfaitement imparfaites, qui donnent le meilleur d’elles-mêmes parce qu’elles ont à cœur le soucis de l’autre. Ce sont des femmes d’exception qui accueillent, rassurent et accompagnent chacun de nos clients. Ce sont ces femmes d’exception que je supporte chaque jour et qui font de moi un meilleur être humain. Elles sont inspirantes nos femmes chez PCN.»
-Cassandra Langevin
«L’intégration de plus de femmes dans la gestion collaborative chez PCN nous a apporté deux forces: davantage d’intelligence émotionnelle (acquise et développée plus naturellement chez les femmes à mon avis) et également plus de sensibilité humaine. Ceci nous aide à avoir un meilleur équilibre au niveau du bonheur de toutes les personnes de l’organisation.»
-Jean-François Marcotte
«L’émergence du leadership féminin a tout simplement propulsé PCN au niveau supérieur. La passion, le courage et la bienveillance des femmes qui façonnent notre organisation nous permettent de devenir meilleurs chaque jour. Bravo et merci!»
-Jean-Philippe Boivin
«On a longtemps pensé que le leader/entrepreneur devait s’appuyer sur des faits et des données cartésiennes sans démontrer d’émotions pour réussir. On a maintenant compris que les organisations les plus performantes sont celles qui incluent des femmes dans leur direction.
L’arrivée des femmes dans les sphères de pouvoir a permis d’intégrer l’intelligence émotionnelle au sein de plusieurs entreprises. Créer du sens, prioriser le bien commun au lieu du bénéfice à tout prix, oser la vulnérabilité: ce sont maintenant des éléments de base qui font que les entreprises performent non seulement en terme de rentabilité, mais aussi en terme de satisfaction de la clientèle et de bonheur au travail. Et nous devons beaucoup de ces éléments à l’arrivée des femmes dans des rôles de leadership.
PCN en est un bon exemple! Nous sommes passés d’une entreprise hiérarchique dans laquelle deux dirigeants masculins imposaient leur vision et façons de faire, à une entreprise gérée horizontalement dans laquelle chacun et chacune peut émettre son opinion et participer aux décisions en visant le bien commun. Cette transformation, nous la devons entre autres aux femmes qui ont osé s’imposer pour prendre la place qui leur revenait. Leurs qualités de leader sont essentielles au succès de PCN!
Bravo mesdames, vous pouvez être fières de ce que vous apportez à notre organisation. Moi en tout cas, je suis très fier de vous!»
-Gilles Courchesne
Pendant longtemps, nous avons vu la répétition des gestes spécifiques au sport comme la seule façon de s’y améliorer. Par exemple, nous demandons à un jeune de 12 ans de pratiquer le soccer tous les jours à l’école en plus d’avoir des pratiques le soir. Et sans parler des matchs!
Une infime partie des athlètes avec une génétique avantageuse et une motivation importante peuvent réussir dans ce modèle. Qu’advient-t-il de la grande majorité de nos jeunes? Ils sont victimes de blessures ou vivent de la fatigue, du manque d’intérêt, de l’anxiété, de l’abandon, etc.
La durée d’arrêt du sport en lien avec la blessure est très variable, passant de quelques semaines pour un claquage à plusieurs mois dans le cas d’une rupture du ligament croisé antérieur. Même la plus petite des blessures musculaires peut prendre 4 à 6 semaines pour récupérer adéquatement et le risque de récidives peut atteindre 48% (Cross 2013)!
L’impact de certaines blessures est si grand que seulement 65% des jeunes athlètes vont revenir au même niveau de soccer après une chirurgie de réparation du ligament croisé antérieur par exemple (Ardern 2014).
Les conséquences de l’ensemble de ces blessures sur la qualité et la quantité de participation sportive chez nos jeunes sont donc majeures!
Les blessures au soccer se produisent souvent lors de changements de vitesses, lors des accélérations ou pendant les changements de directions. Jusqu’à 66% des blessures musculaires et articulaires/ligamentaires se produisent sans contact externe (Jones S. 2019). C’est-à-dire que l’athlète se blesse seul sans avoir été poussé ou tacklé!
Il existe de multiples outils de prévention développés spécifiquement pour le soccer. Ces outils sont extrêmement efficaces, mais on observe souvent des difficultés à maintenir une bonne assiduité à ces programmes. Comme on ne peut pas comptabiliser les blessures qui ont été prévenues en effectuant ces programmes, l’avantage de ceux-ci n’apparaît pas toujours concret pour les joueurs et leur entourage.
Voici quelques exemples d’outils de prévention de blessures et leur efficacité quand on les compare aux groupes qui ne font pas de prévention:
Les chiffres sont éloquents. Le ratio de blessures qu’on voit actuellement est très élevé sachant que nous avons des outils extrêmement efficaces pour les prévenir. Nous aurions collectivement de grands gains en adhérant davantage aux outils de prévention connus.
Besoin de conseils pour implanter de bons outils de prévention? Chez PCN nous sommes toujours là pour vous traiter, mais notre mission est aussi de vous aider à prévenir les blessures !
L’idée de base est de quantifier le stress mécanique (ou l’impact) demandé aux différentes structures du corps humain. Après une période de repos, de vacances ou en retour de blessure, il faut reprendre progressivement les sauts, les réceptions, les ‘’punchs’’ et doser les répétitions de chaque mouvement.
Par exemple, au lieu de faire 8 à 12 séries d’enchaînements acrobatiques au sol ou à la poutre, il pourrait être pertinent d’en faire 6 au total et de travailler la technique des mouvements plus difficiles de manière isolée. On pourrait également utiliser les ‘’fosses’’ pour les réceptions ou des tapis plus épais pour absorber le choc.
Ces exercices vont différer d’un athlète à un autre. Ils peuvent être des exercices de mobilité/renforcement ou stabilisation qui iront travailler les zones moins sollicités pendant les mouvements spécifiques de gymnastique.
Les exercices de prévention de blessures serviront à compléter l’entraînement spécifique et la préparation physique en travaillant afin de garder un bon équilibre au niveau des structures anatomiques.
Par exemple, des exercices de mobilité de la cage thoracique peuvent aider à diminuer le stress sur la partie lombaire de la colonne vertébrale et ainsi diminuer les risques de blessures au bas dos.
Prendre le temps de faire un bon échauffement au début de la séance d’entraînement est également un moyen efficace de prévenir les blessures. Simplement bien activer votre système graduellement: avec des exercices généraux puis plus spécifiques et en augmentant progressivement l’intensité de ceux-ci.
Une douleur anormale est une douleur ou sensation inhabituelle qui apparaît de manière plus ou moins régulière lorsqu’un mouvement donné est répété. Une douleur qui persiste après l’entraînement ou encore une douleur ou raideur qui est présente le lendemain matin est signe qu’il faut prendre action.
Parfois, quelques jours de repos ou des entraînements plus légers peuvent aider à éliminer la douleur. Si une douleur persiste et limite l’entraînement, une consultation rapide avec un professionnel de la santé s’avère nécessaire. Ceci permettra d’évaluer les causes de la douleur et de permettre un retour à l’entraînement rapide et sécuritaire.
Les blessures de surutilisation arrivent plus souvent à l’entraînement qu’en compétition puisque les athlètes y passent beaucoup plus de temps. Il est donc important de savoir reconnaître rapidement une douleur anormale afin de prendre les actions nécessaires pour optimiser la guérison de la structure atteinte et ainsi limiter le temps d’arrêt d’entraînement!
La principale erreur d’entraînement en triathlon est de ne pas courir assez fréquemment dans sa semaine. Entre les entraînements de vélo et de natation, le travail et les obligations familiales, les triathlètes font généralement 2 ou 3 entraînements de course par semaine.
Or, la littérature scientifique démontre clairement que les gens qui courent 4 fois et plus par semaine se blessent moins. Pourquoi? La réponse à cette question est encore une fois la quantification du stress mécanique.
En effet, un athlète qui court plus souvent stimule plus régulièrement son corps à l’impact. Le corps réagit et sera mieux adapté. Mais comment faire pour intégrer un 4e ou 5e entraînements dans son horaire déjà chargé? Voici quelques exemples :
Le fait de courir seulement 2 ou 3 fois par semaine fait aussi en sorte que le triathlète veut toujours « optimiser » son entraînement, soit en courant plus vite ou plus longtemps. Cet effet est encore plus vrai dans les entraînements de groupe où l’on essaie de suivre ceux qui sont plus rapides. Par contre, si le corps n’est pas stimulé assez fréquemment à l’impact, ceci met l’athlète à un plus grand risque de blessure.
Il est donc bien important de diminuer sa vitesse de course dans la majorité de vos sorties, particulièrement pour les longues distances. L’intégration d’entraînement par intervalles (EPI) doit également se faire progressivement, autant en durée d’intervalles qu’en vitesse.
Un autre bon moyen de réduire l’apparition de blessures est de se permettre de faire de la course en fractionné, pas seulement lorsqu’on est blessé. On parle ici d’intégrer quelques minutes de marche dans vos entraînements en zones 1 ou 2, sans augmenter votre vitesse. Contrairement à ce que l’on peut penser, cela n’affectera pas du tout l’effet cardiovasculaire recherché lors des entraînements à faible intensité!
Si vous êtes un triathlète de route, il peut être pertinent d’intégrer occasionnellement une sortie sur une surface plus molle/instable que l’asphalte. L’objectif est de diminuer l’impact sur vos articulations et favoriser une variation dans vos mouvements. Une sortie en trail, sur le gazon, sur la poussière de roches ou la terre battue peuvent faire une différence.
Attention cependant à diminuer la durée et l’intensité de l’entraînement quand vous intégrer une nouvelle surface, car votre corps n’y est pas toujours adapté!
Vous avez essayé tous ces trucs, mais vous avez encore des inconforts? C’est le temps de consulter un professionnel de la santé!
Dans le pas alternatif, le transfert de poids est un élément majeur! En effet, la capacité de transférer complètement le poids du corps d’un ski à l’autre entre chaque poussée et d’être à l’aise de maintenir quelques secondes son équilibre sur un ski permet de profiter pleinement de la glisse.
Un bon indicatif d’un transfert de poids réussi est lorsque le centre de masse du corps se situe au-dessus du pied. De plus, dans une montée, cela permet au fondeur d’aller chercher le maximum d’adhérence sous le ski en déportant le poids de son corps vers l’avant, plus précisément au niveau de l’avant-pied facilitant ainsi la montée.
Pour améliorer ce point technique, il est recommandé d’entraîner votre équilibre unipodal, c’est-à-dire, votre capacité à garder votre équilibre sur une jambe. Il se peut que de maintenir seulement quelques secondes debout sur une surface stable soit assez difficile pour débuter.
Pour avoir un plus grand défi ou pour progresser l’exercice plus tard, il suffit de faire le même exercice, mais en modifiant certains aspects reliés aux sens. Par exemple, mettre le pied sur un oreiller, fermer les yeux ou bien effectuer des mouvements avec les bras pour imiter la technique de ski de fond augmentera le niveau de difficulté.
Le transfert de poids est tout aussi important dans la technique de pas de patin. Ce qui peut nuire à un transfert de poids complet d’un ski à l’autre est le mauvais alignement du genou avec la hanche et la cheville. Cela peut être dû à plusieurs facteurs tels qu’un manque de contrôle moteur du membre inférieur ou une faiblesse des muscles de la hanche.
Pour améliorer ce point technique, le renforcement des muscles fessiers, principalement les abducteurs, peut être un bon point de départ. En effet, les muscles petit et moyen fessiers sont des muscles très importants dans la stabilité et le contrôle du bassin et indirectement sur celui du genou et du pied.
Pour les renforcer, il suffit de se coucher sur le côté au sol, dos à un mur, de sorte que le corps soit parallèle et à environ 1 pied du mur derrière. La jambe du dessus doit faire un mouvement d’abduction, c’est-à-dire de s’éloigner de votre corps en glissant le talon au mur.
Pour un défi supplémentaire, il suffit d’augmenter la résistance en ajoutant une bande élastique autour des genoux (puis progresser autour des chevilles). Le travail musculaire devrait se faire sentir au niveau de la fesse.
Que ce soit en pas alternatif ou en pas de patin, le bassin devrait toujours être stable et la hanche alignée avec le genou, le pied et le ski de sorte à créer un ligne droite.
Cela signifie que le transfert de poids est bien effectué et que le fondeur est complètement en équilibre sur son ski. Ainsi, cela lui permettra de profiter d’un plus long temps de glisse et de maximiser la force qu’il pourra générer lors de sa prochaine poussée.
À première vue, le ski de fond peut sembler être un sport intimidant et très technique, mais rappelez-vous que la clé est d’y aller graduellement et avant tout: d’avoir du plaisir! N’hésitez pas à consulter un physiothérapeute si vous désirez avoir plus de conseils de prévention ou pour assurer la prise en charge d’une blessure. Bon ski!
Pour ceux qui sont moins familier avec la communauté du football, croyez-moi, il s’agit d’un exploit gigantesque!
Annuellement, on peut à peine compter sur les doigts d’une main les joueurs québécois de cet âge qui réussissent à avoir une offre de recrutement complète (qui couvre l’ensemble des frais académiques) dans la plus haute division de football universitaire aux États-Unis. Mais comment a-t-il fait ? De mon point vue, c’est un mélange de talent, d’une confiance inébranlable et de travail acharné.
J’ai rencontré Dylan pour la première fois lorsqu’il était avec les Corsaires de Pointe-Lévis, il était en deuxième secondaire. Tout petit sur le terrain, on voyait rapidement qu’il avait des qualités athlétiques uniques (vitesses, mains, agilité, etc.). Comme la plupart des jeunes talentueux de son âge, ce n’était pas le plus assidu pour réaliser les exercices prescrit par son physio… Il traînait quelques bobos sans y accorder une importance ou un effort particulier, son talent compensait amplement sur le terrain. Je l’ai cependant vu évoluer rapidement dans les années suivantes.
J’ai vu son attitude changer progressivement jusqu’à un réel déclic au moment où il s’est fait recruté par Équipe Canada des moins de 18 ans. Il est alors passé de <ne pas trop faire ses exercices> à vouloir <tout faire ce qui est possible> pour atteindre son objectif: être recruté en division 1. Cela s’est traduit par jouer à une toute nouvelle position (demi-défensif) lors de son passage à Équipe Canada ou encore de prendre la décision de ne pas entamer sa carrière collégiale au Québec, mais de tenter sa chance au sud de la frontière avec les Knights de Clearwater Academy International. Il n’a pas hésité à sortir de sa zone de confort pour atteindre ses objectifs.
Les camps d’évaluation sont la première étape pour se faire remarquer par les recruteurs américains. Appelés combines, il s’agit d’une journée d’évaluation pendant laquelle des centaines de joueurs réalisent des tests de performance athlétiques sur et hors du terrain. Lors du recrutement NCAA aux États-Unis, si vous ne rencontrez pas les standards athlétiques (taille, poids, vitesse, force, puissance) de votre position lors des camps d’évaluations, les recruteurs ne prennent même pas la peine de regarder ce que vous pouvez faire sur un terrain de football. Et cela, Dylan le savait très bien.
Concrètement, il a établi une routine quotidienne d’exercices de mobilité et de relâchement musculaire pour favoriser sa récupération. Il a travaillé sur la gestion de son alimentation. Il a tout donné en préparation physique en salle de musculation. Il a travaillé sa vitesse sur piste d’athlétisme et ça a payé! Par exemple, il a réussi à abaisser son test de 40 verges* à 4.51 sec ! Avec quelques centièmes de secondes en plus, cela aurait pu être suffisant pour refermer la porte sur son rêve.
Cette attitude, il l’a aussi transporté sur le terrain. Avec ses entraîneurs, ils ont fait évoluer son style de jeu et sa compréhension du jeu. Nous n’avons qu’à regarder ses statistiques de la dernière saison pour constater le fruit de son travail: 37 attrapés pour 900 verges de gain et 14 touchés. Il a aussi été un élément majeur dans la victoire de son équipe au championnat de l’État de Floride.
Sans rien enlever à tous ses succès, ce que je trouve le plus impressionnant dans toute cette histoire, c’est qu’il l’a fait avec une confiance absolue au processus qu’il a mis en place. Même dans les moments les plus difficiles des 2 dernières années, lorsqu’il était loin de sa famille, en pleine pandémie et avec des blessures à gérer, il a toujours su garder la même attitude. Pour continuer de progresser, il m’a demandé de le guider en téléconsultation, depuis notre clinique à PCN Lévis.
Durant ses courts séjours au Québec à travers les isolements sanitaires, on a réussi à le prendre en charge au meilleur de nos capacités en physiothérapie et en médecine sportive pour qu’il puisse retourner terminer le travail à sa dernière saison.
C’est pourquoi cette histoire de persévérance vient autant me chercher professionnellement et personnellement. C’est la preuve parfaite que lorsque le talent rencontre la bonne éthique de travail, les belles choses finissent toujours par arriver. Et surtout, que c’est un rêve possible pour nos jeunes joueurs de football du Québec. Pour tout cela, je dis merci et toutes mes félicitations à Dylan et sa famille. Gardez l’œil sur lui, j’ai l’impression que ça ne fait juste que commencer!
*Le test du 40 verges au football est une des mesures standards les plus reconnues par les recruteurs pour évaluer les capacités d’accélération et de vitesse des athlètes. Il consiste à courir une distance de 40 verges le plus vite possible à partir d’un départ statique. Il faut toujours prendre en compte l’outil de mesure (Laser, chronomètre, etc.) avant de comparer les résultats de ce test.
La fatigue mentale et physique s’est probablement installée, et non seulement en raison de la diminution des heures d’ensoleillement et du froid. En effet, après plusieurs mois d’efforts prolongés, votre corps et votre cerveau ont besoin d’une pause bien méritée. Et cette pause, c’est le « off-season ». Voici donc quelques conseils pour mieux vous aider à gérer cette fameuse saison.
Dépendamment des distances ou du nombre d’événements auxquels vous avez participé pendant l’été, une période de récupération active de 3 à 8 semaines est indispensable pour tout athlète. Durant cette période, oubliez les longues sorties ou encore les intervalles à intensité très élevée. Votre système nerveux et musculaire vous sera reconnaissant de leur accorder une récupération optimale et de recharger vos batteries.
Un repos complet et sans activité physique n’est cependant pas recommandé. Vous devez garder un certain stress mécanique sur vos muscles et vos articulations afin de mieux reprendre l’intensité lorsque le moment sera venu. Ceci permet de garder le système nerveux et musculosquelettique éveillé dans vos activités spécifiques et ainsi de mieux redémarrer votre machine par la suite.
En revenant sur le repos actif, profitez de cette saison pour changer de sport en pratiquant d’autres activités que vous aimez ou encore en essayer de nouvelles! Que ce soit la randonnée, la pratique de sports d’équipe, le ski de fond, le ski alpin, permettez-vous de remplacer quelques entraînements de course, natation ou vélo par d’autres sports que vous aimez. Non seulement cela vous fera du bien mentalement, mais cela permettra également de stimuler votre corps dans des mouvements différents, diminuant ainsi le risque de blessure de surutilisation comme la tendinopathie, tout en maintenant votre capacité cardiovasculaire ou musculaire.
Plusieurs études démontrent que 50% à 75% des triathlètes subissent des blessures chaque année. Plus la distance à laquelle vous vous entraînez est longue, plus ce pourcentage augmente. Si vous faites partie de ces statistiques, le « off-season » est le temps idéal pour prendre en charge adéquatement vos blessures. Qu’il s’agisse d’une blessure actuelle, d’une blessure récurrente ou encore d’une blessure que vous avez eu durant la saison, une bonne évaluation par un physiothérapeute ou par un kinésiologue pourrait vous permettre de cibler certaines déficiences qui augmentent spécifiquement chez vous le risque de développer certaines blessures.
Il pourra par la suite vous faire un plan de réadaptation ou de prévention adapté à vos besoins, que ce soit par le biais d’un programme d’exercices ou encore dans la gestion de vos entraînements.
Comme triathlète, vous passez des heures à bien préparer votre corps pour toutes vos épreuves. Votre santé mentale est pourtant un aspect bien souvent sous-estimé pour optimiser vos performances et pour la prise en charge de vos blessures (et oui!). Profitez de la saison où vos entraînements occupent moins de temps sur votre horaire pour intégrer la méditation, le yoga ou encore pour faire de la lecture qui vous inspire! Parlez-en à un professionnel de la santé ou à votre entraîneur, il pourra certainement vous donner quelques ressources!
L’alimentation est également un facteur à ne pas sous-estimer pour optimiser votre période de récupération. Les apports énergétiques ou la répartition des aliments que vous devez absorber doivent parfois être ajustés. N’hésitez pas à consulter un nutritionniste spécialisé en sports d’endurance pour vous guider à ce sujet!
En conclusion, un temps de récupération après votre saison de compétition est souhaitable, que vous soyez un athlète élite ou non. Cette période est même souvent un élément clé dans l’optimisation de vos performances. N’hésitez donc pas à vous reposer ou à consulter un professionnel pour mieux vous encadrer lors de celle-ci!
Pour plus d’informations, n’hésitez pas à consulter un professionnel de PCN!
Références
1) Galera O, Gleizes-Cervera S, Pillard F, Riviere D. Prevalence of injuries in
triathletes from a French league. Apunts Med Esport. 2012;47(173):9-15.
2) Egermann M, Brocai D, Lill CA, Schmitt H. Analysis of injuries in long-distance
triathletes. Int J Sports Med. 2003;24(4):271-6.
3) Shaw T, Howat P, Trainor M, Maycock B. Training patterns and sports injuries
in triathletes. J Sci Med Sport. 2004;7(4):446-50.
Conseils #1: Ajustez vos cales avant la montée
Prendre le temps d’ajuster vos cales de montée pour éviter les blessures aux genoux. Ça ne prend que quelques secondes à faire et cela peut vous éviter de développer un syndrôme fémoro-patellaire entre autres.
En gardant les cales élevées lorsque vous circulez sur un terrain plat, votre genou demeure constamment en flexion. Votre rotule est donc continuellement soumise à des forces de compression. Au contraire, lorsque vos cales sont bien ajustées, votre rotule a un moment de répit lorsque votre genou se retrouve en extension.
Il est d’autant plus important de bien les ajuster lorsque vous descendez une pente. En effet, si vous gardez vos cales levées pendant la descente, votre centre de gravité se trouvera alors plus vers l’avant et vous risquez davantage de tomber et de vous blesser.
Bien ajusté Mal ajusté
Conseils #2: Écoutez le bruit de vos skis lorsque vous montez
Les peaux de chaque ski devraient glisser sur la neige en tout temps. Vous devriez donc entendre le bruit du frottement des peaux contre le sol. Ceci économise donc les muscles fléchisseurs de la hanche puisque ces derniers forcent lorsque votre pied décolle du sol pour fléchir vos hanches. Vous diminuez donc vos chances de vous créer une tendinopathie.
Un truc: si vous entendez vos skis claquer au sol à chaque pas, c’est que vous les levez trop haut et dépensez inutilement votre précieuse énergie!
Conseils #3: Bien choisir la hauteur de vos bâtons
En règle générale, vos mains ne devraient pas être plus hautes que vos épaules lorsque vous poussez pour monter. Pourquoi? Parce ce qu’en dépassant cette hauteur, vous augmentez les risques de créer de l’accrochage au niveau de vos épaules et d’irriter les tendons de la coiffe des rotateurs.
À retenir: lorsque vous montez, gardez en tête de ne pas placer vos mains trop à l’avant de votre corps. Il vaut mieux rester compact et effectuer plus de poussées que d’en faire de trop longues.
Bonus
Lorsque vous êtes perpendiculaire à la ligne de la pente, n’hésitez pas à ajuster la hauteur de vos bâtons ou la prise sur vos bâtons. Celui en amont devrait être plus court ou être pris plus bas que la poignée. Quant au bâton en aval, il devrait être pris sur le dessus de la poignée ou bien être allongé si vous avez des bâtons télescopiques.
Des douleurs en ski de randonnée ou avec votre split-board? Venez nous voir en clinique avec un expert en sports alpins!
Pour commencer, il faut savoir qu’il existe une différence importante entre le ski/snowboard traditionnel en station et le touring/backcountry/haute route/etc. En effet, ce dernier se distingue par le fait qu’il faut monter par ses propres moyens, ce qui porte un stress différent sur votre système. Alors comment faire pour éviter de vous blesser afin de pouvoir en profiter au maximum? Voici des conseils et exercices pour vous aider.
La quantification du stress mécanique demeurera l’élément le plus indispensable pour éviter les blessures en ski de randonnée. Ainsi, même si ça peut être tentant, il faut éviter de faire une trop grande sortie initiale (10km d’approche et 1000m de dénivelé par exemple) et commencer doucement.
Vous pourrez planifier votre début de saison en prévoyant de courtes sorties qui augmenteront avec les semaines pour devenir de plus en plus longues et intenses. Vous pourrez ainsi apprendre à connaître votre équipement et vos capacités physiques graduellement et ainsi, maximiser vos chances de réussite, mais surtout, minimiser vos risques de blessures.
Vous voulez mettre toutes les chances de votre côté pour optimiser votre préparation physique? Voici une série de 3 exercices à faire avant le début de la saison pour mieux vous préparer, en commençant par l’échauffement.
Échauffement :
Débutez avec 5 à 10 minutes d’échauffement (marche, jogging, elliptique, vélo, etc., selon vos préférences)
Poursuivez avec 3 séries de 10 squats avec pause de 30-45 secondes entre les séries
Exercice #1: La fente
Déposez le pied avant sur une surface surélevée pour reproduire l’angle de la montée
3 séries de 10 à 15 répétitions, sans pause
Exercice #2: Flexion des hanches avec élastique
Exercice #3: Renforcement des grands dorsaux avec élastique
Avec l’arrivée du temps plus froid, les précipitations varient beaucoup : elles peuvent passer de neigeuses à pluvieuses en un rien de temps.
Le matériel est donc d’une importance capitale pour éviter les blessures lors de nos sorties en course de trail. Parce que pour avoir du plaisir à pratiquer des sports d’hiver, c’est bien connu, il faut être bien équipé! Des vêtements performants, qui évacuent l’humidité et qui retiennent la chaleur enfilés en pelures d’oignon vous permettront de rester au chaud pendant vos courses hivernales.
La couche la plus près de la peau (le base layer dans le jargon) se doit d’évacuer l’humidité afin d’éviter de devenir tout mouillé et de conduire le froid. La couche du milieu (ou le mid layer), qui est optionnelle selon la température, peut être constituée d’un morceau plus chaud, comme une veste de polyester ou de laine de mérinos. Par-dessus, un coupe-vent/manteau servira à vous protéger des intempéries. Vous pouvez varier l’épaisseur des couches selon la température et les conditions (vent, neige, pluie, …). Il est possible de procéder de la même façon avec le bas du corps, en utilisant un système multicouche plus ou moins épais selon votre tolérance au froid.
Une multitude de gants, de bas et de tuques sont disponibles sur le marché. La technique multicouche peut aussi être possible aux mains et aux pieds. Rendez-vous en boutique spécialisée pour vous faire conseiller le « kit » le plus performant, mais aussi, le plus versatile pour en avoir plus pour votre argent.
Afin de diminuer les risques de blessure, il est important d’adapter le type de souliers avec lequel on court en trail. J’ai couru la majorité de ma vie de coureuse avec mes chaussures d’été en hiver. J’ajoutais simplement des crampons en dessous pour éviter de glisser soit sur la glace des trottoirs ou bien sur la neige glissante des sentiers. L’an dernier, j’ai découvert les chaussures d’hiver et j’ai eu un véritable coup de cœur! Ces souliers sont mieux isolés, parfois même imperméables; donc très confortables par temps froid ou lorsque la gadoue est bien présente. Leur durée de vie est bien souvent plus longue considérant le degré d’usure selon le type de terrain sur lequel vous les utiliserez.
En contrepartie, ceux-ci sont généralement plus dispendieux et ont un moins grand choix de modèles. Alors, une fois de plus, ma recommandation serait de vous faire conseiller en boutique spécialisée en course à pied. En choisissant une boutique accréditée par La Clinique du Coureur, vous serez assuré que les conseillers sont formés en fonction des évidences scientifiques et qu’ils sont en mesure de bien vous conseiller et de répondre à vos questions.
Il peut aussi être nécessaire de modifier sa technique de course afin d’assurer sa sécurité. La glace noire, la gadoue, la neige tapée… autant d’obstacles qui peuvent être sournois ou apparaître quand on s’y attend le moins. Pensez à rapetisser votre foulée: plus vos pas seront petits, plus vous serez stables. Assurez-vous aussi de poser votre pied sur la surface la plus stable possible (asphalte plutôt que plaque de glace, neige molle plutôt que neige très dure) pour éviter de glisser et chuter. L’hiver, ne regardez pas votre montre, diminuez votre vitesse ou adaptez celle-ci aux conditions. L’adaptation du système pulmonaire peut aussi être un défi. Intégrez les courses froides progressivement et n’hésitez pas à diminuer la durée et l’intensité de vos sorties en trail afin d’apprécier vos entraînements. La prudence est de mise!
L’hiver, les entraînements deviennent souvent des aventures qui valent drôlement la peine d’être vécues! Osez sortir et profiter de la saison froide pour que vous puissiez enfin dire vous aussi: ‘’est-ce qu’elle s’en vient la neige?’’.
Et pour prévenir ou prendre en charge une blessure, nos experts de La Clinique du Coureur chez PCN sont là pour vous aider!
Les douleurs, faiblesses et atrophies musculaires peuvent être, parmi d’autres, des symptômes d’une déficience en vitamine D. Il est donc important de maintenir un bon statut nutritionnel en vitamine D que l’on soit sportif ou non. Toutefois, vu l’implication de la vitamine D dans plusieurs fonctions reliées au sport, il est d’autant plus important pour les athlètes de combler leurs besoins!
La vitamine D est synthétisée en majeure partie par la peau lors de l’exposition au soleil. Avec les heures d’ensoleillement réduites pendant l’hiver, il est difficile pour la population canadienne de synthétiser assez de vitamine D via les rayons UV. D’autres facteurs peuvent aussi contribuer à des apports insuffisants chez les athlètes. Parmi ceux-ci, on note l’entraînement à l’intérieur ou à des heures où le soleil n’est pas encore levé, ainsi que la pratique de sports d’hiver nécessitant des entraînements dans des pays nordiques plusieurs mois par année.
L’apport journalier recommandé en vitamine D selon les lignes directrices canadiennes est de 600 UI (Unité International) pour les enfants et les adultes de 70 ans et moins. La même recommandation s’applique pour les athlètes. Lors des mois d’été, s’il y a présence d’une exposition quotidienne au soleil, il est possible de combler les besoins par cette exposition et les apports via l’alimentation. Toutefois, d’octobre à février, les apports alimentaires et l’exposition au soleil ne sont souvent pas suffisants. Une évaluation par une nutritionniste peut vous aider à déterminer vos apports et à les optimiser via l’alimentation et l’ajout d’une supplémentation pendant les mois d’hiver. Un dosage sanguin de la vitamine D pour déterminer le statut nutritionnel est aussi possible pour détecter une déficience.
Peu d’aliments contiennent naturellement de la vitamine D. Parmi ceux qui en contiennent, nous retrouvons le jaune d’œuf et les poissons gras tel que le saumon, le maquereau, la truite et les sardines. Un apport hebdomadaire en poisson peut ainsi aider à augmenter vos apports en vitamine D. Les produits laitiers en sont aussi de bonnes sources puisque ceux-ci sont enrichis. Consommer 2 à 3 portions de lait ou de yogourt par jour assure ainsi une meilleure couverture des besoins. Si vous ne consommez pas de produits laitiers, plusieurs boissons végétales sont maintenant elles aussi enrichies de vitamine D (boisson de soya, boisson d’amande, boisson d’avoine, etc.). Assurez-vous toutefois que l’ajout de vitamine D est bien indiqué dans la liste d’ingrédients.
En conclusion, la vitamine D a plusieurs fonctions chez les sportifs et pour la population générale. Malheureusement, les heures d’ensoleillement réduites pendant les mois d’hiver réduisent la possibilité d’en synthétiser suffisamment via les rayons UV. Une alimentation adaptée et une supplémentation sécuritaire peuvent toutefois aider à rencontrer les besoins.
Si vous souhaitez avoir l’heure juste quant à votre consommation de vitamine D, consultez une nutritionniste chez PCN dès maintenant!
Sources :
Fogelholm, M . (2015). Micronutrients: Vitamins, minerals and antioxidants. In Burke L, Deakin V (eds) Clinical Sports Nutrition (5th edition). Sydney, Australia, McGraw-Hill, pp 310-345.
Gouvernement du Canada (2010) Apports nutritionnels de référence. Consulté sur le web. https://www.canada.ca/content/dam/hc-sc/migration/hc-sc/fn-an/alt_formats/hpfb-dgpsa/pdf/nutrition/dri_tables-fra.pdf.
Kamen DL, Tangpricha V (2010) Vitamin D and molecular actions on the immune system: modulation of innate and autoimmunity. J Mol Med 88, 441-450
Owens, DJ, Allison, R, Close, GL. (2018). Vitamin D and the Athlete: Current Perspectives and New Challenges. Sports Med, 48(Suppl 1), 3-16. doi:10.1007/s40279-017-0841-9
Ruohola, JP, Laaksi, I, Ylikomi, T, Haataja, R, Mattila, VM, Sahi, T, . . . Pihlajamaki, H. (2006). Association between serum 25(OH)D concentrations and bone stress fractures in Finnish young men. J Bone Miner Res, 21(9), 1483-1488.
Whitney, E; Rolfes, S.R. Hammond, G. Piché, L.A. (2013) Nutrients for bone health. In Understanding Nutrition (1st Canadian Edition). Toronto, Canada, Nelson Education, pp.409-440.
S’inspirant du mouvement November Project ayant vu le jour à Boston, le Défi de Novembre a été créé à Québec il y a 8 ans par des professionnels de la santé voulant aider les gens à mieux vivre le mois gris de novembre. Ce sont plus de 28 entraînements matinaux gratuits qui ont été donnés sur les plaines d’Abraham à des participants de tout âge dans les dernières années!
L’événement se tient de façon virtuelle une fois de plus cette année afin de permettre au plus grand nombre de gens possible d’y participer. Chaque mardi matin de novembre à 6h30, l’entraînement sera donné en direct en audio afin que les participants commencent leur journée dans le plaisir et l’air frais. Le Défi devient donc accessible de peu importe où vous êtes! Chacun est invité à sortir dehors que ce soit dans sa cour arrière, dans un parc ou dans son entrée de stationnement! Aucun équipement n’est nécessaire.
« Notre objectif est de faire vivre un mois de novembre plus joyeux aux participants! Nous sommes plus motivés que jamais à aider les gens à commencer leurs journées avec une bonne dose d’endorphines!»
– Edith Castonguay, coach du Défi de Novembre et physiothérapeute chez PCN Physio
Bouger oui, mais surtout bien encadré! Les coachs qui donneront les entraînements virtuels sont tous des professionnels de la santé de PCN Physio. Ils donneront aux participants leurs conseils de pro tout au long des entraînements afin que chacun puisse adapter les mouvements à la maison. Le Défi peut donc être relevé peu importe son niveau de forme physique, en famille et même avec son animal de compagnie!
Rendez-vous sur la page Facebook du Défi de Novembre pour avoir accès aux entraînements en direct tous les mardis matin de novembre!
Lors de leur rendez-vous en physiothérapie, les gens nous témoignent qu’ils passent plus de temps assis et, surtout, qu’ils le sont plus longtemps et de façon consécutive. En effet, ils ont moins besoin de se lever souvent et de se déplacer, car tout est à portée de main dans la maison. Bref, ils sont plus sédentaires.
C’est sans compter leurs nouveaux milieux de travail (table de cuisine, chambre à coucher, etc.) qui ne sont pas adaptés.
Débutons tout de suite en mettant quelque chose au clair concernant la posture : les études scientifiques n’établissent pas de lien significatif entre les différentes postures et le développement de douleur.
En résumé :
Concernant la position assise prolongée (sédentarité), la science est très claire: trop de temps assis est mauvais pour la santé.
En résumé :
C’est simple : « Lève-toi et marche! »
En effet, la meilleure prévention est d’être debout plus souvent et de bouger. Ce qui est recommandé par l’organisation mondiale de la santé (OMS), c’est de faire minimalement 30 minutes d’activités physiques modérés, 5 fois par semaine.
Au bureau, il est recommandé de se lever et de bouger 1 fois par heure, afin de diminuer les risques pour la santé générale et les douleurs musculo-squelettiques. En plus, le fait de s’activer fréquemment dans notre journée de travail sert aussi de micro-pause et a des effets bénéfiques sur la productivité au travail.
Les bureaux ajustables sont également une piste de solution intéressante afin d’alterner entre du travail assis et debout. Et pourquoi pas faire vos réunions virtuelles tout en prenant une marche dehors!
Pas d’inquiétudes si votre posture assise n’est pas optimale; le corps humain est adaptable et est capable d’en prendre… Il faut cependant éviter d’être assis trop longtemps dans la même posture… Et surtout d’être trop sédentaire dans votre journée.
Alors… Debout et bougez !
Références
o 2021-Dunstan-Nature reviews cardiology : https://www.nature.com/articles/s41569-021-00547-y?fbclid=IwAR2y03Kg6RSJmBFTYhyGj9CJkWnRPxp7UYA25Fanr4JH75OTV v2F3Mut1ZU
o 2016-Ekelund-The Lancet : https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(16)30370-1/fulltext
o 2015-Biswas-Annals of internal medicine :https://pubmed-ncbi-nlm-nih-gov.acces.bibl.ulaval.ca/25599350/
o Lève-toi et marche-Denis Fortier physiothérapeute : https://www.renaudbray.com/Livres_Produit.aspx?id=2385355&def=Lèvetoi+et+marche+!+%3a+le+remède+miracle+existe+et+il+est+gratuit%2cF ORTIER%2c+DENIS%2c9782895687382
o Pomodoro technique : https://francescocirillo.com/pages/pomodoro-technique
L’équipe de PCN Beaupré a rejoint l’équipe de PCN Ste-Anne au 9745 boul. Sainte-Anne. Ensemble, tous vos thérapeutes continuent d’être disponibles pour vous prodiguer les soins professionnels que vous connaissez. Ils vous accueillent maintenant dans des locaux récemment rénovés, adaptés à vos besoins, spacieux et lumineux!
Nous poursuivons nos partenariats et implications sportives dans la communauté de la Côte-de-Beaupré, car vous aider à atteindre vos objectifs nous tient à cœur! Comme vous, nous sommes mordus de vélo, de course, de randonnée et de sports alpins (pour ne nommer que ceux-là) et on ne veut laisser aucune douleur vous arrêter.
Que vos objectifs soient de retourner pratiquer votre activité préférée sans douleurs ou de performer vers un nouveau sommet, nous serons là pour vous accompagner!
Nous sommes fiers d’être la référence en physiothérapie sportive dans la région pour prendre soin de vous grâce à nos expertises multiples et complémentaires.
Nous vous offrons maintenant tous nos services en un seul lieu pour simplifier votre prise en charge:
Contactez-nous au 418-827-1096 pour obtenir l’aide d’un professionnel à PCN Côte-de-Beaupré. Toute l’équipe a bien hâte de vous recevoir dans ses nouveaux locaux!
Il est maintenant temps de vous inscrire au Cours PCN: Blessures sportives, interventions et principaux tapings, qui aura lieu les 2 et 3 octobre 2021.
Le Cours PCN aura lieu à Québec à La Scène Lebourgneuf, située au 815 Boul Lebourgneuf à Québec (G2J 0C1).
Inscrivez-vous rapidement, les places sont limitées !
Fermeture des inscriptions le 28 septembre 2021.
Pour inscriptions : Le Point de Vente
Pour plus d’informations, consultez le dépliant informatif en cliquant ici.
Pour toute question:
Andrée-Anne Boucher-Duplain, [email protected] ou (418) 780-1771 #1229
Voici quelques données statistiques rassemblées sur 100 écoles américaines par le National High School Sports-Related Injury Surveillance System pour la saison 2018-2019 (1)
Sports |
*Nombre de blessures par 1000 athlètes, par exposition. |
Football |
3,74 |
Soccer féminin |
2,51 |
Hockey sur glace |
2,42 |
Moyenne des 9 sports étudiés |
1,81 |
*Le nombre de blessures a été calculé en considérant qu’une exposition est une séance d’entraînement ou un match et, ensuite, ramené par tranche de 1000 athlètes.
Type de blessure |
Pourcentage |
Entorses et claquages |
36% |
Commotions cérébrales |
26%* |
Fractures |
12% |
Autres |
13% |
*À noter que le pourcentage de commotions tombe à 19% lors des entraînements.
Mais qu’en est-il de la prévention des blessures au football ? Nous profitons de cette rentrée scolaire qui annonce le début de la saison de football pour mettre en lumière quelques bonnes pratiques de prévention dans ce merveilleux sport.
Le football est unique de par la répartition annuelle de la charge d’entraînement et de compétition. En effet, au Québec, la saison des compétitions est très intense; elle se déroule généralement sur 3 à 4 mois, soit du mois d’août au début novembre. Selon le niveau de l’équipe, 3 à 5 séances d’entraînement ont lieu par semaine en plus d’un match.
Les 8 à 9 autres mois du reste de l’année servent donc à préparer le corps à encaisser cette charge de travail. Une bonne préparation physique comprend des objectifs de mobilité, de contrôle, de stabilité, de musculation et d’habiletés de course. Elle permet de réduire le risque de la plupart des blessures au football (2). C’est aussi une période qui permet de pratiquer d’autres sports (ex. basketball, soccer, hockey) afin d’éviter une spécialisation trop rapide chez les jeunes, un autre principe de base dans la prévention des blessures. (3)
Dans tous les sports, un antécédent de blessure par le passé est l’un des facteurs de risque les plus importants. Au Québec, il est obligatoire pour toutes les équipes de football d’avoir un secouriste formé par Football Québec (ou avec preuves d’équivalence) afin de prendre part aux matchs (4). Il est même pratique courante pour les écoles et programmes de s’entourer de physiothérapeutes ou thérapeutes du sport afin d’avoir un encadrement au-delà des premiers soins. Cela permet également d’intervenir dans la gestion optimale des blessures et des antécédents. Entre autres, des questionnaires médicaux, des évaluations pré-saison et des suivis individualisés des facteurs de risque sont de bonnes stratégies à utiliser afin de minimiser ce facteur de risque.
Heureusement, l’échauffement est bien ancré dans la culture du football. En effet, avant chaque match, plusieurs minutes y sont consacrées. Cependant, il peut être difficile d’obtenir ce même haut niveau d’échauffement lors des entraînements, ce qui s’explique généralement par l’horaire chargé des athlètes et par la disponibilité de terrain, etc. Par exemple, selon la même étude que celle présentée dans les tableaux 1 et 2 ci-haut, 23,2% des blessures répertoriées en entraînement sont survenues dans la première heure de la séance (1). Il est alors pertinent de se questionner quant à l’optimisation du temps alloué à cet échauffement. La science évolue rapidement sur le sujet et les physiothérapeutes, kinésiologues et préparateurs physiques sont de bonnes ressources afin d’aider les programmes à optimiser l’échauffement de leurs athlètes.
Enfin, comme dans tous les sports, une surcharge d’entraînement par rapport à la capacité d’adaptation du corps est responsable de la majorité des blessures non traumatiques (5). Selon les principes de la quantification du stress mécanique, il suffit d’écouter son corps afin d’éviter cela. Parfois, une diminution partielle de la charge d’entraînement pour quelques jours suffit à la récupération et permet d’éviter un arrêt prolongé. Une bonne communication entre les entraîneurs et l’équipe de soins permet également d’agir au jour le jour dans le dosage de l’entraînement des athlètes.
En conclusion, malgré que le football représente un certain risque de blessures, l’impact bénéfique qu’il laisse sur la santé globale, le développement académique, athlétique, personnel et social des jeunes sera toujours plus important à mes yeux. Il faut donc poursuivre une réflexion continue sur nos moyens de prévention et de gestion des blessures afin que la balance des risques et des bénéfices reste toujours du côté des bénéfices !
Bonne saison !
Sources :
(1) CONVENIENCE SAMPLE SUMMARY REPORT, NATIONAL HIGH SCHOOL SPORTS-RELATED INJURY SURVEILLANCE STUDY. (2018-19). Research Projects | Program for Injury Prevention, Education & Research | Colorado School of Public Health.
(2) https://www.urmc.rochester.edu/orthopaedics/sports-medicine/football-injuries.cfm
(3) https://scienceperfo.com/la-specialisation-hative-vs-la-diversification-chez-les-jeunes/
(4) : https://footballquebec.com/securite/
(5) : https://lacliniqueducoureur.com/quantification-du-stress-mecanique/
Crédit photo: Martin Boisvert
Lors d’un rendez-vous en physiothérapie, vous avez peut-être remarqué que votre professionnel pose beaucoup de questions en lien avec votre santé en général, au-delà de seulement votre historique musculosquelettique. Il le fait, entre autres, pour déterminer l’impact de vos différentes problématiques de santé sur votre posture. En d’autres mots, il évalue vos mécanismes d’adaptation, soit comment votre corps adapte sa posture pour protéger certaines fonctions essentielles.
La première fonction essentielle de notre corps est la plus évidente; il s’agit de la respiration. Afin de garder une respiration adéquate, le corps sera prêt à sacrifier une partie de sa mobilité ou de sa stabilité ce qui aura un impact sur les comportements posturaux.
Par exemple, si vous souffrez d’asthme et avez de la difficulté à respirer efficacement lors des activités de grande intensité, votre corps cherchera à vous procurer l’air dont vous avez besoin par tous les moyens possibles. Ce pourrait être en vous faisant hausser les épaules ou arquer le dos par exemple.
Le fait de boiter en marchant est la démonstration de la deuxième fonction que le corps cherche à préserver; la locomotion, autrement dit, la marche. Toutefois, cette boiterie peut causer des blessures à long terme si elle n’est pas corrigée rapidement. En effet, si un mouvement inadéquat se fait à chaque pas et qu’il persiste dans le temps, il peut amener une surcharge dans la zone qui compense pour l’articulation blessée.
La troisième fonction essentielle est la digestion. Lors de maux de ventre, un individu aura des comportements posturaux particuliers afin de se protéger, de soulager sa douleur ou lorsqu’il va à la selle et doit forcer davantage. De plus, cela peut créer des tensions au niveau des tissus de l’abdomen qui se répercutent sur la mobilité globale.
La reproduction est aussi prioritaire à préserver pour l’être humain. Par exemple, à la suite d’un accouchement difficile, lors des règles, suite à un cancer utérin ou de la prostate ou simplement à cause d’un mauvais apprentissage des muscles sphinctériens, un individu pourrait développer de mauvaises stratégies pour éviter des fuites urinaires ou des douleurs d’origine périnéale. Cela aura un impact sur la mécanique du bassin et donc, sur la mobilité globale.
Finalement, les différents systèmes peuvent se compenser entre eux. Par exemple, si vous entendez très peu d’une oreille ou vous voyez moins bien d’un œil, inconsciemment, lors de vos interactions avec les autres, vous tournerez probablement la tête, le cou ou le tronc pour bien entendre ou pour mieux voir. Il pourrait en résulter des douleurs d’origine musculosquelettique.
Un physiothérapeute formé en RPG peut repérer ces mécanismes d’adaptation et intervenir afin de les corriger. Celui-ci pourra vous orienter vers une ressource compétente afin de compléter l’intervention et obtenir des résultats plus durables. Il pourra aussi vous aider à identifier vos compensations et à y trouver d’autres options plus fonctionnelles pour votre corps.
Cela permettra aussi d’établir des objectifs réalistes et pourrait vous aider à avoir des réponses lorsqu’une douleur vous incommode et qu’elle vous semble impossible à régler.
Demandez l’aide d’un physiothérapeute expert en RPG dès maintenant!
Le terme posture réfère à la position statique ou dynamique du corps dans l’espace et à la position des différents membres les uns par rapport aux autres. En RPG, on analyse la posture d’un individu surtout en lien avec ses rétractions musculaires et avec ses particularités structurelles et morphologiques.
La plupart des gens ont quelques blessures à leur actif; une fracture à l’enfance, quatre ou cinq entorses en jouant au soccer à l’adolescence, des maux de dos de longue date… Ces blessures laissent presque toujours des traces!
C’est pourquoi il est presque toujours pertinent d’intervenir à la suite d’une blessure pour éviter d’éventuelles conséquences. Parfois, il s’agit simplement d’identifier les restrictions causées par cette lésion et d’obtenir les conseils qui s’imposent. Il peut aussi s’agir d’un suivi plus spécifique en physiothérapie afin de regagner la mobilité et de corriger les compensations, même si celles-ci ne semblent pas évidentes et si on a l’impression que le problème est résolu.
Le physiothérapeute formé en RPG saura aussi démystifier des éléments qui vous semblent moins clairs. Cette approche globale vise à aider les gens à résoudre d’anciennes conditions qui ont laissé leur empreinte.
Les activités que l’on pratique auront aussi un impact favorable ou défavorable sur notre mobilité. Pendant ou après la période de l’année où l’on pratique une activité, il peut être pertinent d’être orienté afin de protéger la posture et d’éviter les asymétries importantes, surtout si vous pratiquez cette activité de façon régulière.
Il en est de même pour votre posture ou vos gestes au travail. Il peut ainsi s’avérer nécessaire de consulter un kinésiologue, un ergonome ou un entraîneur spécifiquement formé pour votre besoin.
Notre développement façonne l’adulte que l’on deviendra. Il est donc fortement conseillé de garder l’œil ouvert pendant la croissance des bébés et jeunes enfants. Que ce soit pour repérer rapidement une scoliose ou pour s’assurer que ceux-ci passent par toutes les étapes importantes du développement moteur.
Par exemple, la position ventrale et le quatre-pattes sont primordiales pour acquérir la stabilité des épaules. Ces aptitudes ne seront pas remplacées d’elles-mêmes plus tard, car lors de l’acquisition de la marche, l’individu ne met plus autant de mise-en-charge sur ses bras.
Il en est de même pour la plupart des étapes du développement. Vous pourrez au besoin solliciter l’aide d’un physiothérapeute formé en pédiatrie afin de vous éclairer sur la croissance de votre tout-petit.
Votre posture est donc la réflexion de votre développement, de vos anciennes blessures, de vos activités et même de votre état d’esprit! Cela peut en dire long sur vous! Consultez un physiothérapeute expert en rééducation posturale globale qui saura vous aider à y voir clair!
Tout d’abord, il faut différencier l’étourdissement du vertige, les deux étant fréquemment confondus.
D’abord, l’étourdissement est souvent décrit comme une sensation de «tête légère», d’instabilité, de perte d’équilibre ou encore, comme une sensation de faiblesse générale. Les causes sont multiples :
Quant au vertige, il est plutôt caractérisé par une sensation rotatoire. En effet, les gens ayant des vertiges décrivent souvent la pièce ou les objets comme tournant autour d’eux. C’est le mouvement de l’œil nommé nystagmus qui provoque cette sensation. Par ailleurs, c’est un trouble de l’oreille interne qui cause la majorité des vertiges, mais le système nerveux central et, plus rarement, de la région cervicale peuvent également les causer.
Il faut savoir que les étourdissements accompagnent régulièrement les vertiges, alors que le contraire n’est pas nécessairement vrai. De plus, il n’est pas rare que les gens souffrant de vertiges ressentent également des pertes d’équilibre ou encore des troubles gastro-intestinaux (nausées, vomissements, diarrhées). Certains patients ressentent aussi les symptômes des troubles auditifs (acouphènes, diminution de l’audition, sensation d’oreille bouchée). Les pathologies les plus communes associées aux vertiges de l’oreille interne sont :
Avant tout, il faut savoir que ce n’est pas tous les physiothérapeutes qui pratiquent la prise en charge des étourdissements et vertiges. En effet, ceux qui choisissent cette discipline doivent suivre plusieurs formations afin de pouvoir évaluer et prendre en charge efficacement les patients touchés par cette problématique.
Lors d’une première consultation avec un physiothérapeute pour des étourdissements et/ou vertiges, celui-ci fera d’abord une évaluation en vous questionnant de façon approfondie sur vos symptômes. L’examen physique consistera à déterminer s’il y a présence de signes neurologiques ou encore de déficit de contrôle oculomoteur, d’équilibre, de dysfonction cervicale et/ou, bien évidemment, de l’oreille interne. Il possède ainsi les outils afin d’identifier la cause de la problématique et de créer un plan de traitement.
L’évaluation du physiothérapeute permet également de détecter certains signes indiquant la présence d’une condition qui ne fait pas partie de son champ de pratique (ex: d’origine cardiovasculaire ou neurologique) et qui nécessiterait la prise en charge par un médecin ou un autre professionnel qualifié. Le cas échéant, il pourra vous référer vers le bon intervenant.
Les traitements en physiothérapie vestibulaire sont très spécifiques à la problématique du patient. La principale intervention vise l’enseignement de la gestion des symptômes au quotidien et à réadapter les déficiences notées lors de l’examen physique par le biais d’un programme d’exercices à domicile. Selon le cas, on pourra donc réadapter les déficiences provenant d’un ou plusieurs systèmes incluant l’oreille interne, le contrôle oculomoteur, la région cervicale et l’équilibre. À cela, le thérapeute ajoutera parfois des traitements de thérapie manuelle visant à traiter la région cervicale ou parfois même, des séances de réalité virtuelle.
Aussi, il arrive à l’occasion que le physiothérapeute travaille en collaboration avec d’autres professionnels tels que le médecin de famille, un médecin oto-rhino-laryngologiste (ORL) ou encore un orthoptiste afin d’optimiser l’évolution du patient.
En conclusion, les étourdissements et les vertiges sont des symptômes très répandus dans la population. Heureusement, le physiothérapeute peut rapidement vous aider à identifier la cause de ceux-ci et ainsi, prendre en charge cette problématique avec des interventions personnalisées qui vous aideront à reprendre vos activités.
Référence:
Neuhauser HK. The epidemiology of dizziness and vertigo. Handb Clin Neurol. 2016;137:67-82. doi: 10.1016/B978-0-444-63437-5.00005-4
L’acquisition de cette deuxième clinique sur la Côte-de-Beaupré nous permettra d’offrir encore plus de services pour notre clientèle de la région. Nous unirons nos forces avec l’équipe en place pour devenir LA référence en santé sur la Côte-de-Beaupré avec une équipe aux expertises multiples à votre service.
Vous retrouverez la même équipe d’expérience en place à PCN Ste-Anne dans le Complexe Santé Côte-de-Beaupré. Vous pourrez continuer de recevoir les soins de vos thérapeutes à PCN Ste-Anne et PCN Beaupré dans leurs locaux respectifs pour les prochains mois.
À la fin de l’année, les deux équipes se rejoindront au Complexe Santé Côte-de-Beaupré dans des locaux aménagés de façon encore plus spacieuse et deviendront ensemble PCN Beaupré!
«J’aime la Côte-de-Beaupré et j’aime les gens qui y sont. De pouvoir leur offrir une équipe encore plus grande aux expertises multiples me rend très heureuse! Nous avons chacun beaucoup à nous offrir et nous pourrons développer de beaux projets ensemble.»
–Isabelle Trottier, physiothérapeute leader de clinique à PCN Beaupré et Ste-Anne
Leader en physiothérapie depuis plus de 30 ans, PCN Physio guide les sportifs de loisir jusqu’au athlètes internationaux dans l’atteinte de leurs objectifs! Comptant 13 cliniques dans la région, nos thérapeutes multidisciplinaires s’impliquent dans la communauté pour assurer des soins de grande qualité aux gens actifs.
Cynthia Tremblay et Emmy Leclerc animeront des séances d’exercices tout l’été pour vous aider à intégrer l’activité physique dans votre horaire. Les séances s’adressent à tout le monde, peu importe votre niveau d’activité physique! Les mouvements seront adaptés à votre condition physique pour permettre à tous d’en profiter pleinement.
En petits groupes, vous serez guidés au travers de plusieurs mouvements et exercices. Vous recevrez également un défi à réaliser chaque semaine à l’extérieur des séances.
Quand: Les mardis de 8h à 9h du 6 juillet 2021 au 24 août 2021
Coût: 12$ par séance (96$ pour la session)
Endroit: le point de rencontre est à PCN Beauport pour se déplacer ensuite vers un parc avoisinant
Pour vous inscrire: appelez-nous à PCN Beauport au 581 701 8502
Cynthia Tremblay est passionnée du sport et aime aider ses patients à évoluer et atteindre leurs objectifs!
Physiothérapeute, elle pratique aussi de nombreux sports comme la course de trail, le CrossFit, le vélo de route et le ski de fond.
Incapable de passer une journée sans bouger, elle s’implique dans le milieu sportif depuis plusieurs années en plus de sa pratique clinique à PCN Beauport. Elle saura bien vous guider dans vos mouvements pour prévenir les blessures.
Emmy Leclerc aime aider les gens à développer de bonnes habitudes de vie! Étudiante en technique de physiothérapie, elle est aussi membre de l’Escouade PCN où elle s’implique auprès d’équipes sportives.
Emmy adore bouger par la course et l’entraînement. Ancienne nageuse de niveau provincial, elle a aussi pratiqué le basket-ball pendant plusieurs années. Elle saura vous motiver à bouger!
Ces muscles sont très sollicités lors du canicross pour aider à ralentir votre chien lorsque nécessaire. Également, lors de la descente de côtes, ces muscles sont également très utiles pour vous éviter d’être trop fortement propulsé vers l’avant par la traction faite par votre chien.
Vous pouvez faire un exercice à l’aide d’une marche d’escalier.
Une ceinture est nécessaire pour protéger votre dos pour faire cette discipline. Des exercices d’abdominaux peuvent venir vous aider à protéger votre dos également.
Vous pouvez faire une planche dynamique, appelé régulièrement le mountain climber
En canicross, vous devez avoir un bon équilibre alors il peut être nécessaire de le travailler.
Il permet d’être solide sur ses jambes si jamais votre chien perd sa concentration et choisi d’aller courir après un écureuil!
Vous souhaitez obtenir de l’aide pour bien vous préparer à débuter le canicross? Faites confiance à un professionnel PCN expert en course à pied!
Comme n’importe quelle activité, être bien équipé rend toujours les choses plus agréables. Voici quelques points à observer ou à prendre en compte dans vos achats:
– Une chaussure de la mauvaise taille, tant en longueur qu’en largeur, pourrait être responsable de douleurs ou d’engourdissement au pied. Si vous avez un doute, vous pouvez demander en boutique que l’on mesure votre pied pour s’assurer que votre chaussure respecte votre morphologie.
– Contrairement à certaines croyances, un soulier plus dispendieux ne sera pas nécessairement plus confortable: il sera plus léger et rigide, mais ceci n’est pas gage de confort.
– Un cuissard ou un bib de qualité est essentiel si vous avez des douleurs à la selle. C’est une des seules pièces d’équipement dont l’impact principal sera le confort du cycliste et où il vaut vraiment la peine d’investir un peu plus. Encore une fois, la taille de votre short cycliste est importante, surtout pour éviter des problèmes de frottement. Une crème à chamois peut être une solution alternative pour ce type de désagrément.
– Une bonne paire de gants ou des inserts en gel qui se placent sous la guidoline peuvent être intéressants si vous avez des douleurs aux mains en pédalant. Par contre, un gant très coussiné peut causer des zones de pression à la main: l’approche minimaliste est à favoriser. Un gant protègera aussi vos mains d’abrasion en cas de chute.
Une selle s’ajuste dans 3 plans: la hauteur, le recul et l’inclinaison. Pour trouver la position parfaite, je vous recommande de vous faire évaluer par un physiothérapeute avec les connaissances et l’expérience nécessaire. Par contre, il y a quelques signes clairs que quelque chose ne va pas.
– Hauteur: lorsque votre pied se trouve au bas du pédalier, votre genou devrait être légèrement fléchi. Si votre genou est complètement étendu, la selle est fort probablement trop haute. À l’inverse, un genou trop fléchi est signe d’une selle trop basse. Surveillez aussi votre bassin, qui devrait rester stable lors du mouvement de pédalage. S’il se balance de gauche à droite, cela pourrait être parce que votre selle est trop haute ou trop étroite.
– Recul: pas de truc magique ici. La selle devrait se trouver autour du centre des rails, mais elle peut être déplacée légèrement devant ou derrière selon le cas. Une selle qui se trouverait à une extrémité des rails (très avancée ou très reculée) est souvent signe que le vélo n’est pas de la bonne taille. Si vous avez des doutes, venez nous voir en clinique.
– Inclinaison: Une selle devrait être au niveau ou très légèrement incliné vers le bas. Une selle trop inclinée vous poussera vers le devant du vélo et entraînera bien des problèmes. Une selle inclinée vers le haut comprimera les tissus mous du périnée, ce qui causera des douleurs et/ou engourdissement dans cette région. Non, ce ne sera pas agréable!
Le vélo est un sport principalement statique: les pieds sont attachés aux pédales, les fesses sur la selle et les mains sur le guidon. Il est important de modifier sa position pour éviter les inconforts. Se lever de la selle (même sur le plat), changer la position des mains (sur les cocottes, dans les « drops » et sur le dessus du guidon) ou même s’étirer le dos augmentera votre tolérance lors de longues sorties.
Peu importe le sport, une progression raisonnable des distances et de l’intensité au fil des semaines est essentielle pour prévenir les bobos. Les premières sorties de la saison devraient être plus courtes et à intensité légère ou modérée. Si vous avez des objectifs pour la saison (ex: compléter son premier 100 km), assurez d’avoir un plan qui vous mènera progressivement vers votre but.
Ne me méprenez pas: le vélo est un sport fantastique! Mais comme le gâteau au chocolat, chaque chose est bonne en modération. Varier d’activité de temps à autre permettra d’éviter de développer certains déséquilibres musculaires. C’est d’autant plus important chez les cyclistes, car la position sur le vélo est très similaire à celle assise au bureau. Il est donc fréquent de remarquer un manque de flexibilité des fléchisseurs de hanche et des tensions au cou chez ceux qui passent leur journée sur la chaise de bureau ou en selle.
Afin de contrebalancer ces maux, plusieurs options s’offrent à vous: randonnée en montagne, yoga, natation, exercices de renforcement et d’étirement, etc.
L’entre-saison hivernal est aussi un bon moment pour diversifier vos pratiques sportives. Personnellement, mon entraînement de décembre à avril inclut 2 sorties de ski de fond et 2 séances d’entrainement en salle en plus des heures de pédalage sur le rouleau chaque semaine.
Vous avez lu tout cela, vous avez essayé quelques trucs, mais vous n’êtes toujours pas confortable à vélo? Venez nous voir à la clinique pour qu’on regarde ça ensemble!
Une mauvaise coupe de l’ongle, la transpiration excessive et la courbure de notre ongle sont les principales causes d’un ongle incarné. Cependant, plusieurs autres facteurs peuvent engendrer un ongle d’orteil incarné, notamment les suivants:
Dès l’apparition des premiers symptômes, il est important de commencer les traitements maison le plus rapidement possible. Voici donc trois conseils pour vous :
Si ces méthodes échouent, vous pouvez tenter de couper votre ongle selon vos habiletés. Cependant, cette manœuvre est souvent déconseillée, car elle peut aggraver la situation. Faites donc attention et respectez vos limites.
Effectuez des traitements à domicile pendant quelques jours à quelques semaines. Si la douleur s’aggrave ou si vous avez de la difficulté à marcher ou à faire d’autres activités à cause de l’ongle, cessez tout traitement maison et consultez votre podiatre.
L’autre option reste de consulter un professionnel de la santé en la matière comme un podiatre. Lors de votre visite, le podiatre évaluera votre condition et votre ongle. La plupart du temps, deux options vous seront alors suggérées :
La première option est plutôt simple, ne nécessite pas d’anesthésie et vous sera prodiguée avec des conseils d’usage.
La deuxième option nécessite une anesthésie, mais est aussi très simple a effectuer pour le podiatre. Cette procédure se nomme : matricectomie partielle de l’ongle. Elle dure environ 30 minutes et les contre-indications sont minimes pour l’effectuer. Elle consiste à retirer la partie de votre ongle qui est problématique afin qu’elle ne repousse plus. Le taux de succès est d’environ 95% et ne nécessite pas l’arrêt ou une limitation prolongés des activités.
Souvent, un léger inconfort peut durer 2 à 3 jours suite à l’intervention. Cet inconfort limite très rarement les activités.
Ensuite, le retour aux activités normales peut se faire. La plupart du temps, la course peut être reprise à ce moment tout dépendant de la douleur ressentie au niveau de l’ongle.
De plus, un suivi post opératoire est effectué 1 semaine après l’intervention. L’aspect esthétique de votre ongle est conservé suite à la procédure étant donné que ce n’est qu’une petite partie de votre ongle qui est retirée.
Si vos douleurs à votre ongle d’orteil vous empêchent de bien performer, n’hésiter pas à consulter Dominic Chicoine, podiatre à PCN La Capitale, il saura trouver une solution personnalisée pour vous.
Aussi connu sous l’abréviation VPPB, les vertiges positionnels sont une problématique bénigne, soit sans conséquence grave, de l’oreille interne. La personne atteinte peut ressentir des vertiges intenses sous forme de rotations de courte durée (moins de 30 secondes) variant selon le positionnement de sa tête.
Le vertige positionnel est un problème au niveau de l’oreille interne, plus précisément au niveau des canaux semi-circulaires. Ceux-ci font partie du système vestibulaire. Ce système aide au maintien de l’équilibre et détecte les mouvements de la tête. Il arrive que des cristaux, qui sont normalement collés dans une autre partie de l’oreille interne, se délogent et se retrouvent dans un canal semi-circulaire. Cela entraînera une stimulation au niveau de ce canal.
Le cerveau recevra alors un message de la part de votre système vestibulaire lui disant que vous êtes en train de tourner. Vous ressentirez donc des vertiges intenses par la faute des cristaux.
Le traitement est simple et efficace. Il visera à renvoyer les cristaux dans leur lieu d’origine grâce à des manœuvres du corps et de la tête. Ainsi ils arrêteront de stimuler le système vestibulaire inadéquatement et les vertiges cesseront.
Le physiothérapeute vous accompagnera dans l’identification et la réalisation de la bonne manœuvre thérapeutique à effectuer pour régler votre problème. Il est aussi possible qu’il vous les enseigne pour que vous puissiez gérer votre condition par vous-même à la maison.
Vous connaissez quelqu’un qui se plaint de ne pas pouvoir se coucher rapidement dans son lit sans être étourdi ou qui évite de faire des mouvements rapides de la tête?
Conseillez-lui d’aller consulter le plus rapidement possible un physiothérapeute formé en rééducation vestibulaire!
Il y a une quinzaine d’années nous étions parmi les premiers à avoir un appareil de “Shock Wave” dans une clinique de physiothérapie. Je m’y suis intéressé et j’ai commencé à pratiquer cette expertise en collaboration avec ma collègue Christina ici à PCN Ste-Foy.
Parallèlement, j’ai commencé à enseigner à l’Université Laval le cours d’anatomie pour le baccalauréat en physiothérapie et celui d’ergothérapie. Je me suis aussi impliqué dans le cours d’électrothérapie pour les étudiants de troisième année en physiothérapie où nous abordons le “Shock Wave”.
Depuis plus de cinq ans, je suis également formateur avec Atlas Medic sur le “Shock Wave” pour les cliniciens qui achètent l’appareil ou qui veulent approfondir leurs connaissances. Je leur présente comment optimiser les résultats de leurs interventions auprès de leurs patients.
J’aime l’aspect éducatif de mon rôle, parce que quand on connaît bien le fonctionnement de l’appareil et de la pathologie, on peut mieux aider les patients. J’aime aller au fond des choses et toujours apprendre plus!
Enseigner, ça me parle! Éduquer mes étudiants comme mes patients, ça me passionne. J’aime confronter mes idées avec des nouvelles et échanger avec des gens qui voient différemment. J’aime utiliser la littérature scientifique et mes expériences pour aider mes étudiants à développer leurs outils pour qu’ils soient autonomes dans leur pratique.
J’aime la techno et les gadgets! C’est une approche novatrice qui répond à un besoin de notre clientèle et qui nous permet d’offrir une option de plus pour nos patients. La science est en constante évolution et j’aime me tenir à jour sur les dernières nouveautés.
C’est un beau travail d’équipe! Premièrement, l’évaluation doit être faite par un physiothérapeute, donc mon collègue Charles ou moi-même s’en occupons ici à PCN Ste-Foy. Ensuite, ma collègue Christina se joint à nous pour prendre en charge les traitements et les suivis avec les patients. Tout au long du parcours, nous échangeons ensemble sur la meilleure stratégie à adopter selon les besoins spécifiques de nos patients.
Nous avons également une très belle collaboration avec les physios des autres cliniques PCN et avec les médecins et les physiatres de la région. On travaille en collaboration avec eux pour choisir la stratégie et le moment opportun pour les traitements de nos patients.
Je suis un habitué des gens découragés! Sans blague, je reçois souvent dans mon bureau des gens qui ont essayé diverses approches pendant des années et pour qui rien n’a marché. Souvent, ces gens-là ont mal depuis plus de 10 ans.
Aider quelqu’un qui vient me voir découragé et l’amener à ressentir moins de douleurs, voire plus du tout, c’est très gratifiant. C’est toujours une belle fierté quand j’aide mes patients. J’aime agir en synergie avec eux et trouver des solutions à leur problème qui date de longtemps. Je suis fier de faire équipe avec eux pour arriver à atteindre leur objectif!
Vous pensez que le “Shock Wave” pourrait vous aider? Contactez Simon à PCN Ste-Foy!
La Clinique du Coureur est un organisme de formation mondial qui est devenu une référence mondiale en prévention des blessures en course à pied. Les physiothérapeutes certifiés par La Clinique du Coureur ont donc suivi des formations données par cet organisme pour aider leurs patients à prévenir et traiter les blessures courantes de course à pied.
Que vous soyez un nouveau coureur ou un athlète expérimenté, les physiothérapeutes de PCN Ste-Foy pourront vous aider à vous remettre d’une blessure ou à atteindre vos objectifs! N’attendez plus pour faire évaluer votre patron de course et obtenir des conseils professionnels.
Appelez-nous au (418) 653-1930 pour bénéficier d’un suivi avec un expert en course à pied!
« L’histoire que je vais vous raconter aujourd’hui en est une de persévérance et d’espoir. Lorsque j’ai commencé à travailler chez PCN La Capitale en aout dernier, j’ai été jumelée avec une mentor, Véronique Cormier. Véronique a donc été la première collègue avec qui j’ai tissé des liens. Je me souviens, un jour de septembre en dînant, que Véronique me disait ne plus jamais pouvoir courir à nouveau.
En novembre 2018, elle s’est rupturée la plaque plantaire (un ligament situé à l’avant du pied) lors de sa reprise de la course après sa pause saisonnière suivant un marathon. Plusieurs mois sont passés sans qu’il n’y ait d’évolution favorable à sa condition malgré les traitements, les orthèses, la médication et les infiltrations.
Suite à l’apparition de douleurs aux mains, Véronique a consulté son médecin. Une batterie de tests plus tard, le diagnostic tombe: la polyarthrite rhumatoïde (PAR). La PAR est une maladie du système immunitaire qui cause de l’inflammation aux articulations. Parallèlement, Véronique s’est rendue compte qu’elle ne pouvait plus prendre de marche.
Un an et demi après sa blessure au pied, elle s’était tellement déconditionnée, qu’elle n’arrivait plus à suivre son père de 81 ans à la marche. Pour une athlète d’endurance, qui compte à son actif un Ironman, trois marathons et plusieurs triathlons longues distances, ce doit être assez déstabilisant.
Après cette prise de conscience, Véronique a décidé d’intégrer la marche à son quotidien. La douleur au pied était toujours présente, mais n’était pas augmentée par la marche. De fil en aiguille, elle a ajouté des escaliers à ses sorties. Et progressivement, en septembre 2020, elle a ajouté des petites séquences de course par ci par là. Mais ça, elle ne s’en est pas vantée. Même son copain n’était pas au courant!
C’est pendant cette exacte période qu’elle me disait ne plus jamais pouvoir courir à nouveau. Je trouvais ça tellement triste, étant une coureuse moi-même et pleine d’espoir que ma collègue reprenne un jour la course.
Et c’est ce qui s’est passé!! La course a repris progressivement sa place, lentement mais sûrement, en appréciant les bonnes journées et en acceptant les moins bonnes. La vitesse n’étant plus un enjeu, mais bien le simple bonheur de pouvoir courir et de se sentir libre, sans douleurs, sur ses deux pieds.
Ma collègue Véro, c’est une véritable inspiration pour moi, autant pour son parcours professionnel impeccable, son professionnalisme, mais surtout pour sa résilience et sa persévérance.
Une belle aventure qui (re)commence pour Véro, qui portera très bientôt le dossard d’une course officielle virtuelle, la course du Pace du Bonheur. Elle s’élancera pour un 15km (j’ai peine à croire que c’est vrai tellement c’est excitant!).
J’ai demandé à Véro quels étaient les conseils qu’elle donnerait à quiconque voudrait reprendre le sport avec succès:
J’ai de la chance de partager mon quotidien avec une collègue si inspirante! Sachez que si vous vivez une situation similaire, nous sommes les mieux outillés pour vous guider dans la reprise de vos activités!»
Tout d’abord, avant de commencer cette discipline avec votre compagnon canin, il est important de bien l’équiper et de bien vous équiper également. Vous aurez besoin de 3 articles d’équipement:
Il existe un vaste choix d’harnais de traction qui peuvent être utilisés pour votre chien. Il est important de bien le choisir en fonction du poids, de la grandeur, de la morphologie et du confort de celui-ci. Le but du harnais est de répartir la charge sur tout son corps pour une force optimale de traction. Ensuite, l’utilisation d’un bungee est nécessaire pour amortir les coups autant pour vous que pour votre chien. Finalement, vous devez vous équiper d’une ceinture, ressemblant à un harnais d’escalade, qui permet de bien répartir la force de traction au niveau de votre bassin et protéger votre dos. Il existe des ceintures à simple et à double traction dépendant de la force de votre chien. Les choix sont vastes, côté matériel. Il est nécessaire de bien vous informer et de visiter une boutique spécialisée en sports canins pour pouvoir essayer le matériel sur vous et sur votre chien afin de faire le bon choix.
Si vous êtes débutant à ce sport, sachez que votre chien l’est également. Il est donc important de commencer par de courtes sorties où votre chien apprendra la traction. Vous pouvez également alterner de la course et de la marche pour débuter graduellement. Il est plus facile de commencer à des endroits peu achalandés pour éviter les distractions et permettre au chien de bien courir. Il est préférable de courir sur une surface de terre battue ou poussière de pierre plutôt que l’asphalte pour les coussinets de votre chien. De sortie en sortie, vous pourrez augmenter votre durée, votre intensité ou votre vitesse. Il est idéal d’augmenter une variable à la fois, autant pour vous que pour votre animal pour éviter des blessures et bien gérer l’augmentation progressive de votre course. Idéalement, vous devez débuter chaque sortie par un 10 minutes de réchauffement, soit de la marche ou du jogging très léger et vous devez la terminer de la même façon. Ceci permet de mieux vous préparer à votre sortie en augmentant progressivement la température de votre corps et votre rythme cardiaque ainsi que de préparer vos muscles à l’effort au début de la course et ralentir le tout en fin de sortie.
À noter qu’il est recommandé que votre chien ait atteint la maturité, soit qu’il ait terminé sa croissance, pour commencer le canicross. Vous pouvez vous informer auprès de votre vétérinaire pour déterminer le bon moment pour commencer cette activité avec votre chien.
Si vous avez de la difficulté à débuter le canicross, il existe plusieurs cours offerts sur l’initiation du canicross pouvant être une très bonne option pour connaître les bases d’entraînement. De plus, lorsqu’un chien voit d’autres chiens faire de la traction, il apprend plus vite le fonctionnement.
Pour le bon fonctionnement de vos sorties, votre chien doit comprendre ce que vous voulez de lui. Vous devez lui enseigner des commandes de base pour avancer, accélérer, ralentir ainsi que tourner à gauche ou à droite. Ces commandes vous permettront de faire un bon duo et d’éviter les blessures entre vous et votre chien lors d’une mécompréhension.
N’oubliez pas que votre compagnon canin porte un pelage qui peut être assez épais selon la race. Il est donc nécessaire de choisir des périodes d’entraînements où la température est plus fraîche. Il n’y a habituellement pas de problème avec le printemps, l’automne ou l’hiver. Par contre, l’été les sorties doivent parfois être faites très tôt le matin ou tard le soir. Il faut également parfois sauter des semaines d’entraînement si la température est trop chaude pour votre chien puisqu’il faut éviter des températures plus élevées que 15°C. Amenez toujours de l’eau, pour vous et pour votre chien afin d’éviter la déshydratation.
Crédit photo: DanielTphoto
Amateurs et athlètes sont maintenant pris en charge par Simon Hamel, physiothérapeute et membre de l’équipe cycliste Premier Tech avec qui il participe à des compétitions sur route partout au Québec et aux États-Unis.
Simon vous aidera à prévenir les blessures en positionnant votre vélo de façon adéquate et personnalisée. Vous pourrez donc profiter à fond de la saison pour rouler sur les chemins de la Mauricie!
En considérant vos objectifs et votre historique puis en effectuant une évaluation fonctionnelle musculosquelettique ainsi qu’une analyse biomécanique de votre vélo, Simon dresse un portrait unique de votre profil de cycliste. Ainsi, il vous propose les meilleures solutions personnalisées en fonction de vos besoins.
«Le vélo est un sport exigeant pour les articulations et les muscles, avoir un positionnement adapté contribue à prévenir les blessures et on en ressent beaucoup d’avantages. J’aime aider les cyclistes à avoir tous les outils pour se sentir optimal à vélo et pour atteindre leurs objectifs. C’est incroyable pour moi de pouvoir allier ma passion pour le cyclisme et mes connaissances afin d’aider mes patients.»
Contactez PCN Grand-Mère pour prendre rendez-vous avec Simon!
Votre thérapeute voudra d’abord connaître la raison de votre consultation ainsi que vos attentes et vos objectifs en lien avec les traitements. Elle vous questionnera aussi sur différents sujets tels que vos accouchement (s’il y a lieu), votre système urinaire et anorectal, votre fonction sexuelle ainsi que votre douleur, si c’est le cas.
La première rencontre implique donc un questionnaire plus élaboré afin que votre thérapeute soit en mesure de bien comprendre votre situation et de vous aider à différents niveaux.
Ensuite, la physiothérapeute évaluera votre fonction et vos mouvements globaux en considérant principalement la mobilité de votre dos, de votre bassin, de vos hanches et la qualité de votre respiration.
Selon votre situation, il est probable qu’elle porte une attention particulière à la région abdominale puisque celle-ci est fortement reliée à la région pelvienne.
Ensuite, en s’étant assurée de votre consentement, la physiothérapeute effectue l’évaluation de la région périnéale qui consiste en un examen externe et interne de la vulve ou du pénis selon le cas, ainsi que de la région vaginale et anale.
C’est généralement à la suite de cette étape que votre physiothérapeute sera en mesure d’émettre son diagnostic et d’élaborer son plan de traitement.
En fonction de votre condition et des déficiences qui y sont reliées, votre thérapeute traitera vos déficiences, vous suggérera des exercices et pourra vous offrir bon nombre de conseils qui vous permettront d’améliorer votre condition et éventuellement, de régler votre problème.
Vous vous demandez si une physiothérapeute en rééducation périnéale pourrait vous aider?
Il nous fera plaisir d’en discuter avec vous! Consultez nos expertes de la Clinique Santé Pelvienne!
Dès le mardi 6 avril 2021, nous vous recevrons dans des locaux encore plus spacieux au 800 route des Rivières, #101, G7A 2V1. Avec la demande grandissante que nous vivons pour nos services de physiothérapie sur la rive-sud, nous déménageons avec l’objectif de toujours mieux vous servir!
Nous avons très hâte de vous accueillir dans ce nouvel espace où vous trouverez une plus grande salle d’exercices, plus de salles de traitement et des aires plus grandes pour vous!
Découvrez-en plus sur notre équipe et nos services à PCN St-Nicolas!
Quand je jouais sur l’équipe canadienne junior de basket-ball, je trouvais que le rôle du physio de l’équipe avait l’air génial! Celui-ci pouvait aider concrètement les athlètes de haut niveau tout en les accompagnant dans leurs voyages et déplacements.
Quand je suis devenue moi-même la physiothérapeute de l’équipe canadienne junior par la suite, ça a été pour moi une grande fierté de pouvoir redonner au sport que j’aime. Ça représente un bel accomplissement pour moi de pouvoir à mon tour aider ces athlètes à performer à leur niveau.
Quand j’ai commencé à suivre l’équipe canadienne comme physio, j’ai eu la chance d’être formée en prévention de blessures. En étant 24h sur 24 avec les athlètes, j’ai pu constater à quel point c’était pertinent dans leur développement. En réalisant que seulement les athlètes de haut niveau avaient accès à des ressources en prévention de blessures, ça m’a ouvert les yeux!
En accompagnant des équipes de basket-ball de tous les niveaux, j’ai constaté à quel point les jeunes pourraient éviter des douleurs et des blessures avec les bonnes connaissances de base. J’avais aussi des demandes des entraîneurs qui souhaitaient avoir davantage d’outils pour optimiser la prévention dans leurs équipes. Ces ressources sont tellement importantes pour tous les athlètes, autant pour leur présent que leur futur.
En voulant faciliter l’accès à celles-ci, c’est ainsi que j’ai eu l’idée de l’application!
Dès la fin 2016, j’ai commencé à penser à ce projet. J’écrivais mes idées et je planifiais le processus. Puis, en octobre 2019 l’application a vu le jour après un an et demi de travail constant pour la développer.
Mon objectif est que cette application devienne un outil de référence pour les athlètes et leurs entraîneurs en visant la santé, la prévention de blessures et la performance chez l’athlète. L’application est spécifique au sport et vise à diminuer les blessures les plus fréquentes dans celui-ci. Pour l’instant, le contenu présent dans l’application s’adresse aux athlètes en basket-ball, mais je vise d’élargir les sports qui sont inclus!
L’application inclut un programme de prévention avec une quarantaine d’échauffements spécifiques au basket-ball, des programmes d’exercices de prévention de blessures et une banque d’exercices et de circuits visant le renforcement musculaire selon les besoins de l’athlète.
Je vise également d’inclure un volet performance bientôt pour toucher la musculation des athlètes, la nutrition, le sommeil et la récupération.
Je suis fière d’avoir eu le courage de me lancer dans ce projet! Pour utiliser pleinement ce produit, ça demande un changement dans les habitudes des athlètes et des entraîneurs. Et toute personne sait que le changement, ce n’est pas toujours facile à implanter et il faut être patient. Je sais que l’application est essentielle, j’y crois beaucoup et je sais qu’à long terme, je vais pouvoir avoir un impact sur la santé de nos athlètes.
Je suis aussi fière d’avoir pris le risque de partir de zéro et de ne pas avoir arrêté malgré les obstacles. Quand tu es motivée, il n’y a pas grand chose pour te retenir! Mon but, c’est de faire une différence dans la vie des athlètes de partout dans le monde.
La réponse est très bonne! J’aime voir la réaction des gens quand ils commencent à fouiller dans l’application. Souvent, ça fait un effet wow quand les gens voient l’étendue du contenu disponible. On me dit souvent que tous les entraîneurs devraient s’y référer.
J’aime recevoir des commentaires constructifs aussi! Mon but est que les gens l’intègrent dans leur quotidien donc leur point de vue m’est super important.
Quelle est ton ambition professionnelle?
Je souhaite faire une différence pour aider les athlètes et entraîneurs avec mon expertise, partout dans le monde avec l’application que j’ai créée. J’aimerais aussi que celle-ci devienne l’outil de référence pour la santé et la performance des athlètes. J’en serais très heureuse et bien accomplie!
Rencontrez notre collègue Elyse Jobin à PCN Pierre-Bertrand!
Pour moi, c’est ma 2e vie comme coureuse, la renaissance de ma passion! La recherche de la performance m’avait éteint et avait bousillé mon corps. En commençant à vivre au Pace du Bonheur, j’ai découvert une nouvelle façon de courir.
Le Pace du Bonheur, c’est une philosophie. C’est d’apprendre à courir librement, sans besoin de mesures ni de statistiques. C’est être le chef d’orchestre entre sa tête et son corps en se connectant au moment présent. C’est avoir des attentes humaines envers soi-même.
Finalement, le Pace du Bonheur, c’est changer sa perception de la performance pour viser la constance, la persévérance, l’endurance et la confiance!
Le Pace du Bonheur est maintenant tellement ancré en moi. J’ai instauré cela comme une cadence de course à pied au départ, mais c’est devenu une philosophie de vie. J’ai la gratitude plus facile! Quand je cours en trail, je suis beaucoup plus dans le moment présent, j’observe les alentours et j’apprécie. Ça a amené beaucoup de richesse dans mes sorties de course et aussi dans ma vie!
Je répète souvent qu’il faut apprendre à y aller graduellement et viser la progression. Ça m’a pris personnellement 4 ans de passer de 5 km à 42km. Dans la société, on a de très hauts standards par rapport à la performance.
Il faut se laisser le temps d’apprivoiser les mouvements et d’apprendre. Et comme mes collègues physiothérapeutes vous le diront, commencer un nouveau sport progressivement limite le risque de blessures!
Une petite course, ça n’existe pas. C’est une course point. Les plus grandes barrières, ce sont celles que l’on se met nous même en se comparant.
En mai 2021, nous célébrerons les 5 ans du Pace du Bonheur! Au début, ce n’était qu’une page Facebook pour déposer mes états d’âme. Jamais je n’aurais pu imaginer que le mouvement grandirait aussi vite! Le mouvement est partout et porté par tellement de gens!
Chaque dimanche, de nouvelles personnes se branchent virtuellement pour participer à notre grande messe! On a des adolescents, des retraités, le message est accessible à tous!
2021 sera une belle année pour le rayonnement de notre mouvement! Je souhaite que tout le monde connaisse le Pace du Bonheur plutôt que Nathalie Bisson.
Oui depuis 2013! J’aime le virage très humain pris par PCN, ça me rejoint beaucoup. La mission de PCN de prôner les saines habitudes de vie colle parfaitement avec le Pace du Bonheur. J’aime beaucoup accueillir les patients en clinique et échanger avec eux!
Le réflexe de plusieurs est souvent d’éviter d’avoir trop froid et de prévenir les engelures. Toutefois, avoir trop chaud et ainsi, transpirer excessivement, peut risquer de tremper vos vêtements. Ceci vous rend alors plus à risque d’hypothermie.
Que faire? La méthode simple: la règle des 10 degrés. Habillez-vous comme s’il faisait 10 degrés Celsius de plus que la température extérieure réelle. Vous devriez frissonner très légèrement dans les 5 à 10 premières minutes de votre sortie de course et vous sentir au chaud par la suite. Le secret : s’habiller comme un oignon… avec plusieurs couches!
Pour éviter d’être humide, optez pour une première couche mince, respirante et près du corps. La couche suivante est celle qui garde au chaud et empêche les pertes de chaleur, tandis que la dernière couche est celle qui coupe le vent.
Pour les coureurs de fin de journée ou lors des journées plutôt grises, n’oubliez pas de porter des vêtements réfléchissants et des accessoires clignotants pour être visibles dans la noirceur qui se présente plus tôt en saison hivernale.
Tout d’abord, il n’est pas nécessaire de changer de chaussure au changement de saison. Votre pied et votre corps sont adaptés à la chaussure lorsque vous courez donc il est tout à fait recommandé de poursuivre avec celle-ci.
Si toutefois vous souhaitez avoir une chaussure mieux adaptée pour les conditions hivernales, optez pour une chaussure aux caractéristiques similaires à vos chaussures d’été (flexibilité, poids, drop et épaisseur de la semelle). La chaussure devrait également présenter une meilleure accroche pour les surfaces enneigées (crampons), des crampons d’appoints de type YakTrax pour les surfaces glacées et un revêtement plus imperméable et plus chaud.
Il est prouvé que la chaussure a un impact sur la biomécanique de course et c’est pourquoi on évite les changements drastiques à ce niveau pour éviter les blessures.
Courir sur une surface enneigée ou glacée et changer de chaussures; voilà deux éléments qui auront certainement un impact sur votre technique de course.
Courir sur la neige augmentera la demande musculaire à vos muscles du pied et de la cheville alors que courir sur une surface glacée réduira la longueur de vos foulées pour vous protéger d’une chute.
Il est donc primordial de laisser le temps à votre corps de s’adapter à une nouvelle technique en diminuant la durée et l’intensité de vos sorties en début de saison pour éviter les blessures. C’est ce qu’on appelle la quantification du stress mécanique (QSM).
Si votre QSM est bien gérée, vous ne devriez pas ressentir de douleur pendant ni après la course. Si vous ne ressentez aucune douleur, augmentez graduellement ces paramètres sur plusieurs semaines tout en restant à l’écoute de votre corps!
Bonne course et rappelez-vous que courir durant l’hiver c’est prévenir l’apparition de blessures au printemps! Nos experts de la Clinique du Coureur sont là pour vous aider!
J’ai fait mon entrée chez PCN comme agente au service à la clientèle alors que j’étais au Cégep. J’ai ensuite évolué vers un rôle de conseillère en communication, puis vers un rôle de gestionnaire de projet. J’ai ensuite assuré le soutien à la direction générale et j’assume maintenant le poste de directrice générale.
Plus notre équipe de soutien aux cliniques a grandi dans les années, plus on a cherché à toujours s’entourer des meilleurs. C’est ce qui nous propulse et nous amène toujours plus loin!
L’année 2020 a aussi été une année significative, car elle marque un beau pas vers la mise en place de la culture collaborative dont on rêvait depuis longtemps. Nous vivons une nouvelle dynamique où l’on fait appel à l’intelligence collective et où le pouvoir se partage toujours plus.
J’aime relever des défis! Ça me motive d’influencer positivement le cours des choses et la croissance de notre organisation. J’aime pousser notre entreprise plus loin et le défi que cela peut représenter.
Ma persévérance, ma créativité et ma recherche constante d’innovation m’ont beaucoup servi dans mon parcours. Dans les dernières années, j’ai également ajouté des cordes plus humaines à mon arc. C’est très important pour moi d’accompagner mes collègues à toujours se dépasser dans leur rôle. Je réalise à quel point nous sommes meilleurs en tant que groupe quand on profite des forces de chacun.
On me décrit souvent comme audacieuse et rassembleuse! J’aime être en connexion avec les gens et je suis prête à remettre en question nos façons de faire. Je me soucie de mon objectif à accomplir plutôt que de ce que les gens vont penser de moi. Ma structure et mon sens de la planification me servent également beaucoup à tous les jours.
Ma plus grande fierté est d’avoir fait ma place dans un monde plus conservateur et à prédominance masculine. Les leaders chez PCN étant plus traditionnellement masculins par le passé, je suis fière d’avoir créé de vraies connexions authentiques et des liens humains avec ceux-ci.
J’aime le fait qu’entre leaders chez PCN, on aborde des sujets peu traditionnels dans le monde des affaires. Nos échanges sont très enrichissants! On aborde notamment la vulnérabilité, comment être la vraie version de soi-même dans un groupe ou comment aimer les gens tels qu’ils sont.
Que chaque personne avec qui je collabore a de bonnes intentions et travaille en donnant le meilleur de ce qu’elle peut à ce moment-là. Également, j’ai appris que s’entourer de gens plus compétents que soi, ça nous rend meilleurs!
C’est un privilège de côtoyer les gens avec qui j’évolue au quotidien. Ce sont nos connexions humaines qui font que l’on accomplit de grandes choses ensemble et ça crée beaucoup de sens dans notre quotidien.
Mes valeurs profondes sont l’amour, la considération et le partage. Mon quotidien est assez axé sur le dépassement de soi, mais pas dans la performance à tout prix. J’aime qu’on ait du plaisir au boulot!
Ma plus grande passion, c’est de découvrir de nouveaux pays, de nouveaux humains et de nouvelles façons de vivre. Découvrir et rencontrer, c’est ma raison de vivre!
« Ma seule job comme DG, c’est d’aimer les gens tels qu’ils sont. » Ce conseil me vient de Rémy Tremblay de la Maison des Leaders.
Mes conseils tournent beaucoup autour de l’empathie. Je conseille souvent des collègues sur l’importance de se mettre à la place de l’autre pour le comprendre et pour arriver à la meilleure solution pour l’ensemble qui va s’imposer d’elle-même. Le non-jugement, l’ouverture et l’accueil de l’autre sont des concepts qui me sont chers.
J’admire Kim Thúy pour sa légèreté, sa joie de vivre contagieuse et sa créativité! Son talent est immense, elle est positive et a une belle facilité à communiquer. Elle a le cran de suivre ses envies et de s’écouter à chaque instant de sa vie.
Je vois un groupe de personnes qui œuvrent ensemble à aider les gens dans un milieu où chacun peut faire sa place! Notre cœur, ce sera de rester dans une qualité irréprochable pour nos patients. Nous continuerons d’assurer une présence rassurante dans la communauté en aidant nos patients à atteindre leurs objectifs tout en exploitant à fond notre intelligence collective!
Notre focus sera également sur notre bonheur au travail en créant des milieux de vie éclatés, positifs et stimulants! C’est ainsi qu’on pourra se propulser dans les années!
« Anick est l’incarnation du leadership. Un leadership rempli de sensibilité, de clarté, de maturité et de capacité à fédérer. Son fort désir pour la collaboration et l’équité a teinté l’ensemble de l’organisation et nous a fait, individuellement, tous grandir. Elle exprime ses convictions profondes sans retenue, mais toujours en les accompagnant d’un sens aiguisé pour le bien-être collectif. »
« Dans une organisation comme la nôtre, où l’Humain est au centre de tout, Anick est un point tournant qui prend soin des humains qui la compose. De par sa façon d’être exceptionnelle, elle sait nous questionner, nous orienter et nous guider pour devenir de meilleurs humains avant toute chose. Anick est un volcan d’idées, de par son côté créatif qui «clash» souvent avec le côté plus conservateur de la physiothérapie, elle a su et saura pousser l’organisation à aller plus loin dans des avenues qui parfois ne semblaient même pas une option de départ! »
» Dès son arrivée en poste, sa structure de travail, sa capacité à organiser des projets et des événements et sa quête constante de vouloir nous rendre meilleurs firent d’elle un élément indispensable au succès de PCN et à mon succès personnel comme entrepreneur. Quand on dit que PCN est une organisation qui mise sur l’humain, Anick en est la plus grande ambassadrice. Son leadership l’amène à être toujours prête à aider et à écouter ceux qui en ont besoin et à constamment travailler à créer un environnement favorable à l’épanouissement et au bonheur des gens qui l’entourent. Anick est une leader engagée et passionnée et l’une des plus grandes forces de PCN. C’est un privilège de l’avoir dans notre organisation! »
Ce professionnel a cumulé plus de 200 heures de formation dans la gestion des douleurs persistantes. Il collabore également dans son réseau professionnel avec plusieurs spécialistes de différents domaines comme des ergothérapeutes, psychologues, omnipraticiens et médecins spécialistes. De plus, il collabore avec d’autres physiothérapeutes d’expérience ayant également une expertise dans la gestion des douleurs persistantes.
Plusieurs facteurs peuvent influencer votre douleur dont la qualité de votre sommeil et même certains éléments de votre histoire personnelle antérieure comme, par exemple, si vous souffrez d’un syndrome de stress post-traumatique. Ce professionnel utilisera une lunette un peu plus large pour mieux comprendre votre douleur et vos facteurs personnels qui l’entretiennent.
Vous serez en mesure de déterminer avec ce thérapeute un plan de match personnalisé pour arriver à reprendre le contrôle de votre douleur. Des explications sur le fonctionnement de la douleur vous seront données et vous comprendrez davantage ce qui l’influence et ce qui la maintient.
Aussi, vous saurez un peu plus comment ré-entraîner votre corps à diminuer la douleur en plus d’augmenter son endurance à l’effort.
Lorsque la douleur est l’élément perturbateur de votre sommeil, des conseils de positionnement peuvent parfois être très utiles grâce à l’utilisation judicieuse d’oreillers. Il peut être intéressant également de revoir quelques techniques d’hygiène du sommeil. Parfois, il peut être pertinent d’utiliser certains médicaments pour diminuer la douleur afin d’aider le sommeil. Ainsi, votre médecin pourra collaborer avec votre physiothérapeute pour optimiser la médication. Lorsque le sommeil s’améliore, le corps peut récupérer davantage et la douleur peut diminuer plus facilement.
Souvent, la pire chose à faire lorsque le corps produit de la douleur est d’arrêter de bouger. Commencez avec une activité que vous aimez, pour une courte durée et une faible intensité comme du vélo ou de la marche pour 5 à 10 minutes, et voyez après comment vous réagissez. Vous pouvez ressentir un peu de douleur lors de l’activité, mais elle ne devrait pas augmenter après ni le lendemain. Prévoyez cette activité idéalement aux deux jours pour voir comment votre corps va réagir aussi le lendemain.
Lorsqu’on ressent de la douleur, l’un des premiers réflexes est de s’isoler. Tentez de garder un bon niveau de vie sociale avec vos proches. Parlez de ce que vous vivez et vous verrez que vous n’êtes pas seul à expérimenter de la douleur.
La douleur ne signifie pas nécessairement que vous êtes en train de vous blesser davantage ou d’induire un dommage à votre corps. Le corps l’envoie surtout pour vous protéger. Il est bon d’en apprendre davantage sur comment fonctionne la douleur. Ainsi, vous la craindrez moins et vous développerez moins de peur par rapport aux mouvements de la zone douloureuse.
Des techniques de relaxation du corps peuvent souvent aider à réduire la production de douleur. Entraînez-vous à faire de la méditation en pleine conscience de façon guidée, tentez quelques techniques de respirations profondes ou quelques mouvements de yoga.
Vous avez déjà essayé ces quelques conseils sans succès? Votre douleur prend encore beaucoup de place et vous empêche de faire vos activités préférées? Vous aimeriez être guidé vers un plan de match personnalisé afin de reprendre le contrôle sur votre production de douleur et ainsi recommencer les activités qui vous tiennent à cœur?
Consultez dès maintenant un physiothérapeute expert dans la gestion des douleurs persistantes!
En effet, bien que s’améliorer au niveau de la force et de l’endurance musculaire demande une quantité appréciable d’efforts soutenus, maintenir le statu quo est beaucoup plus facile.
Pour les grimpeurs de bloc comme de voie, garder la force musculaire exige une sollicitation dans les zones d’effort utilisées lors des séances habituelles à une fréquence d’une fois par semaine ou maximum aux deux semaines.
Pour l’endurance, on parlera davantage de un à deux entraînements par semaine venant recruter les muscles dans le bon niveau d’effort pour garder la forme.
À ceux n’ayant pas de matériel d’entraînement à la maison, le fait d’utiliser un bord de mur, tenu à 1 ou 2 doigts en alternance, permettra tout de même de faire un effort significatif et soutenu. Évidemment, on le fait après un bon échauffement.
Voici un exemple d’entraînement pour l’endurance à effectuer un maximum 3 à 5x par semaine : 2 à 3 séries de 4x10s d’efforts modérés/5s de repos et prendre 1 min de repos entre les séries.
Voici un exemple d’entraînement pour la force à effectuer un maximum 2 à 3x/semaine:
3 à 5 x 10 secondes d’effort proche du maximum/3 min de repos par série
Bien sûr, il n’y pas que les doigts en escalade, mais ils restent le déterminant principal de la performance!
Bon entraînement! Si vous voulez des conseils personnalisés, contactez-nous pour un rendez-vous en physiothérapie avec un expert en escalade!
Avant même de choisir vos résolutions, avez-vous pensé à vous donner les moyens de réussir? La meilleure façon d’y parvenir est d’élaborer un plan d’action à court, moyen et long terme. Commencez par réfléchir aux questions suivantes:
Après avoir réfléchi, élaboré votre plan d’action et répondu à ces questions, vous saurez à quoi vous attendre et les résultats que vous pourrez espérer. Laissez-vous inspirer par ces 7 résolutions recommandées par nos professionnels!
Trop souvent négligé par un bon nombre d’entre nous, le sommeil constitue pourtant un allié précieux pour la santé physique et mentale. Les experts révèlent qu’une carence en sommeil, en termes de quantité et de qualité, a des effets néfastes à long terme sur l’organisme. Le sommeil est nécessaire pour régulariser plusieurs fonctions du corps en plus de vous permettre de faire le plein d’énergie pour accomplir vos tâches de la vie quotidienne! Voici quelques conseils à mettre en application pour l’améliorer :
La méditation est pratiquée partout dans le monde. Il existe presque autant de formes de méditation que de gens qui la pratiquent. Ces effets sont non-négligeable sur la santé physique et mentale. En ce qui concerne la méditation pleine conscience, ses bienfaits vont au-delà de la réduction du stress et de la dépression. En effet, elle permet, entre autres, d’améliorer les fonctions cognitives, dont l’attention, en plus d’aider à préserver la mémoire.
Saviez-vous que l’activité en plein air permet d’améliorer l’humeur, de diminuer le stress et les symptômes dépressifs? Les bienfaits se font aussi ressentir au niveau du cœur en réduisant la tension artérielle et le rythme cardiaque. De plus, le temps passé en nature permet d’améliorer la concentration. La région de Québec regorge d’endroits en plein air exceptionnels. Faites d’une pierre deux coups et profitez-en pour les découvrir!
Les études le démontrent, l’activité physique est nécessaire au maintien d’une bonne santé. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), les individus plus actifs ont un plus faible taux de mortalité, souffrent moins de maladie cardiaque, d’accident vasculaire cérébral, de diabète de type 2, de certain cancer et même de dépression! Ils ont également une plus grande capacité cardiovasculaire et musculaire en plus d’avoir une masse corporelle plus saine.
Voici quelques recommandations de l’OMS:
Conseils pratiques pour être actif au quotidien :
Résolution rime souvent avec nouveaux défis, nouveaux objectifs, mais aussi nouvelles découvertes! Pourquoi ne pas se dépasser en essayant un sport, un instrument de musique ou en apprenant sur un sujet inconnu. Créez une liste de choses que vous voulez essayer et intégrez-en une toutes les semaines.
Voici quelques idées :
Il existe une multitude de moyens pour se faire plaisir que ce soit en pratiquant une passion, en cuisinant son plat favori ou en passant du temps avec un être cher. Prendre le temps de planifier des moments pour se faire plaisir tous les jours c’est se permettre un répit du quotidien et de s’accorder du temps de qualité. Ce temps est non-négligeable et vous permettra de revenir à vos tâches habituelles revigoré et heureux!
Vous traînez une vieille blessure ou une douleur vous incommode depuis longtemps? Il est enfin temps de remédier à la situation et de consulter un physiothérapeute! La physiothérapie est une discipline qui s’adresse à tous. Quels que soient votre profil, vos objectifs ou votre condition de santé, la physiothérapie peut vous aider! Rappelez-vous que plus vous êtes pris en charge rapidement, plus les traitements seront efficaces. Consultez dès maintenant!
Vous voilà enfin prêt à amorcer cette nouvelle année! Surtout, n’oubliez d’être indulgent envers vous-même! L’important c’est d’essayer! Bon travail et bonne année!
Sources:
– Darveau, M. (2016). 5 bienfaits de la méditation. Université Laval.
– Gouvernement du Canada. (2018). Conseils sur l’activité physique pour les adultes (18-64 ans).
– Gouvernement du Québec. (2020). On protège aussi sa santé mentale à la maison.
– Lord, C. et Bouchard, M. (2019). Pourquoi dormir ? Dormez là-dessus. https://dormezladessuscanada.ca/tout-sur-le-sommeil/pourquoi-dormir/
– Ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur. (2017) Au Québec, on bouge en plein air !
– Moreschi, C. Comment tenir ses résolutions pour l’année.
– OMS. (2020). Activités physiques pour les adultes.
Sa journée en clinique débutant à 13h, Simon en profite pour vivre pleinement ses loisirs avant d’aller travailler. Vers 6h45, il se lance sur une course matinale le long du fleuve pour partir la journée du bon pied et en profite pour observer la ville sous la lumière du matin.
La course s’achèverait en autre temps par un espresso avec des amis membres des C.U.T.E. (Coureurs utilitaires transpirant l’espresso). En mettant la course à son horaire en début de journée, Simon s’assure ainsi qu’il a mis de côté ce temps pour lui.
De retour à la maison, Simon en profite pour alimenter ses médias sociaux personnels où il propose à ses abonnés des réflexions sur les nouveautés scientifiques dans ses sports préférés: l’escalade, le cyclisme et la course.
Aujourd’hui, Simon rédige une publication sur l’escalade, car il a à cœur la transmission des connaissances dans ce milieu. Aider les grimpeurs à s’améliorer sans se blesser l’intéresse au plus haut point. Essayant de se garder à jour avec la recherche dans le domaine, il souhaite contribuer à augmenter les ressources pour ceux qui cherchent à en savoir plus!
Une fois sa publication rédigée, il se rend lui-même grimper au Délire escalade. La session du jour sera courte, soit un peu d’exercices pour les doigts et de grimpe avant d’aller travailler. La communauté de grimpeurs étant tissée serrée, il est presque certain d’y croiser des amis avec qui travailler des problèmes.
Simon se définit autant comme un sportif qu’un physio. Son but? Devenir toujours meilleur et réussir ses projets à l’extérieur!
Simon dîne rapidement et se rend ensuite à la clinique PCN L’Hêtrière! En après-midi, il rencontre de nouveaux patients et effectue des suivis avec certains qu’il voit depuis quelque temps.
Sa clientèle est plutôt hétérogène! Simon aide tant des cyclistes et des grimpeurs, que des coureurs ou des gens actifs avec des blessures variées. Parler de ses sports préférés avec des gens qui ont ces mêmes passions est très stimulant pour lui. Il adore échanger avec ses patients et arriver à des solutions communes pour les aider à revenir au top de leur forme!
Il adhère à la pensée que “si ta passion est ton emploi, tu ne travailleras jamais un jour de ta vie” et aime la variété de ses journées en clinique. Cet après-midi, il accompagnera un cycliste qui souhaite une évaluation biomécanique (un “fit” de vélo).
Bien sûr, aucune journée en clinique ne serait complète sans quelques blagues et discussions avec les collègues entre deux patients! Simon adore la relation qu’il a avec ses collègues avec qui il peut partager ses journées.
Simon soupe rapidement et rattrape les quelques minutes de retard accumulées en prenant du temps pour jaser avec ses patients à la fin de leur rendez-vous.
Pendant sa journée clinique, Simon utilise tant ses acquis de physiothérapeute que de kinésiologue. Ses deux formations lui confèrent un beau bagage et un atout pour ses patients! Les exercices qu’il prescrit lors de ses rendez-vous sont basés sur cette belle combinaison de formation.
Une fois 21h arrivé, Simon revient tranquillement à la maison pour se relaxer en lisant un bon livre. La journée du lendemain comportera elle aussi son lot d’activités!
Vous voulez rencontrer Simon? Prenez rendez-vous à PCN L’Hêtrière!
En 1999, le physiothérapeute Guy Asselin était actif tant sur le terrain auprès des athlètes du Rouge et Or Football qu’en clinique auprès de ses patients. C’est à ce moment qu’il s’est vu offrir l’opportunité de contribuer à l’ouverture de PCN Pierre-Bertrand! Il a accepté le défi avec le sourire et s’y plait maintenant depuis près de 20 ans.
À l’ouverture de PCN Pierre-Bertrand, Guy travaille seul comme physiothérapeute dans la clinique à Vanier et les travailleurs du coin viennent le consulter lorsqu’ils en ont besoin.
Le nombre de patients augmente rapidement, si bien que des collègues physiothérapeutes se joignent à Guy pour agrandir l’équipe! À la réception, l’agente Lynda Ouellet fait partie de l’équipe depuis 15 ans cette année.
En 2003, la clinique PCN Pierre-Bertrand déménage au rez-de-chaussé de l’édifice et en profite pour agrandir ses locaux! Plus spacieuse et plus lumineuse, la clinique est maintenant encore plus agréable pour les patients.
La clinique étant centrale dans la ville, les patients viennent de partout! Ils sont actifs, de tous les âges et de tous les domaines.
Que pensent les patients de la clinique à Vanier? Ils mentionnent souvent que leurs physios ont l’air à avoir beaucoup de plaisir ensemble et à rigoler souvent!
Une vingtaine d’années plus tard, l’équipe de professionnels de la santé est composée de neuf physiothérapeutes ainsi qu’une technologue en physiothérapie. Deux agentes au service à la clientèle complètent le groupe pour assurer le meilleur service possible aux patients!
L’équipe est unie et adore se réunir pour faire des activités ensemble à l’extérieur de la clinique! Champions de la Coupe PCN à plusieurs reprises (semblerait-il qu’ils ne les comptent plus), les physiothérapeutes de PCN Pierre-Bertrand se donnent toujours au maximum!
Bien impliqués dans les sports scolaires et auprès de diverses équipes de la région, ils sont des gens d’action qui ont une grande expérience des premiers soins sur le terrain. Complémentaires, ils ont chacun une grande expérience dans leurs sports respectifs et l’utilisent pour aider les athlètes qui les consultent.
La clientèle de PCN Pierre-Bertrand continue de grandir et l’équipe souhaite maintenant intégrer un/e ergothérapeute afin de mieux servir celle-ci.
S’inspirant du mouvement November Projet ayant vu le jour à Boston, le Défi de Novembre a été créé à Québec il y a 7 ans par des professionnels de la santé voulant aider les gens à mieux vivre le mois gris de novembre. Ce sont plus de 28 entraînements matinaux gratuits qui ont été donnés sur les plaines d’Abraham à des participants de tout âge dans les dernières années!
L’événement qui se tenait habituellement sur les plaines d’Abraham migre vers le web pour que chacun puisse en bénéficier encore cette année. Chaque mardi matin de novembre à 6h30, l’entraînement sera donné en direct en audio afin que les participants commencent leur journée dans le plaisir et l’air frais. Le Défi devient donc accessible des quatres coins du Québec! Chacun est invité à sortir dehors que ce soit dans sa cour arrière, dans un parc ou dans son entrée de stationnement!
« Notre objectif est de faire vivre un mois de novembre plus joyeux aux participants, surtout cette année! Nous sommes plus motivés que jamais à aider les gens à commencer leurs journées avec une bonne dose d’endorphines!»
– Edith Castonguay, coach du Défi de Novembre et physiothérapeute chez PCN Physio
Bouger oui, mais surtout bien encadré! Les coachs qui donneront les entraînements virtuels sont tous des professionnels de la santé de PCN Physio. Ils donneront aux participants leurs conseils de pro tout au long des entraînements afin que chacun puisse adapter les mouvements à la maison. Le Défi peut donc être relevé peu importe son niveau de forme physique, en famille et même avec son animal de compagnie!
Rendez-vous sur la page Facebook du Défi de Novembre pour avoir accès aux entraînements en direct tous les mardis matin de novembre!
L’orthèse crânienne, en vérité, est très efficace pour diminuer la tête plate, mais ne vient pas régler la source du problème. Effectivement, il y a souvent une cause derrière cette plagiocéphalie, donc plusieurs moyens de la prévenir dès la naissance de votre petit ange.
Tout d’abord, il faut comprendre la nature de la tête de bébé. Le crâne de bébé est très malléable et c’est de cette façon qu’il passe bien dans le canal vaginal lors de l’accouchement. Le crâne est donc formé de 6 os, qui ne sont pas encore fusionnés et liés entre eux par des sutures et espaces vides : les fontanelles. Lors de la croissance du cerveau, les os du crâne vont grossir progressivement et vont prendre leur place pour se souder ensemble en temps opportun. Tous les espaces seront alors comblés.
Le ‘’crâne plat’’, voilà en d’autres termes comment expliquer le mot plagiocéphalie. Il s’agit donc d’un aplatissement unilatéral (du côté gauche ou du côté droit) ou de l’arrière de la boite crânienne. Si une pression est toujours présente sur le même côté, les os du crâne se fixeront dans cette position étant donné la pression qui est présente de façon plus importante.
Il faut premièrement varier la position de bébé lors de ses périodes actives le jour. Une option à privilégier est d’augmenter le temps passer en position ventrale pour bébé en période d’éveil. Donc, lui faire prendre cette position pendant de courtes périodes, mais plusieurs fois par jour. Oui, bébé peut pleurer et ne pas apprécier cette position, c’est pour cette raison qu’il faut commencer par de courtes périodes, et ce, dès la naissance.
Il est erroné de penser qu’un bébé ne jouera pas sur le ventre seulement parce qu’il n’en a pas envie ou qu’il a la tête dure. Il n’apprécie probablement pas cette position puisqu’il présente des difficultés à maintenir ou à contrôler les mouvements de sa tête et de son corps dans cette position.
Il faut aussi diminuer le temps où vous laisser votre enfant dans une chaise vibrante, dans sa balançoire ou dans son siège d’auto. Ne le faites surtout pas dormir dans son siège d’auto à la maison, privilégier une autre position tel que sur le côté le jour avec un petit rouleau de serviette.
De plus, il est important de stimuler votre enfant des deux côtés, c’est-à-dire autant vers la gauche que la droite, afin qu’il ne développe pas de préférence. Si votre enfant est toujours stimulé du même côté, il aura tendance à tourner la tête de ce côté. Le poids du corps étant du côté où la tête est tournée, cela pourra créer un aplatissement (plagiocéphalie).
Pour terminer, il est important de comprendre qu’outre le côté esthétique, il n’y a aucune conséquence sur la santé de l’enfant. Comme il n’y a aucune pression sur le cerveau, il n’y a pas d’atteinte cognitive possible ni de douleurs associées à la plagiocéphalie. Si une douleur est ressentie, elle serait plutôt musculaire en cas de torticolis.
Le physiothérapeute pédiatrique peut vous aider en vous démontrant des exercices de stimulations et de positionnement à prendre selon l’âge de bébé afin de diminuer les risques de plagiocéphalie. Prenez-rendez-vous avec un expert dès maintenant!
La rééducation pelvi-périnéale est une approche qui traite les dysfonctions du plancher pelvien comme l’incontinence, les descentes d’organes, certaines douleurs lors des relations sexuelles ainsi que les douleurs pelvi-périnéale, ano-rectale et de la ceinture lombo-pelvienne. La physio périnéale peut vous aider dans plusieurs situations, par exemple:
La physio périnéale pourra vous aider à avoir un bon contrôle de votre plancher pelvien et ainsi diminuer les risques de déficits liés à une dysfonction de celui-ci (fuite urinaire, urgence mictionnelle, descente d’organe ou douleur). En effet, il est recommandé de consulter une physiothérapeute en rééducation périnéale dans le début de votre troisième trimestre pour faire une première évaluation. Au besoin, celle-ci vous donnera des exercices à commencer avant l’accouchement.
Elle peut également répondre à vos questions et vous donner plusieurs conseils pour vous aider dans les semaines précédant votre accouchement. Un suivi post-grossesse est ensuite effectuée environ 6 semaines après l’accouchement.
Pendant votre grossesse, la physiothérapeute peut vous aider à demeurer active. Celle-ci vous conseillera sur les activités adaptés à votre niveau d’activité physique et à votre condition. Après votre accouchement, la physio périnéale peut vous accompagner dans la reprise de vos activités quotidiennes et sportives en toute sécurité! En effet, une reprise de l’activité trop rapide peut augmenter les risques de dysfonction du plancher pelvien.
Au besoin, la physio périnéale vous accompagnera dans la réadaptation de la diastase abdominale après votre accouchement et vous aidera à prévenir les problèmes en lien avec une mauvaise stabilité du tronc (région lombo-pelvienne). La diastase des grands droits est un terme qui décrit la séparation anormale des deux grands droits de l’abdomen. Elle est souvent accompagnée d’une laxité de la musculature ventrale.
La physio périnéale sera votre alliée si vous souffrez d’incontinence urinaire, incontinence de gaz ou de selle, ou d’hyperactivité vésicale. Un suivi en physiothérapie pelvi-périnéale vous permettra d’améliorer la force et l’endurance de votre plancher pelvien. Ces deux aspects sont importants, car ils vous permettront d’être en mesure de mieux gérer vos envies d’uriner ou d’aller à la selle.
Si vous souffrez de douleurs aux relations sexuelles, de douleurs pelviennes ou de douleurs au coccyx, faites appel à une physio périnéale! En effet, ces douleurs peuvent être causées par une musculature interne trop tendue. À l’aide de son évaluation gynécologique, la physiothérapeute sera en mesure de relâcher les tensions musculaires internes et vous donner des exercices pour améliorer votre condition.
Une saison idéale pour bouger à l’extérieur, c’est bien l’automne! Ni trop chaud, ni trop froid encore, l’air est parfait pour être accueilli par les poumons et la nature est belle. On en profite pour faire une transition graduelle vers nos sports hivernaux!
L’important? On ajuste nos vêtements et nos chaussures tranquillement pour s’adapter à la température changeante. Pour les vêtements, on pense multicouches et tissus respirants! On commence par allonger les manches et remplacer les bermudas par des pantalons longs. Graduellement, on ira vers des vêtements doublés et des couches imperméables au besoin.
Pour les chaussures, on pourra penser à changer lorsque la slush envahira les rues. Pour courir l’hiver, vous pourriez par exemple essayer des souliers de type hybride avec des petits crampons ou ajouter des pointes aux carbures à vos chaussures. Il existe aussi des bas imperméables qui vous permettraient de rester les pieds au sec! L’important est d’avoir une chaussure qui n’est pas glissante sur le terrain sur lequel vous bougez.
N’oubliez pas vos extrémités! Tuque, gants et buff seront vos meilleurs amis pour rester au chaud. Encore une fois, commencez par des tissus plus légers à l’automne et aller graduellement vers des matières plus chaudes. Le buff peut également vous aider à réchauffer l’air que vous inspirez si vous le portez sur le nez!
Les directives canadiennes en matières d’activité physique pour la santé indique que les adultes âgés de 18 à 64 ans devraient faire chaque semaine au moins 150 minutes d’activité physique aérobiques d’intensité modérée à élevée par séances d’au moins 10 minutes. Si on prend une pause de notre sport en octobre à la fin de notre saison, il faut penser à bouger autrement! Quelle belle opportunité de s’initier à une autre activité ou encore de se reposer en raccourcissant nos sorties ou en diminuant la fréquence!
Vous arrêtez vos activités estivales et commencerez de nouvelles activités hivernales? Pensez quantification de votre stress mécanique! C’est aussi le moment d’introduire un programme de musculation pour renforcer votre corps et être prêt à effectuer de nouveaux mouvements! Ceci vous permettra de solliciter vos chaînes antérieures et postérieures de façon équilibrée et d’avoir une posture adéquate par exemple. Le kinésiologue est le professionnel de l’activité physique qui pourra vous accompagner dans ces nouveautés!
De nouvelles activités induisent inévitablement un stress mécanique sur toutes les structures de votre corps. À celui-ci s’ajoute le stress physiologique sur votre coeur, vos poumons et vos organes internes. Le stress physiologique est habituellement transférable d’un sport à l’autre alors que le stress mécanique ne l’est pas autant. Pensez à un cycliste en forme qui commencerait à courir. Son endurance cardiorespiratoire lui permettrait d’obtenir de bonnes performances. Par contre, il doit être prudent et y aller graduellement s’il ne veut pas se blesser dans ces nouveaux mouvements.
Vous continuez la course à l’intérieur? Si vous utilisez un tapis roulant, ajoutez une pente de 1 à 2% d’inclinaison pour simuler la course extérieure. Votre retour à la course extérieure au printemps sera ainsi plus facile, car courir sans aucune inclinaison correspond à courir sur un faux plat descendant.
En terminant, pensez alimentation sportive hivernale! Pour avoir du plaisir et bien performer, quelques principes clés vous aideront: un repas riche en glucides avant l’effort, des collations bien pensées et des boissons chaudes.
Accréditées La Clinique du Coureur, les deux sportives n’en étaient pas à leur première course en trail. Marie-Claude venait de courir un 42km et deux ans auparavant, Édith avait complété un 50 km. Mais c’était la première fois qu’elles s’attaquaient au 65 km de l’Ultra-Trail Harricana.
Coureuse aguerrie, Marie-Claude Cyr a longtemps compétitionné avec le Club d’athlétisme du Rouge et Or de l’Université Laval. Passer de la course sur route à la course en sentiers de longue durée était un nouveau défi qu’elle voulait accomplir.
Amoureuse de la course en sentier, Édith Castonguay aimait l’attrait de ce nouveau défi un peu inaccessible. Après avoir diminué son volume de course pendant plusieurs mois pour prendre le temps de vivre pleinement son nouveau rôle de maman, elle souhaitait repousser ses limites et ce défi lui donnait l’occasion de le faire!
Une fois inscrites, les deux physios n’ont plus regardé en arrière! Plusieurs mois d’entraînement les attendaient en préparation à l’événement et elles étaient prêtes à s’y attaquer.
À l’hiver, Marie-Claude et Edith commencent donc à augmenter graduellement leur volume de course. Au printemps, elles retournent courir en sentiers pour s’entraîner plus spécifiquement.
Marie-Claude subi une blessure à l’hiver et une blessure à l’été avec lesquelles elle doit jongler dans sa préparation physique au 65 km. Elle ne s’arrête pas pour autant et poursuit l’entraînement en intégrant d’autres moyens que la course pour garder la forme.
Edith jongle de son côté avec la gestion de son temps. De retour dans son rôle de leader de clinique après son congé de maternité, elle intègre sa préparation physique au travers de ses autres responsabilités en utilisant ses déplacements comme entraînement et en intégrant du volume de course lorsque possible.
Le mois de mars amène son lot d’incertitudes. Les événements de course courte distance commencent à être annulés et plusieurs coureurs se posent des questions. Nos deux coureuses décident de continuer à s’entraîner comme si de rien n’était. Harricana en vue, rien ne les arrête.
La semaine précédant le défi, Edith et Marie-Claude diminuent quelque peu leur volume de course en préparation au jour J. Puis, c’est direction Charlevoix en prévision de la fameuse course! La veille, elles se couchent tôt pour être prête pour leur départ de 6h.
Samedi 12 septembre, jour J! ENFIN! Arrivées parmi les premières sur le site, nos deux coureuses sont fébriles. Le thermomètre affiche 0 degrés et le paysage est magnifique. Marie-Claude se place dans la première vague de départ et Edith dans la 8e. Elles saluent sur le fil de départ Simon Rivest, un collègue physiothérapeute PCN qui s’attaque au défi lui aussi.
Le départ est donné et nos deux physios s’élancent l’une après l’autre ne pensant se revoir qu’au fil d’arrivée. Au 22e km, Edith croise Marie-Claude et les deux s’accompagnent sur quelques kilomètres. Elles se séparent pour poursuivre chacune à leur rythme.
À quoi est-ce qu’on pense pendant qu’on court 65 km en sentiers? D’abord, au soleil qui réchauffe et au paysage exceptionnel. Puis, après quelques dizaines de kilomètres, le bien-être mental fait place aux douleurs physiques. Comme le dit Edith: “Le plaisir prend le bord”. Sa stratégie pour continuer? Diviser le parcours dans sa tête et penser à ses collègues de PCN qu’elle croisera aux prochains ravitos.
Chaque année, plusieurs physiothérapeutes de PCN s’impliquent dans l’équipe médicale d’Harricana pour aider les coureurs blessés. Edith et Marie-Claude ont donc plusieurs collègues de PCN La Capitale à différents endroits sur le parcours.
Pour se donner du courage pour poursuivre, Edith pense à ses deux collègues Nic et Nic qu’elle croisera au dernier ravito! Les douleurs physiques ont pris le dessus, mais le mental n’a pas dit son dernier mot.
Fierté, douleur, satisfaction: les émotions sont multiples à la fin du parcours. Les deux coureuses accomplissent leur défi avec brio et se rejoignent à la ligne d’arrivée!
Leur constat? Ce ne sera pas facile de démontrer des exercices de jambes à leurs patients dans les prochains jours!
Est-ce qu’elles s’attaqueront à nouveau à des courses Ultra-Trail? Tout dépend des défis qu’elles se feront lancer dans le futur…
Justine: J’ai choisi de travailler chez PCN comme agente au service clientèle, car j’ai fait beaucoup de sport étant plus jeune et je suis toujours allée dans une clinique PCN lorsque j’avais des blessures. J’aimais beaucoup l’ambiance et l’aide qui m’était apportée pour que je retourne au jeu le plus vite possible. Il faut dire que je détestais être blessée et ne pas pouvoir jouer! C’est pour cela que j’ai voulu rejoindre l’équipe PCN étant maintenant plus vieille et voulant aider les gens à aller mieux. De plus, je désire étudier en physiothérapie à l’université et être au cœur de la famille PCN me fait réaliser à quel point j’apprécie ce métier et c’est cela que je veux faire plus tard.
Cynthia: J’ai choisi de travailler à PCN Beauport comme physiothérapeute, car je trouvais que c’était un beau défi de commencer dans une nouvelle clinique et de pouvoir y apporter une touche de personnalité!
Maritée: J’ai décidé d’intégrer la grande famille de PCN, car le sport m’a toujours beaucoup intéressée. Adolescente, j’étais en concentration sportive à l’école, donc le sport a été pour moi une grande partie de ma vie. De plus, la réception et le service à la clientèle sont devenus une vraie passion pour moi!
Élise: J’adore travailler en équipe pour mettre de nouveaux projets en place! Faire partie de ce beau défi comme physiothérapeute leader de clinique était tout naturel pour moi et j’aime encore plus mon rôle que je le pensais! Soutenir mon équipe et mes patients est vraiment important pour moi. Je veux également travailler avec les commerçants avoisinants pour dynamiser la communauté!
Justine: J’adore mon expérience à Beauport jusqu’à présent! Nous voyons notre clinique s’agrandir de plus en plus rapidement et c’est un très beau privilège que j’ai d’être ici. Étant donné que notre clinique a ouvert ses portes en juin, en plein milieu de la pandémie, ce que je trouve le plus difficile, c’est de ne pas voir le sourire des gens qui arrivent à notre clinique. Par contre, commencer au tout début de la clinique nous permet de la voir grandir à tous les jours, ce qui est très plaisant!
Cynthia: Je trouve que c’est une expérience très positive. J’aime l’ambiance, l’équipe et nos clients! C’est plaisant de venir travailler. On ne peut pas se plaindre de notre terrasse et de notre vue! Sans farces, c’est génial! C’est grand, c’est beau et c’est lumineux, je trouve que ça nous garde bien éveillés, les journées passent vite. Je crois que la demande était bien présente dans le secteur, puisque c’est achalandé depuis le début.
Maritée: Cela fait seulement quelques semaines que je suis chez PCN et déjà j’adore mon travail! Chaque matin, j’ai le sourire aux lèvres sachant que ma journée sera belle et divertissante. Le fait que notre clinique soit toute nouvelle est excitant, car elle est toute neuve. Notre clinique est magnifique et je suis fière d’y travailler.
Élise: C’est tellement positif! Depuis juin, on s’imprègne de notre milieu et on prend nos repères dans le secteur! Les défis et opportunités de développement sont différents dans chaque clinique. C’est une chance de bâtir la clinique PCN Beauport à l’image de la communauté locale pour bien répondre à leurs besoins! On avait très hâte d’ouvrir officiellement! C’est aussi un beau terrain de jeu pour notre équipe active. La piste cyclable qui passe tout près, les beaux sentiers pour courir le long de la rivière: notre clinique est vraiment bien située! On en profite pour intégrer du sport au travers de notre journée de travail.
Justine: Vraiment merveilleuse! Notre équipe est formidable et très à l’écoute. Nous avons une très belle énergie tous ensemble! Nous sommes tous et toutes souriantes, à l’écoute des besoins des autres. Notre complicité est vraiment agréable et nous avons beaucoup de plaisir à travailler ensemble!
Cynthia: L’équipe est très dynamique, on ne manque pas d’énergie! Tout le monde s’entend bien et on travaille tous ensemble pour arriver à rendre un bon service à notre clientèle. On ne pourrait demander mieux.
Maritée: Notre équipe chez PCN Beauport est magnifique! Nous sommes toutes des personnes qui sont passionnées par notre travail et qui adorons le faire!
Élise: J’ai vraiment une belle équipe! Les filles s’adaptent bien et elles prennent des initiatives. Chacune apporte sa touche personnelle pour ajouter du positif à la clinique avec ses idées!
Justine: Notre clientèle est vraiment super! Je crois que le fait que nous soyons une nouvelle clinique fait que les clients sont encore plus heureux de venir nous voir et découvrir le nouveau bébé de la famille PCN.
Cynthia: Je trouve que nous avons une clientèle très variée et c’est ce que j’aime! Nos patients sont motivés et impliqués dans leur réadaptation.
Maritée: La clientèle de PCN Beauport est diversifiée en âge et souvent sportive!
Élise: La réponse de nos patients est tellement positive! Plusieurs viennent à pieds des quartiers près de la clinique. Nos patients sont actifs et très motivés à reprendre leurs activités! J’aime découvrir qui ils sont et écouter leurs histoires, c’est l’un de mes côtés préférés de mon métier. C’est important pour moi d’apprendre à connaitre les gens pour savoir comment mieux les aider.
De développer et de perfectionner mon rôle-conseil et mon service à la clientèle! Comme agente, nous avons accès à des formations pour améliorer le tout et, comme physio en clinique privé, l’une des pierres angulaires est le premier contact avec le client donc quoi de mieux!
De voir les physios travailler! Chez PCN, nous travaillons souvent dans une grande salle, donc je pouvais les observer, même aller les voir en traitement durant les périodes moins achalandées, leur poser milles et une question sur des choses que j’apprenais à l’école mais que je ne comprenais pas complètement. Les physios sont toujours super contents et ouverts à partager leurs connaissances avec les étudiants en physio donc bénéficier de cela tout en été payée pourquoi pas!
De connaître l’équipe, ou les différentes équipes en faisant quelques cliniques! Cela nous donne un bon pied à terre et, si nous sommes appréciés, il est beaucoup plus facile d’avoir un poste par la suite pour faire enfin le métier que nous aimons tant!
Karine, physiothérapeute à PCN Pierre-Bertrand
Ça m’a permis de me familiariser beaucoup avec le milieu de la clinique privée. Le roulement, le type de clientèle, le type de blessure, l’organisation, les conditions de travail. On n’a pas nécessairement la chance de toujours avoir des stages en clinique privée pendant notre formation, donc c’est bon de voir ce qu’il en est réellement et de le vivre directement dans le milieu. Ensuite, lorsque tu commences comme physio, tu sais réellement à quoi t’en tenir! Si la clinique privée n’est pas pour toi, tu le sauras!
On a aussi la chance d’être témoin de certains cas particuliers et de pouvoir en discuter avec les physio sur place. Les questionner sur ce qu’ils en pensent, sur leur plan de traitement. Ce sont des informations précieuses qui sont très concrètes et très « pratiques » en plus d’être très complémentaires à tout ce qu’on peut apprendre comme étudiant à l’université. Ça m’a permis de travailler mon esprit d’analyse et ça enrichissait mes apprentissages.
Côtoyer des physio aussi qualifiés et passionnés pendant mes années comme agente m’a permis de définir mon style de pratique. J’ai pu retenir tous les éléments que je trouvais bons et pertinents de tous et chacun pour pouvoir l’appliquer à mon tour comme physio. Bref, mes collègues ont été une source d’inspiration et surtout de bons mentors!
Être agente a aussi contribué à développer plusieurs habiletés ou qualités nécessaires au service à la clientèle. Le fait d’être en contact avec des patients, d’apprendre à communiquer avec les gens, de leur fournir un service… tout cela se répète après comme physio! C’est une bonne façon de développer son professionnalisme et sa communication!
Krystina, physiothérapeute à PCN Lebourgneuf
Je sentais que j’avais déjà un lien de confiance avec l’équipe de gestion et un lien d’appartenance dans l’entreprise. Ça permet aussi d’avoir plus de facilité à gérer mon horaire de physio, à donner moi-même mes rendez-vous aux patients au besoin et à m’organiser pour que mon horaire soit le plus rempli possible.
Ça m’a aussi permis de connaitre déjà le système Addatech utilisé pour la prise de rendez-vous et de mieux me débrouiller s’il n’y a personne à la réception.
Également, je sais comment les agentes de mon équipe peuvent m’appuyer au quotidien dans mon rôle de physio.
Véronique, physiothérapeute à PCN St-Nicolas
découvrir et comprendre le fonctionnement de la clinique privée,
aller à la rencontre de professionnels avec des expertises variées, apprendre de ceux-ci et me créer un réseau de contacts professionnels,
faire un choix éclairé pour mon milieu de travail comme physiothérapeute, car j’ai pu essayé différents points de services.
Mes connaissances d’agente me servent encore aujourd’hui régulièrement comme physio puisque je peux aider mes collègues au niveau administratif lorsque nécessaire!
Le LCA est le principal responsable de la stabilité au niveau du genou. Il est cependant le ligament le plus fréquemment lésé au niveau du genou à raison de 250 000 cas par année au Canada et aux États-Unis. Les sports où le nombre de déchirures du ligament croisé antérieur est le plus important sont le football, le basketball, le soccer, le rugby, la lutte, la gymnastique et le ski alpin.
Les principaux mécanismes de lésion du LCA sont:
Souvent l’athlète rapporte avoir entendu un ‘’pop’’ au moment de l’accident. Dans certains cas, cette blessure sera associée à une déchirure du ligament collatéral médial ainsi que du ménisque médial. Ces deux structures aident également la stabilité du genou. Cette condition est connue sous le nom de la triade malheureuse.
Une préparation physique adéquate peut contribuer à prévenir ce type de blessure. En effet, bien qu’un faux mouvement peut survenir lors de la pratique d’un sport, un ratio adéquat entre la force des muscles en avant et en arrière de la jambe soit le quadriceps et les ischios-jambiers ainsi qu’un bon contrôle moteur au niveau du genou et du tronc aident à la prévention d’une lésion du LCA.
Les symptômes les plus fréquents de ce type de blessure sont:
Il est important, si vous suspectez cette blessure, de consulter en physiothérapie pour évaluer la stabilité de votre genou et vous assurer d’avoir une bonne gestion des symptômes ci-haut. Une déchirure complète du LCA est une blessure qui demande une bonne réadaptation. L’oedème au niveau du genou induit une perte de masse musculaire rapide au quadriceps. Il est donc important de débuter un programme de renforcement spécifique à votre blessure le plus rapidement possible, tout en s’assurant en parallèle d’une bonne gestion de l’enflure.
En premier lieu, le physiothérapeute vous aidera à gérer la douleur et l’oedème de votre genou, tout en vous aidant à le mobiliser progressivement. Une fois que ces symptômes seront contrôlés, deux choix de traitement s’offriront: la chirurgie ou l’approche conservatrice.
L’option fréquemment choisie, principalement par les sportifs qui ont des objectifs de performance, est la chirurgie de reconstruction. Cette chirurgie d’un jour, faite par un orthopédiste, utilise, dans la majorité des cas, une auto-greffe du tendon de muscle des ischios-jambier ou du tendon du quadriceps. Elle permet un taux de succès à long terme de 82 à 95%.
Le but de la chirurgie est de stabiliser le genou, de réduire le risque de future lésion aux ménisques et de retarder le processus d’arthrose. Cette chirurgie demande une période de réadaptation post-opératoire de huit à douze mois avant un retour complet aux activités de compétition. À noter que, même si vous choisissez cette option de traitement, il est fortement conseillé de rencontrer un physiothérapeute avant la chirurgie, afin qu’il vous aide à bien préparer votre genou. Ceci vous permettra de maximiser les chances de succès de l’intervention.
La seconde option, moins invasive, est de plus en plus populaire, principalement chez les patients qui ne ressentent pas l’instabilité de leur genou dans leur sport ou au quotidien. Le traitement conservateur peut s’étendre sur une période de six à douze mois selon les objectifs du patient. Celui-ci vise le renforcement global des muscles du membre inférieur et le contrôle moteur au niveau du genou et du tronc pour pallier à l’instabilité résultante de la déchirure du LCA. Comme mentionné plus haut, un bon équilibre dans le ratio de force du quadriceps versus des ischios-jambiers est nécessaire pour favoriser au retour à l’activité sécuritaire.
Peu importe l’option choisie le renforcement et les exercices de stabilisation du membre inférieur seront à privilégier au cours de l’année suivante. Un physiothérapeute et un kinésiologue spécialisés dans ce type de réadaptation pourront vous accompagner tout au long de votre réadaptation! Ils vous accompagneront dans vos objectifs spécifiques à votre sport en plus de s’assurer d’une progression adéquate selon votre stade de guérison.
N’hésitez pas à prendre rendez-vous avec nos physiothérapeutes et kinésiologues spécialisés.
Première arrivée à PCN Lévis tous les matins, Katherine a hâte d’aller rejoindre sa gang en clinique! Elle commence d’abord sa journée à la maison en profitant de la tranquillité et en prenant son temps pour boire son café.
L’un de ses plaisirs matinaux est de passer du temps avec son chien, Lili le labernois. Aujourd’hui, elles iront marcher ensemble pour bien commencer la journée!
7h, c’est l’heure du départ pour la clinique! Lorsqu’elle y entre, elle ouvre tout ce qui met de la vie en clinique comme la musique d’ambiance et la télévision d’information pour les patients. Elle prendra la première demi-heure de sa journée pour s’assurer que tout soit prêt lorsque les premiers patients entreront à 8h pour leurs rendez-vous.
Brassées de lavage de la veille, suivi des messages sur la boîte vocale, validation de la comptabilité du jour précédent, lecture des notes dans l’agenda commun, ménage de la clinique: Katherine commence sa journée en force! Comme agente en chef, elle a sous sa responsabilité plusieurs aspects de la gestion quotidienne de la clinique. Comme elle adore la gestion, c’est un rôle qui lui plait bien. Elle n’a pas le temps de se tourner les pouces!
Au travers de ses premières tâches de la journée, Katherine salue ses collègues qui arrivent à la clinique. Elle prend le temps de confirmer avec eux certains détails des rendez-vous de la journée et de répondre à leurs questions. Elle aime gérer les horaires de sa gang et a à coeur que chacun soit bien tant ses patients que ses collègues! Elle connaît bien ses collègues, leurs expertises et leur personnalités ce qui lui permet de bien jumeler les nouveaux patients au meilleur professionnel pour les aider.
8h, les premiers patients de la journée entrent en clinique! Katherine les accueille, répond à leurs questions et avisent leur physiothérapeutes de leur arrivée. C’est aussi à cette heure que le téléphone commence à sonner! Pour prendre un rendez-vous en physiothérapie, pour le reporter, pour poser des questions ou pour obtenir un reçu, les demandes au téléphone sont multiples. Katherine prendra aussi le temps de rappeler ceux qui ont laissé des messages la veille pour leur trouver le rendez-vous qui leur convient le mieux.
Au travers des appels, des retours d’appel, de l’accueil des patients et des tâches administratives, Katherine ne voit pas son avant-midi passer! Elle prend le temps de dîner rapidement, passe faire un tour chercher le courrier et revient à son poste à l’avant.
15h30, c’est l’heure de la rencontre web hebdomadaire des agentes en chef! Chaque agente en chef de chacune des cliniques se connectent à distance avec Stéphanie, conseillère expérience-client et culture chez PCN. Ensemble, elles passent en revue les nouveautés qui les touchent et discutent pour trouver des solutions à leurs défis communs. C’est un rituel qui leur permet de se retrouver et de travailler ensemble même si elles se trouvent toutes physiquement quelque part entre Beaupré et Grand-Mère.
Une fois la réunion complétée, Katherine va rejoindre sa collègue qui prendra le relais de 16h à 21h. Elles se font un briefing rapide sur comment s’est déroulé la journée et Katherine lui transmet les informations qui lui seront pertinentes pour la soirée.
De retour à la maison, Katherine retrouve Lili le labernois et passe du temps avec elle. Le sport et l’activité physique font partie de son mode de vie. Ce soir, c’est entraînement de CrossFit! Une fois son énergie dépensée, elle prend le temps de se faire à souper et de relaxer à la maison.
On fait partie de l’équipe des collaborateurs qui aident le patient à aller mieux! Le T. phys effectue le suivi des patients préalablement évalués par le physiothérapeute. Il évalue l’évolution de la condition du patient lors des rendez-vous de suivi et ajuste le plan de traitement au besoin. Chez PCN, le T. phys peut travailler avec une clientèle très variée allant des accidentés du travail ou de la route aux sportifs qui consultent en pratique privée.
J’adore enseigner! J’aime expliquer en détails à mes patients leur condition pour qu’ils puissent faire partie de leur propre guérison. Ça fait toute la différence! Souvent, mes patients me répondent “Je comprends enfin ce que j’ai!”. Ils sont contents de pouvoir analyser leur situation et de pouvoir s’ajuster en conséquence.
On évolue rapidement et on évolue bien! C’est exponentiel toute la connaissance et l’expertise qu’on peut acquérir. La force du groupe nous fait bénéficier d’une panoplie de modèles de thérapeutes de qui apprendre au quotidien. Si tu as une question, c’est sur que tu vas trouver ta réponse! Il y a une belle synergie avec les physiothérapeute, les médecins et les autres professionnels de la santé qu’on côtoie.
Ce qui est stimulant, c’est qu’on évolue au sein d’une équipe avec des expertises hyper variées. Éventuellement, ça nous permet de collaborer dans des projets spéciaux qui nous tiennent à coeur et d’ajouter des cordes à notre arc. Par exemple, j’ai développé mon expertise en thérapie par ondes de choc radiales et en isokinétique ce qui me permet de diversifier mon quotidien et d’aider une clientèle variée.
Aussi, je me sens privilégiée d’avoir accès au niveau de formation des physiothérapeutes de PCN qui sont à la fine pointe des dernières recherches dans le domaine médical. Participer à des formations pratiques à leurs côtés me permet de progresser énormément comme thérapeute.
Il faut aimer travailler en équipe, avoir un esprit ouvert et savoir faire preuve de collaboration et d’entraide. Chez PCN, une grande confiance est accordé aux T. phys. Nous avons un rôle-clé dans la réadaptation des patients et beaucoup d’autonomie pour pouvoir nous réaliser! On travaille en équipe et on vit une super belle collaboration avec nos collègues. Et qui dit équipe le fun dit ambiance de travail le fun!
Tendinopathie, périostite, fasciapathie plantaire, fracture de stress et autres: les blessures non traumatiques sont des blessures qui surviennent sans trauma, progressivement. Elles apparaissent dans un contexte de surutilisation de certaines structures du corps.
Notre corps subit différentes forces qu’on peut appeler stress mécanique. Par exemple, si vous courrez, vous stressez principalement les structures du bas de votre corps. Si vous faites de la peinture, vous amenez un stress sur les structures du haut de votre corps.
Nos structures (tendons, muscles, os, ligaments et articulations) ont une capacité limitée à tolérer ce stress. Celle-ci varie également d’un individu à l’autre selon plusieurs facteurs. Ceux-ci incluent les sports qu’on pratique, le type d’emploi qu’on occupe, notre âge, nos antécédents de blessures, la fatigue et autres!
Nos structures peuvent toutefois s’adapter à ce stress si on leur en laisse la chance. Plus elles y seront exposées, plus leur capacité à le tolérer s’adaptera, si l’exposition est graduelle. En d’autres mots, plus votre corps fait un geste, plus il peut le faire avec une capacité plus grande et avec un risque plus faible de blessure si vous l’exposez progressivement à ce geste.
Quand ce que vous demandez à votre corps excède la capacité de vos tissus à tolérer un stress, celui-ci vous enverra des signes. Les trois plus importants étant si vous:
Si vous vivez l’une de ces situations, cela ne veut pas automatiquement dire que vous êtes blessé. Cela signifie que vous entrez dans une zone dans laquelle vous devez faire preuve de prudence. Si vous poursuivez votre activité avec la même intensité, vous êtes à risque de développer des blessures non-traumatiques.
Si vous avez commencé une nouvelle activité et que vous ressentez des douleurs, il faut user de stratégies pour diminuer le stress sur vos structures qui causent votre douleur. La première stratégie est la substitution. L’objectif est de varier votre activité pour une autre qui ne vient pas mettre du stress mécanique sur les mêmes structures. Par exemple, vous pourriez remplacer un sortie de course sur deux par un entrainement de vélo ou de natation.
La deuxième stratégie est de jouer sur les paramètres de votre activité, soit l’intensité, la fréquence et la durée de celle-ci. Vous pourriez prendre des pauses pendant votre entrainement, en diminuer le nombre par semaine ou raccourcir ceux-ci pour un moment.
Notre objectif est de ne pas concentrer le stress que l’on fait subir à notre corps, mais plutôt de l’étaler dans le temps. Ainsi, on évite de commencer une nouvelle activité trop rapidement et de dépasser ainsi la capacité de notre corps à s’adapter au nouveau stress qu’il subit.
La clé est d’y aller progressivement et d’être vigilants pour rester à l’affût des signaux de votre corps!
Votre physiothérapeute est la meilleure personne pour vous accompagner dans la gestion de vos douleurs! Après une évaluation de votre condition, il vous créera un plan de traitement personnalisé pour vous permettre de retourner pratiquer vos activités préférées!
Nos collègues sont impliquées dans la formation des urologues et des gynécologues du CHU de Québec. Elles reçoivent plusieurs fois par année les résidents en urologie et gynécologie pour de stages d’observation en clinique. L’objectif? Permettre aux résidents de mieux connaître l’approche des physiothérapeutes en rééducation périnéale tout en échangeant sur les expertises respectives.
L’équipe compte dans ses rangs Stéphanie Bernard, la première candidate au doctorat en physiothérapie profil rééducation périnéal à Québec. En plus de sa pratique en clinique, celle-ci complète ses études de troisième cycle sur le traitement de l’incontinence urinaire chez des femmes ayant été traitées pour un cancer de l’utérus. La présence de Stéphanie permet à l’équipe de se tenir encore plus à jour sur les avancées scientifiques au sujet des dysfonctions du plancher pelvien.
L’équipe de la Clinique Santé Pelvienne PCN a à coeur de vous aider à pratiquer vos activités préférées. Leur mentalité? Vous permettre de rester le plus actif possible malgré votre condition. Certaines physiothérapeutes de l’équipe comme Rebecca Laliberté voient tant des patients en physiothérapie orthopédique qu’en rééducation périnéale. Elles ont donc une approche très globale dans votre prise en charge. D’ailleurs, l’équipe compte aussi sur l’expertise en course à pied de la physiothérapeute Sophy Desbiens qui est accréditée la Clinique Du Coureur. Celle-ci accompagne plusieurs femmes enceintes ou nouvellement maman dans la reprise de ce sport.
La Clinique Santé Pelvienne possède la technologie d’échographie et ses professionnels y ont accès lorsque requis pour vous assurer une évaluation plus précise, valide et fidèle des structures abdominales et pelvienne, en plus d’un suivi plus serré de votre évolution à la suite de vos traitements.
Comme physiothérapeutes en rééducation périnéale, les professionnelles de la Clinique Santé Pelvienne ont un intérêt pour les patients dans leur globalité. Par exemple, leur pratique les amène à s’intéresser à tout ce qui touche aux organes internes ou au système digestif. Une consultation en rééducation périnéale peut souvent inclure des notions de nutrition ou de sexualité.
Nos professionnelles sont proactives dans l’éducation des étudiants en physiothérapie. Stéphanie Bernard et Anne-Marie Giguère sont respectivement responsable de cours et auxiliaire à l’enseignement à l’Université Laval pour le cours d’introduction à la rééducation périnéale. Elles abordent avec leurs étudiants les notions d’incontinence urinaire, de troubles musculosquelettiques pendant la grossesse et de la diastase abdominale. Les professionnelles sont d’ailleurs très actives à se former elles-mêmes dans leur pratique et à partager leurs nouvelles connaissances avec leurs collègues sous forme de mentorat interne.
L’équipe de la Clinique Santé Pelvienne reçoit tant les femmes que les hommes et les enfants. Que ce soit pour une grossesse, pour un suivi post-natal, pour des douleurs, pour la pose d’un pessaire dans les cas de descente d’organe, pour de l’incontinence urinaire ou autres, nos professionnelles ont à coeur de vous aider et possèdent l’expertise adaptée à chacun! Par exemple, pour aider les patients présentant des douleurs dans la région pelvi-périnéale, Janic Gauthier possède une formation en thérapie myofasciale et plus d’une quinzaine d’années d’expérience avec ce type de clientèle.
Il est également possible de bénéficier de l’expertise des professionnelles de la Clinique Santé Pelvienne en téléconsultation!
Certains légers inconforts peuvent être normaux dans la posture de jeu. Par contre, des douleurs ne sont jamais normales que ce soit dans la posture de jeu ou au repos. Lorsqu’elles surviennent, il est primordial de consulter un professionnel de la santé familier avec les blessures spécifiques chez les musiciens pour prévenir qu’elles ne s’amplifient ou ne deviennent chroniques.
Le physiothérapeute peut aider le musicien dans la prévention et le traitement de ses douleurs. Il évaluera d’abord ces trois points-clés chez le musicien:
Une fois ces trois éléments évalués, votre physiothérapeute vous accompagnera afin de travailler sur votre adaptation au moyen d’interventions manuelles et d’exercices. L’objectif? Aider votre corps à s’adapter graduellement. Par exemple, si nous avons comme objectif d’augmenter la force, le but est d’exécuter des exercices qui provoqueront de la fatigue. Cette fatigue envoie le signal au corps indiquant qu’il est nécessaire de réparer le muscle de manière à ce qu’il soit plus résistant aux mouvements nécessitant de la force; ce phénomène est appelé surcompensation. Bien évidemment, notre but est de s’assurer que ces exercices n’ont pas d’impact négatif sur la pratique musicale!
Mon regard est adapté à chacun et axé sur les nécessités spécifiques à la musique! Chaque instrument demande une posture de jeu complètement différente. Aussi, chaque musicien a ses propres facteurs de risques de blessures notamment liés à la grosseur de l’instrument et au transport de celui-ci. Un pianiste ne fait pas subir le même stress à son corps qu’un contrebassiste!
Les musiciens font aussi des mouvements très raffinés. Comme physio, je conceptualise ces mouvements pour que mon plan de traitement soit personnalisé à chacun. Mon approche de réhabilitation se situe autant dans l’exécution du mouvement que dans la force et l’amplitude.
Le corps des musiciens de haut niveau est leur outil de travail de tous les jours. Ils ne peuvent pas nécessairement arrêter de jouer ou prendre une pause de tout mouvement pour récupérer. Je me fais donc un devoir de les faire progresser dans la diminution de leurs douleurs en les aidant à contrôler leurs symptômes pour qu’ils puissent continuer de suivre la partition!
Je recommande en général des exercices de contrôle moteur, bien souvent pour les membres supérieurs. Évidemment, ils sont personnalisés à chaque individu. En général:
En tout temps, les musiciens doivent se rappeler que la douleur n’est pas normale et ne devrait pas être associée à la musique. Aussi, la posture ne doit pas passer au second plan du son. Je recommande aux nouveaux musiciens de bien discuter avec leur enseignant de leur compréhension de la posture afin de développer des fondations adéquates.
Il s’agit d’un défi cognitif tellement intéressant comme thérapeute! Cela nécessite une bonne analyse clinique du musicien dans sa globalité pour bien comprendre d’où originent ses douleurs. Ayant moi-même évolué dans le domaine artistiques au niveau professionnel comme danseur, je comprends le rythme imposé par la pratique quotidienne d’un instrument. J’ai un respect immense pour les musiciens et je prend leur pratique au sérieux. Je trouve leurs aptitudes à créer des sons fascinantes!
Sa journée en clinique commençant à 13h, Sophy profite de sa matinée pour pratiquer ses sports préférées. Le sport fait partie de ses valeurs… et de son quotidien! Elle débute en déjeunant près de la piscine, un plaisir d’été! Sportive de nature, elle s’entraîne en général six fois par semaine. Ce matin, c’est la course qu’elle choisit! Elle enfile ses espadrilles et part de la maison pour une course en trail de 10 km dans les bois environnants. Les pistes de la Clinique du Coureur lui permettent de reconnecter avec la nature et lui offrent un défi stimulant qu’elle adore!
Revenue à la maison après sa course, elle profite du beau temps pour faire une baignade. Ensuite, c’est douche et dîner rapide! Organisée, Sophy prend quelques minutes pour analyser ses rendez-vous de la journée. Elle arrivera ainsi bien préparée en clinique et pourra concentrer tout son temps pour ses patients. C’est le départ vers PCN La Capitale pour débuter sa journée de pratique!
Dans sa journée, Sophy verra des patients qui la consultent pour des conditions tant orthopédiques que périnéales. D’abord physiothérapeute générale, elle a cherché à acquérir une nouvelle expertise pour aider une clientèle encore plus variée.
C’est ainsi qu’elle est tombée en amour avec la physiothérapie en rééducation périnéale. “Hors du commun”, “extraordinaire”, “complètement différent”: elle ne manque pas de mots pour décrire cette discipline. Rapidement, la rééducation périnéale est devenue une passion! Comme il n’était pas question pour elle de quitter sa clientèle sportive, elle combine maintenant ses deux expertises dans ses journées en clinique.
Aujourd’hui, elle débute par des suivis en rééducation périnéale. En arrivant, elle enfile son costume de physiothérapeute, c’est-à-dire ses pantalons, son chandail, ses lunettes et son masque. Elle prépare ensuite le matériel requis pour ses patients et sa salle. Elle y passera la majeure partie de sa journée en clinique.
Sophy prend le temps de souper entre deux patients et en profite pour finaliser les notes aux dossiers de ceux-ci. Elle jette un oeil aux derniers messages envoyés par ses collègues de la Clinique Santé Pelvienne. Celles-ci sont en contact régulier pour se tenir à jour sur les nouveautés dans le domaine, pour s’organiser des séances de mentorat et pour développer de nouveaux outils pour leurs patients.
Son repas terminé, Sophy retourne ensuite en salle pour voir ses derniers patients de la journée. Elle évalue une nouvelle condition en physiothérapie générale et ajuste les plans de traitement de ses patients qui reviennent la voir.
Ayant également effectué ses études en kinésiologie, Sophy a des connaissances poussées des prescriptions d’exercices. Elle utilise donc au quotidien avec ses patients ses acquis de kinésiologue.
Sa journée presque terminée, elle complète les notes aux dossiers de ses patients pour s’assurer que leurs prochains suivis soient à la hauteur du service qu’elle aime donner!
De retour à la maison, Sophy prend un moment bien mérité pour relaxer.
Vous aimeriez rencontrer Sophy Desbiens ou obtenir ses conseils? Contactez-la à PCN La Capitale!
J’ai joins PCN lors de ma 2e année de baccalauréat en physiothérapie. J’ai eu la chance d’intégrer l’Escouade PCN dans le noyau de gestion avec trois autres étudiants. En plus d’assurer les premiers soins dans une panoplie d’événements sportifs, j’avais la responsabilité de la gestion des horaires des membres de l’Escouade, du matériel de premiers soins et du recrutement des événements et du personnel.
L’Escouade amène aux athlètes des soins sportifs de première ligne directement sur les terrains! Les membres de l’Escouade se rendent sur des événements sportifs comme des parties, des pratiques ou des tournois pour assurer les premiers soins aux athlètes en cas de blessures. Ce sont des étudiants en physiothérapie qui ont une grande volonté de se développer comme physiothérapeute sportif.
Travaillant autant avec les équipes sportives qu’avec les athlètes lors d’événements sportifs, les étudiants de l’Escouade PCN peuvent ainsi profiter des différents sports pour parfaire leurs connaissances en tant que futurs physiothérapeutes.
Que ce soit avec des équipes de niveau collégial, secondaire ou primaire ou même avec des athlètes de fin de semaine, L’Escouade est là pour conseiller et référer les gens aux bons endroits et aux bonnes personnes. La présence de l’Escouade permet également de diminuer les visites à l’urgence lorsqu’il n’apparaît pas nécessaire d’aller consulter dans l’immédiat.
L’escouade PCN, c’est une gang d’étudiants dynamiques et passionnés qui sont prêts à tout pour les athlètes et les équipes qu’ils suivent! Ils ont soif d’apprendre tout ce qu’ils peuvent de chacune des expériences qu’ils vivent et des expertises des professionnels qu’ils côtoient. Grâce à leur engouement pour le sport et la physiothérapie, ils permettent aux athlètes de pouvoir performer à leur pleine capacité.
L’Escouade PCN m’a définitivement permis de devenir un meilleur physiothérapeute. J’ai pu me mettre en “mode physio” avant même de sortir des bancs d’école! J’ai ainsi fait mes premiers pas en physiothérapie aux côtés de physiothérapeutes d’expérience. J’ai appris énormément des approches propres à chacun de ceux-ci. Mon coffre d’outils de clinicien est donc bien rempli pour mon nombre d’années de pratique en clinique.
Cette implication a aussi simplifié la transition vers la pratique en clinique à la fin de mes études, comme je connaissais déjà bien l’organisation dans laquelle j’allais évoluer. Être membre de l’Escouade, c’est faire partie de la famille PCN! J’allais aux partys de Noël de PCN, je côtoyais déjà l’équipe de gestion et j’avais eu la chance de suivre de nombreuses formations pratiques données par des physiothérapeutes. Cela apporte une belle confiance!
Maintenant que je suis moi-même physiothérapeute en clinique, je sais que je peux me référer à mes collègues que j’ai connus au temps où j’étais dans l’Escouade. Je peux également mieux conseiller les étudiants de L’Escouade puisque j’agis maintenant comme superviseur. Je souhaite transmettre aux étudiants le bagage de connaissances que j’ai acquis pendant mes années à titre d’étudiant. Ceci m’a donc permis de découvrir une branche du domaine que j’adore, soit l’enseignement!
Cette implication m’a aussi permis de connaître beaucoup de gens dans le milieu sportif. Mes suivis avec mes patients actuels en cliniques sont ainsi plus efficaces. Souvent, je traite des jeunes sportifs dont je connais l’entraîneur ou le directeur sportif en raison de mes années dans l’Escouade. C’est un gros plus, car je peux ainsi facilement communiquer avec eux pour le suivi de mes patients ou adapter mes plans de traitement en conséquence.
J’en ai plusieurs! Passer des étés à travailler avec mes amis de l’Escouade sur des événements et à tisser des liens, c’était une chance incroyable! On trippait dans nos événements avec les sportifs, puis on se rassemblait à la fin de la journée autour d’un repas pour échanger sur nos cas. J’ai aussi adoré les semaines que j’ai passées avec Volleyball Québec! On faisait partie de l’équipe. L’aspect humain de gang était vraiment le fun! Bref, l’expérience fût unique en son genre. Quoi de mieux que de travailler à temps plein à faire le métier que l’on aime pendant ses études! Génial, non?
Ces jours-ci, vous trouverez Laurence Robitaille en clinique en après-midi et en soirée (sauf le vendredi!). Un horaire parfait pour elle, car elle peut ainsi utiliser sa matinée pour accompagner des sportifs à l’extérieur de la clinique et être active. Elle ne perd aucune minute de sa journée!
Sitôt réveillée qu’elle attrape son smoothie préparé la veille qu’elle boira en se rendant au PEPS de l’Université Laval. Elle y rejoint l’équipe féminine de basket-ball du Rouge et Or qu’elle entraîne quatre matins par semaine depuis maintenant trois étés.
Comme préparatrice physique, elle passera la prochaine heure à aider les joueuses à préparer leur corps pour la prochaine saison afin qu’elles soient au top de leur forme. Laurence choisi ses programmes d’entrainement en fonction des qualités musculaires et cardiovasculaires nécessaires pour la pratique du basket-ball.
Elle cible des exercices de musculation, de vitesse ou d’agilité qui permettront aux joueuses de performer pendant la prochaine saison.
Sa session complétée, elle embarque en voiture pour se rendre au Gym Premium où elle accompagne des clientes comme kinésiologue une journée par semaine. Elle en profite pour attraper une bouchée, parce que la journée ne fait que commencer!
De 8h à 10h, elle accompagnera deux clientes dans leurs programmes d’entraînement. Celles-ci ont évolué et Laurence doit adapter leurs exercices selon leur progression.
C’est maintenant à son tour de s’activer! Aujourd’hui, c’est jour d’entraînement du bas du corps en CrossFit pour la prochaine heure. S’entraînant cinq fois par semaine, Laurence aime varier ses activités sportives entre le CrossFit, la course, le paddleboard et l’escalade.
Douchée et changée, c’est l’heure de se rendre en clinique à PCN L’Hêtrière où elle passera la majeure partie de sa journée comme physiothérapeute. Laurence prend quelques minutes en arrivant pour dîner avec une collègue et commence ensuite à voir ses patients à 13h.
Première étape en arrivant à la clinique: s’habiller avec les équipements de protection PCN. Elle enfile masque, chandail et pantalon qu’elle laissera à la clinique en soirée. Dans sa journée, Laurence verra des patients qui viennent chez PCN pour la première fois. Elle évaluera leur condition et leur proposera un plan de traitement personnalisé afin qu’ils atteignent l’objectif qu’ils se sont fixé.
Elle accompagnera également ses patients qui reviennent la voir pour des rendez-vous de suivi. Elle évaluera leur progression, puis elle ajustera leur plan de traitement et leurs exercices.
Ce qui la motive? La satisfaction de remettre sur pied un sportif après une blessure! Aujourd’hui, l’une de ses patientes rencontrée en suivi a énormément progressé dans les derniers jours. C’est un travail d’équipe qu’elles ont réalisé ensemble et Laurence en est bien fière.
Au travers des rendez-vous avec ses patients, Laurence Robitaille prend le temps de compléter les notes aux dossiers de ceux-ci. C’est primordial pour elle de bien y indiquer les suivis de ses séances pour avoir un portrait global de la progression de ses patients. Elle pourra toujours s’y référer pour avoir des indicateurs précis d’où ils en sont vis-à-vis l’atteinte de l’objectif choisi.
Déjà 14h, l’heure de la réunion d’équipe hebdomadaire de la clinique! Tous les physiothérapeutes se rassemblent pendant 30 minutes et Jean-François, responsable de la clinique, anime la rencontre. Comment se passent les journées? Est-ce que l’équipe a des commentaires ou des suggestions sur leurs routines en clinique? On se rappelle ensemble l’heure du prochain Hêtri-bière, le rituel du jeudi!
À l’heure du souper, Laurence et son équipe essaient de se retrouver pour manger ensemble, lorsque c’est possible dans leurs horaires. Ils en profitent pour jaser et prendre des nouvelles les uns des autres.
De retour dans l’action pour la soirée, Laurence aidera d’autres patients à progresser vers leurs objectifs.
Puis, elle rentrera à la maison et préparera son déjeuner du lendemain pour être bien prête pour commencer une autre journée bien remplie.
Dans tous les cas, il est possible que votre douleur soit causée par une capsulite… ou pas! Les causes de la capsulite, son évolution ainsi que les incapacités en découlant varient en fonction de chaque individu et du stade de la pathologie.
De plus, plusieurs pathologies de l’épaule peuvent répondre à une ou plusieurs des questions ci-dessus. Vous pourriez même avoir plus d’une pathologies à la fois comme la tendinopathie, la bursite ou la déchirure de la coiffe pour n’en nommer que quelque-unes.
La capsulite est une pathologie qui se manifeste au niveau de la capsule, soit la membrane qui enveloppe l’articulation de l’épaule. Bien que toutes nos articulations sont enveloppées de cette membrane, la capsulite se développe principalement à l’articulation de l’épaule. Elle créera ainsi une restriction de mobilité spécifique à l’épaule.
L’avis d’un professionnel de l’épaule, le physiothérapeute, sera la clé afin de bien vous guider!
La capsulite progresse normalement en deux temps. Un premier où la douleur sera plus grande que la raideur et un deuxième où la perte de mobilité sera dominante par rapport à la douleur. On dit souvent à ce moment que l’épaule est gelée.
Trois tests vous permettront de dépister si vous souffrez d’une capsulite en stade gelé. Ces tests font partie d’un ensemble et, à eux seuls, ils ne peuvent pas garantir une capsulite. Ceux-ci doivent être faits sans douleur et tout en douceur.
Comparez votre épaule droite et gauche. Astuce: prenez vous en photo!
1. Soulevez la main derrière le dos
2. Ouvrez le bras vers l’extérieur
3. Levez le bras vers le haut
Si vous avez obtenu une différence importante de mobilité dans les trois tests, la capsulite pourrait alors être la pathologie dont vous souffrez.
Un rendez-vous en physiothérapie vous permettra de vous assurer d’avoir le bon diagnostic et ainsi de traiter votre condition le plus rapidement possible.
Voici certaines des options thérapeutiques que votre physiothérapeute pourrait vous proposer pour vous aider à retrouver une épaule en santé:
Être constant dans ses exercices, c’est la clé! Les exercices donnés par votre physiothérapeute sont judicieusement choisis pour compléter le traitement fait en clinique. Ils permettent de vous faire progresser plus vite dans votre guérison, car ils sont choisis pour pallier aux déficits de votre problématique. Ainsi, au prochain traitement, votre physiothérapeute pourra avancer encore plus vite avec vous. Il vous recommandera de nouveaux exercices pour, encore une fois, vous amener rapidement vers la l’atteinte de votre objectif. Vous faites partie de la solution et votre implication est primordiale!
Voici un brin d’inspiration pour vous aider dans votre progression. N’oubliez pas que les conseils personnalisés de votre physiothérapeute restent toujours votre référence!
Pour briser la routine et bloquer moins de temps dans votre horaire, séparez votre programme en blocs. Vous pourrez ainsi alterner entre ces différents blocs dans votre journée.
Vous utilisez une bande élastique, un tapis ou un rouleau pour votre programme? Laissez-les à la vue à la maison pour vous aider à vous rappeler de les utiliser! Votre bande élastique peut se retrouver sur votre poignée de porte de bureau et votre rouleau près de la télévision.
Votre physiothérapeute vous a envoyé vos exercices par courriel? Imprimez-les et affichez-les sur votre réfrigérateur. Vous pourrez ainsi cocher directement sur papier les exercices effectués et même y inscrire votre nombre de répétitions pour voir votre progression!
Un squat unipodal avant de vous brosser les dents, un étirement de mollet en coulant votre café, des protractions du cou à la lumière rouge: en jumelant vos exercices à des moments du quotidien, vous pourrez plus facilement vous rappelez de les effectuer!
À moins de recommandations contraires de votre professionnel, vous pourriez intégrer vos exercices de renforcement en échauffement lors de votre pratique sportive et complétez avec vos exercices d’étirement après celle-ci.
Êtes-vous du genre à regarder vos notifications de cellulaire souvent? Et si vous programmiez une alerte en notification à plusieurs moments dans votre semaine pour vous rappeler d’effectuer votre programme?
Votre physiothérapeute vous a envoyé vos exercices via l’application Physiotec? Pourquoi ne pas en faire une icône sur l’écran d’accueil de votre cellulaire? Vous pourrez ainsi avoir accès rapidement et simplement à votre programme pour vous remémorer avec précision vos exercices.
Le temps passe toujours plus vite lorsqu’on se divertit! Lancez votre balado préféré et écoutez-le en effectuant vos exercices. Vous êtes assis à écouter votre émission préférée? Prenez ce temps pour effectuer vos exercices!
Vous avez un ami qui suit un programme d’entrainement à la maison? Choisissez des moments pendant lesquels vous réalisez vos programmes simultanément pour vous encourager mutuellement! Vos enfants seront aussi heureux de vous aider à vous rappeler que, vous aussi, vous avez des devoirs!
Il n’y a rien de plus motivant que de voir notre progression! Notez vos chiffres chaque fois que vous réalisez vos exercices et fixez vous des objectifs dans le temps. Pour la semaine suivante, choisissez d’avoir atteint un nombre de répétition ou une charge supplémentaire en poids par exemple.
Le fascia plantaire est une membrane fibreuse qui s’étend de l’os du talon jusqu’aux orteils. Il soutient l’arche du pied dans l’absorption des impacts au niveau de la jambe.
L’épine de Lenoir est une excroissance osseuse formée sur le côté inférieur du calcanéum, l’os du talon. Elle se formerait à la suite des tractions répétées de l’insertion du fascia plantaire sur le calcanéum, ce qui conduit à une ossification. Certaines personnes peuvent avoir cette excroissance osseuse et d’autres non.
La fasciite plantaire est un terme médical pour parler d’inflammation au niveau du fascia plantaire.
Non, l’épine de Lenoir n’est pas un diagnostic! Elle est souvent diagnostiquée et confondue avec la fasciite plantaire chez les patients présentant des douleurs au talon. Par contre, plusieurs études scientifiques ont démontré que l’épine de Lenoir est présente chez 30% des patients n’ayant aucune douleur au talon!
En d’autres mots, il est possible d’avoir une épine de Lenoir sans jamais ne ressentir de douleur au talon ni de développer de fasciite plantaire!
Lors de la première rencontre, votre physiothérapeute pourra vous aider à identifier la ou les cause(s) à l’origine de votre douleur au talon et à établir vos objectifs. Il vous recommandera ensuite un plan de traitement et un programme d’exercices personnalisé. L’objectif est d’optimiser votre guérison et de prévenir les récidives.
Les exercices et les modalités de traitement auront pour but de diminuer la douleur, d’augmenter la souplesse nécessaire ainsi que de renforcer votre arche plantaire et possiblement le reste de votre jambe. De plus, d’autres interventions pourront également être ajoutées pour améliorer la mécanique de votre pied et votre proprioception.
N’attendez plus! Contactez un physiothérapeute dès maintenant!
L’entorse est une blessure sportive fréquente. Il s’agit d’une blessure à un ligament. Les ligaments se retrouvent à toutes nos articulations, reliant un os à un autre os, dans le but de les protéger et les soutenir. Nous pouvons diviser l’entorse en trois grades;
Afin d’éviter une entorse à la cheville, nous vous conseillons d’abord de vous doter de chaussures adaptées au sport pratiqué. Pensez aussi à vous accorder une période d’au moins quinze minutes avant votre entraînement pendant laquelle vous échauffez votre corps. On veut le préparer graduellement à l’activité qu’il s’apprête à faire.
Une entorse mal guérie ou une partie du corps atteinte mal rééduquée peut représenter un facteur de risque pour de futures blessures. En effet, une instabilité peut alors demeurer et mener à une récidive d’entorse. Il est donc important de ne pas en négliger le traitement.
Le physiothérapeute pourra vous aider considérant l’importance de la rééducation dans le traitement de ce type de blessure. Au début du traitement, le rôle du physiothérapeute consistera à travailler sur la mobilisation de votre articulation. Il vous aidera aussi dans la gestion de la douleur et de l’oedème. Ensuite, il intégrera des exercices d’équilibre et de force spécifique à votre cheville et votre blessure.
Le physiothérapeute vous accompagnera également dans le retour à vos activités par le biais d’exercices spécifiques à votre sport. Il vous élaborera un plan de traitement afin d’intégrer progressivement votre sport et d’éviter ainsi toute récidive.
Un tendon est une bande de tissu fibreux et élastique contenue dans une gaine, visant à relier les muscles aux os. La tendinite est l’inflammation récente du tendon. Le terme tendinopathie est utilisé pour toute blessure au tendon qui perdure dans le temps.
Parmi les tendinites les plus fréquentes, mentionnons celles liées aux épaules, aux coudes (« tennis elbow ou épicondylite»), au talon (« tendon d’Achille »), au genou et au poignet.
Afin d’éviter une tendinopathie, tout comme une entorse, il est important de bien vous échauffer avant l’effort physique. Aussi, lors de votre performance sportive, misez sur la qualité de vos mouvements. En cas de doute, nous vous conseillons de faire appel à un kinésiologue afin de vous assurer de bien exécuter les mouvements et ainsi, d’éviter les risques de blessure.
La pratique d’un sport nécessitant un volume d’entraînement trop grand et/ou d’une intensité trop importante peut aussi être la cause de tendinopathie. Il faut donc savoir modérer ses efforts et en augmenter graduellement la fréquence et l’intensité. Suivre un plan d’entraînement conseillé par un professionnel est la clé!
Une consultation avec un physiothérapeute vous permettra d’apprendre à mettre la quantité de stress optimale sur votre tendon et de rééduquer les mouvements douloureux pour permettre sa guérison. Vous pourrez également bénéficier d’un programme d’exercices spécifiques d’étirement et de renforcement. Celui-ci a pour but de vous aider à retrouver votre force et votre mobilité sans douleur.
Il existe plusieurs types de blessures au genou. Qu’il s’agisse d’une entorse (soit une torsion articulaire causant un étirement, une déchirure ou une rupture du ligament), de douleurs patellaires (affection touchant l’articulation fémoro-patellaire) ou de tendinopathie rotulienne (douleur du tendon rotulien), ces blessures au genou peuvent vous incommoder dans la pratique de votre sport favori.
La consultation avec un professionnel de la santé vous permettra d’identifier le type de blessure ainsi que le traitement approprié.
Bien exécuter les mouvements lors des entraînements est primordial pour éviter les blessures au genoux. Pour ce faire il faut s’assurer d’avoir :
Ceci permet de bien utiliser nos jambes lors de la pratiques de sports et réduit les risques de blessure aux genoux.
Attention également au surentraînement qui peut fragiliser les tendons et les ligaments! Celui-ci peut apporter son lot d’inconvénients et s’avérer contre-productif.
Finalement, il est aussi important d’effectuer un bon échauffement avant l’entraînement afin de vous préparer à votre activité sportive, et ainsi, prévenir la blessure.
Découvrez d’autres astuces pour prévenir les blessures au genou!
Manque d’équilibre, faiblesse musculaire, raideurs musculaires ou entraînements trop exigeants (en termes de fréquence, de durée ou d’efforts)? Le physiothérapeute saura vous aider à identifier la cause à l’origine de la problématique rencontrée. Il vous proposera également des pistes de solution qui contribueront à votre mieux-être via un programme d’exercices graduel et adapté à votre genou.
La fracture de fatigue se caractérise par la formation de microfissures sur la surface d’un os, lesquelles ne sont pas attribuables à une chute ou un coup. Elles sont plutôt dues à une contrainte inhabituelle ou un mauvais dosage d’entraînement, telle une activité physique intense pratiquée de façon répétée dont le repos est négligé. Bref, en faire trop, trop vite.
Ces fractures surviennent en général sur les os appelés à supporter le poids corporel, principalement aux membres inférieurs (ex. : fracture de stress du tibia, des métatarses (os du pied), du talon).
Allez-y doucement et progressivement. La fracture de fatigue s’observe fréquemment chez les personnes qui reprennent ou intensifient leur activité et l’effort que cette dernière sous-tend de manière soudaine et trop rapide.
Après une période de repos nécessaire à la guérison de l’os, une reprise graduelle des activités physiques est recommandée. Attention toutefois de ne pas mettre trop de tension sur la partie du corps concernée! Le physiothérapeute pourra vous accompagner au cours de cette période notamment en vous proposant des exercices d’étirement et de renforcement spécifique. Il vous aidera aussi à doser l’exercice que vous pouvez faire selon l’évolution de la guérison de votre fracture de stress.
Mieux encore: consulter au début de la reprise de votre entraînement vous permettra, entre autres, de faire évaluer votre biomécanique et de rectifier votre technique (patron de mouvement) au besoin, et ainsi, éviter la fracture de stress.
Un claquage signifie une blessure musculaire habituellement causée par une sollicitation excessive de la capacité d’étirement de ce dernier ou d’une contraction trop importante de celui-ci. Les muscles situés à l’arrière des cuisses, les ischio-jambiers, sont les plus susceptibles de faire l’objet d’une telle élongation.
Tout comme l’entorse, le claquage peut être divisé en 3 grades de blessure :
Lors d’un claquage de grade 2 et 3, une ecchymose va apparaître dans les heures ou les jours suivant la blessure. L’ecchymose témoigne des déchirures musculaires de la blessure. Une façon simple de différencier une élongation des autres grades (2 et 3) est donc l’apparition ou non d’une ecchymose.
Cette blessure survient à la suite d’un effort physique d’intensité supérieure à ce que votre muscle est préparé à supporter. Veillez donc à bien doser vos efforts. Il est préférable de faire un jogging léger ou une marche rapide en début d’entraînement et de progresser en augmentant l’intensité très lentement jusqu’aux sprints.
Un renforcement musculaire sera sans doute à privilégier. Le physiothérapeute pourra cibler les exercices et les étirements légers à effectuer graduellement. Ceux-ci vous permettront de maintenir votre flexibilité musculaire et récupérer progressivement afin de reprendre l’activité physique.
En résumé, pour prévenir les blessures courantes, la clé est de s’échauffer adéquatement et de ne pas pratiquer un sport à l’excès.
Que vous souffriez de l’une de ces blessures ou que vous souhaitiez les prévenir, nos physiothérapeutes sont là pour vous! Soucieux de votre santé, ils vous prodigueront trucs et astuces pour vous aider à pratiquer votre sport sécuritairement.
Ce service est disponible du lundi au vendredi de 8h à 16h. Vous avez une urgence pendant la fin de semaine? N’hésitez pas à faire appel à PCN Week-end, notre service disponible les samedi et dimanche.
Reconnu comme un leader en physiothérapie au Québec, PCN innove au moyen d’une plateforme technologique de téléconsultation sécurisée et approuvée par l’Ordre de la Physiothérapie du Québec. Ainsi PCN devient la première entreprise au Québec à structurer la téléphysiothérapie et à offrir une alternative à la consultation en clinique pour tous les Québécois, peu importe leur localisation!
Douleur au dos, cheville foulée, raideur dans les genoux: la téléconsultation en physiothérapie est disponible pour une multitude de cas! Grâce à leur expertise de pointe, les physiothérapeutes de PCN peuvent notamment:
La téléphysiothérapie PCN s’adresse à tous les types de patients (sportifs ou non, jeunes ou plus âgés) incluant ceux qui nécessitent un suivi post-chirurgie orthopédique.
Les bénéficiaires de la CNESST ou de la SAAQ peuvent aussi consulter le service de téléphysiothérapie de PCN. Ils doivent seulement posséder les formulaires adéquats.
« Au lieu de se présenter et d’attendre en clinique ou à l’urgence, milieux plus à risque de propagation du COVID-19, les patients qui ont des problèmes musculo-squelettiques maintenant peuvent accéder aux soins dont ils ont besoin directement de leur domicile. En implantant notre service de téléphysiothérapie, nous souhaitons faire notre part dans la situation actuelle. Notre but est de faciliter l’accès aux soins de santé à ceux qui ne peuvent se déplacer. » – Gilles Courchesne, président de PCN
Pour se prévaloir de ce nouveau service, les personnes intéressées n’ont qu’à prendre un rendez-vous en ligne.
Disponible du lundi au vendredi de 9h à 17h, le service de téléphysiothérapie de PCN est offert à des tarifs similaires aux consultations en clinique. Un reçu d’assurances est émis comme pour les consultations en personne.
La fasciite plantaire ou l’aponévrosite plantaire sont en fait des termes médicaux pour parler d’une inflammation du fascia plantaire. Puisque cette douleur au pied se poursuit dans le temps, le terme fasciapathie plantaire est plutôt utilisé pour désigner l’irritation persistante de ce fascia. Cette membrane fibreuse s’étend de l’os du talon jusqu’aux orteils. Elle soutient l’arche du pied et a pour fonction d’absorber les chocs.
Cette inflammation est habituellement caractéristique de situations où le fascia plantaire et le talon sont trop sollicités ou soumis à une pression. La cause peut donc être une ou plusieurs des situations suivantes:
Vous devez tenir compte de la douleur au pied que vous ressentez. Elle est votre signal pour reprendre la course à pied.
D’abord, il faut réduire le stress et la tension que subit le fascia plantaire. La course n’est pas à bannir, mais assurez vous de bien doser et privilégiez une reprise de la course petit à petit. Procédez par étape afin de minimiser le stress imposé à vos pieds. Réduisez votre vitesse, limitez le nombre de côtes empruntées et augmentez progressivement le nombre de séances d’entraînement hebdomadaires. Votre douleur au pied permettra d’orienter le dosage de votre course. Elle ne doit idéalement pas augmenter pendant votre activité de course, après celle-ci et le lendemain.
Si vous avez pour objectif de participer à un marathon ou un événement sportif sous peu, discutez-en avec un professionnel de la santé afin de convenir des meilleures astuces et traitements susceptibles de favoriser la réalisation de votre but, sans compromettre votre santé pour autant. Il vous fera un plan de traitement bien adapté à vos objectifs.
Lors de la phase inflammatoire de la blessure, soit les premiers jours, la diminution des activités demeure le meilleur traitement initial. Apposer de la glace (préalablement enroulée dans une serviette) sur la zone sensible pourra également amenuiser temporairement vos symptômes. Parfois, le port d’une semelle ou talonnette orthopédique est nécessaire au début pour diminuer les douleurs et améliorer le confort lors de la marche et lorsque l’on se tient debout.
Vous pouvez masser régulièrement vos pieds endoloris pour assouplir votre fascia plantaire et calmer votre douleur. Ces massages pourront vous être bénéfiques notamment avant et après une activité physique plus exigeante, de même qu’au lever.
Par la suite, la priorité est de retourner graduellement à vos exercices. La clé du succès est de doser les activités nécessitant de la mise en charge, soit toutes vos activités de la journée en posture debout.
Le physiothérapeute pourra, suite à une évaluation, vous aider à identifier la ou les cause(s) à l’origine de votre problème. Il vous recommandera ensuite un programme personnalisé composé d’une série d’exercices afin d’optimiser votre guérison et prévenir les récidives.
Ces exercices auront principalement pour but d’assouplir et de renforcer votre fascia plantaire. D’autres exercices pourront également être ajoutés pour améliorer votre force et votre souplesse du reste de votre jambe. Des exercices de proprioception pour améliorer votre équilibre pourront aussi faire parti de votre programme si votre physiothérapeute le juge nécessaire.
Ce dernier sera également votre allié pour vous aider à faire progresser votre course à pied afin d’atteindre vos objectifs de course.
Obtenez l’aide de nos experts pour vous remettre sur pied!
L’hiver, c’est fait pour jouer! Enfilez vos habits de neige et partez à la découverte de nouvelles activités physiques ou de sports que vous ne prenez plus le temps de pratiquer dû à votre rythme de vie effréné! N’oubliez pas que toute activité extérieure permet de retrouver le soleil que cache l’hiver. Une petite dose de vitamine D, ça fait toujours du bien!
1. Débutez la randonnée pédestre hivernale
En bottes ou en raquettes, plusieurs sentiers sont disponibles pour les marcheurs en hiver! Certains sentiers acceptent même que vous soyiez accompagné de votre meilleur ami Fido! La marche permet de travailler les grands groupes musculaires du corps, particulièrement dans la neige avec des raquettes. Gardez en tête que la marche est une bonne activité physique qui permet de développer un coeur en santé! L’important, c’est de bouger souvent et d’avoir du plaisir à le faire.
Effectuez quelques mouvements qui amplifient le patron de marche:
a) Marchez en élevant les genoux plus haut que votre bassin;
b) Marchez en essayant de toucher les talons à vos fesses;
c) Effectuez dix fentes de chaque côté.
2. Essayez le patin sur glace
Pratiquer le patin sur glace permet de travailler les muscles des fessiers, des cuisses et du dos. De plus, le fait d’essayer un nouveau sport permet aux jeunes de découvrir de nouvelles passions en plus de développer de nouvelles habiletés motrices. Chez les adultes comme chez les enfants, le patin permet d’améliorer l’équilibre et, dès que la vitesse entre en jeu, l’endurance musculaire est mise à l’épreuve.
Profitez de ce sport en famille ou entre amis! Faire une activité en groupe rend toujours le tout plus mémorable!
a) Tenez-vous sur une jambe pendant dix secondes, puis répétez de cinq à dix fois (assurez-vous d’être près d’un comptoir dans le cas où vous manqueriez d’équilibre);
b) Lors de vos tâches quotidiennes, amusez-vous à tester votre équilibre sur une jambe (assurez-vous d’être dans un endroit sécuritaire);
c) Pour plus de difficulté, ajoutez un oreiller sous le pied d’appui.
3. Retournez dévaler les pentes de ski!
Le ski est un sport qui prend un peu plus de temps et d’organisation. La période des fêtes est enfin le bon moment pour sortir votre équipement du garage et de vous rendre à votre montagne préférée! Besoin de conseils pour bien débuter la saison? Consultez nos conseils sur le sujet!
4. Jouez avec vos enfants!
Cinq activités cardiovasculaires par semaine, d’intensité modérée à intense et d’une durée de trente minutes, sont recommandées pour un corps et un esprit en santé! Profitez-en pour aller bouger avec vos enfants. Allez glisser, faites des bonhommes de neige ou construisez un château de neige! Ce sont tous des moyens qui vous aideront à garder la forme et la santé pendant le temps des fêtes.
Le temps des fêtes est la période parfaite pour prendre le temps de vous reposer mentalement, mais aussi physiquement. Toute l’année, vous entraînez votre corps afin de garder la forme! Il est maintenant venu le temps de vous reposer.
Saviez-vous qu’il est conseillé à tous les athlètes et les sportifs de prendre un moment de repos de leur entraînement? Pour voir et comprendre les bienfaits de la période de repos chez l’athlète, consultez notre article sur le sujet.
Cette année, pendant la période des fêtes, éliminez la culpabilité!
Que ce soit au niveau de votre entraînement ou de la nourriture ingérée (un peu trop parfois)…n’oubliez pas de profiter du moment présent! C’est le moment idéal pour passer la journée en pyjama de Noël et pour boire des chocolats chauds sans se culpabiliser. Les horaires de travail, d’entraînement et les repas équilibrés reviendront bien assez vite!
Enfin, si à chaque nouvelle année, vous ne pouvez tenir votre résolution de remise en forme, il est peut-être le temps de vous faire accompagner d’un professionnel! Choisissez le bon professionnel qui pourra vous guider selon vos besoins. Le physiothérapeute pourra vous aider à vous remettre d’une vieille blessure qui vous empêche de recommencer votre sport. Le kinésiologue, quant à lui, pourra vous accompagner dans un plan d’entraînement conçu spécifiquement pour vos besoins.
Toute l’Équipe de PCN s’unit pour vous souhaiter de joyeuses fêtes!
Une entorse lombaire est une blessure fréquente de la colonne vertébrale. Il s’agit d’une atteinte traumatique aux ligaments (bande de tissu conjonctif fibreux) localisés dans le bas du dos et reliant une vertèbre à une autre.
Cette atteinte peut également s’étendre aux tissus mous avoisinants, qu’il s’agisse de muscles ou de tendons. En présence d’une entorse lombaire, ces tissus sont susceptibles de s’inflammer. Cette inflammation cause de la douleur et peut également entraîner des spasmes musculaires, autant lors d’activités qu’au repos.
Il est rare qu’un seul ligament soit concerné. Cela dit, dans la plupart des cas, c’est le ligament ilio-lombaire qui est en cause. Celui-ci se situe entre le bassin et la dernière vertèbre lombaire. Ce ligament, auquel on attribue le rôle de stabilisateur entre les vertèbres lombaires et le sacrum, est habituellement résistant. Par contre, il peut être endommagé lorsque survient une torsion extrême (au-delà de l’amplitude normale), entre le bassin et la colonne vertébrale.
La gravité de la problématique est variable et dépend de différents facteurs. Les ligaments en question peuvent être étirés ou déchirés, de façon partielle ou complète.
L’entorse lombaire se traduit notamment par les symptômes suivants:
L’entorse lombaire est souvent la résultante d’un traumatisme (étirement musculaire/ligamentaire). Un accident, une chute au cours de laquelle il y a eu torsion du dos, un mouvement répétitif, ou un faux mouvement, sont des exemples pouvant occasionner cette douleur.
De plus, les personnes qui adoptent une mauvaise posture sont souvent touchées. Il en va de même pour celles qui sollicitent beaucoup leur colonne vertébrale dans le cadre de leurs activités usuelles (ex: soulever de lourds objets).
Enfin, la sédentarité compte aussi parmi les facteurs susceptibles de favoriser l’entorse lombaire.
Le repos est recommandé lors d’épisodes où la douleur se fait plus aiguë. Toutefois, ne demeurez pas alité plus de 48 heures, au risque d’accroître la raideur de votre dos.
Pour contribuer à votre guérison, il est préférable de reprendre, petit à petit, le cours normal de vos activités, notamment physiques, tout en sachant évidemment reconnaître et respecter vos limites. Ainsi, dans la mesure du possible, évitez de soulever de lourdes charges, mais demeurez actif. Évitez de rester en posture assise prolongée. Levez-vous plusieurs fois par jour pour éviter d’ankyloser votre dos et profitez-en pour faire quelques étirements.
La physiothérapie peut vous aider à traiter une problématique d’entorse lombaire. Plusieurs formes de traitement peuvent être envisagées: techniques de relâchement des tissus mous, programme d’exercices adapté à votre condition et visant essentiellement à mobiliser, assouplir, étirer et renforcer cette zone de votre corps, tout en réduisant votre inconfort. Le physiothérapeute vous aidera également à améliorer votre posture au quotidien. De plus, il vous fournira quelques trucs et astuces afin d’éviter que ce problème ne resurgisse.
Si la douleur est très intense, nous vous conseillons de consulter un médecin. Ainsi, il pourra vous proposer des médicaments anti-inflammatoires ou des relaxants musculaires.
En conclusion, plusieurs exercices existent afin de raffermir et soulager la région lombaire. Il existe une multitude d’exercices et d’interventions: techniques manuelles ou de relâchement musculaire, correction de mauvaises habitudes posturales, renforcement de votre musculature stabilisatrice lombaire, étirement des raideurs associées à votre douleur, etc.
Lors de votre rendez-vous, le physiothérapeute vous renseignera quant aux options possibles afin de diminuer votre douleur. Aussi, il sera en mesure de déterminer d’où elle provient. Enfin, il vous offrira ses meilleurs conseils afin d’éviter une récidive.
Vous ressentez une douleur au genou? Les causes susceptibles de cette douleur peuvent être diverses:
Usure articulaire (arthrose du genou, aussi appelée gonarthrose);
Appuis fréquents ou chute sur les genoux (comme le nécessite l’emploi des installateurs de tapis et de plancher, les jardiniers et paysagistes) pouvant mener à une bursite;
Faux-mouvement, telle une torsion du genou (entorse ligamentaire / lésion méniscale / luxation de la rotule);
Croissance naturelle jumelée à la pratique d’un sport impliquant des changements de direction brutaux, de la course et des forces d’impulsion, comme le football, le basketball, le volleyball et le handball (maladie d’Osgood-Schlatter);
Stress mécanique notable à la suite d’un entraînement trop intense (syndrome de la bandelette / syndrome fémoro-patellaire ou fémoro-rotulien / tendinopathie rotulienne).
Les principaux symptômes associés à ces problématiques sont la douleur (localisée au genou ou diffuse, parfois plus présente au moment d’emprunter des escaliers), l’inflammation du genou et une limitation au niveau de l’amplitude des mouvements. La douleur sera différente selon la blessure ou le problème rencontré :
Heureusement, ressentir une douleur au genou ne signifie pas que vous deviez reléguer aux oubliettes la pratique de tout sport. Toutefois, certains d’entre eux, parce qu’ils impliquent de soulever de lourdes charges (ex: haltérophilie), engendrent de forts impacts (ex: football) ou des arrêts brusques répétés (ex: squash ou tennis), sont moins recommandés. D’autres sports, tels que la marche, la natation, le vélo, le yoga et l’aquagym sont à privilégier afin de réduire la douleur ressentie.
Pour maximiser les bénéfices de l’activité sportive que vous pratiquez, tout en évitant les conséquences négatives sur la santé de vos genoux, certains ajustements simples peuvent contribuer à votre mieux-être. Ainsi, d’un point de vue ergonomique, les adeptes du vélo apprécieront sans doute davantage leur expérience s’ils se positionnent correctement et se dotent d’un vélo sur lequel ils se sentent confortables. La selle, par exemple, doit être à la bonne hauteur. Elle ne doit être ni trop avancée ni trop reculée par rapport au guidon, limitant le risque que les genoux ne subissent une pression indue.
Évidemment, le choix de traitement le plus adapté afin de contrer votre douleur dépendra en grande partie de sa cause. Lors d’une consultation avec un physiothérapeute, ce dernier pourra vous suggérer des exercices d’étirement et de renforcement des muscles qui soutiennent vos genoux.
Votre quadriceps (muscle devant vos cuisses) permet l’extension du genou. Les ischio-jambiers (à l’arrière de vos cuisses), quant à eux, font en sorte que vos genoux puissent se plier. Il est donc logique de miser sur le renforcement de ces muscles! Ainsi, vos genoux gagneront en mobilité et en stabilité. Les exercices proposés vous permettront de prévenir la douleur. De plus, vous serez en mesure d’accroître graduellement la motricité de votre articulation afin de recouvrer une certaine amplitude lors de l’exécution de vos mouvements. Le renforcement des muscles fessiers sont également d’une grande aide dans la stabilité des genoux et sont très souvent utiles dans leur rééducation.
Le port d’une attelle de genou, genouillère ou orthèse pourrait, dans certain cas, contribuer à atténuer les tensions subies par votre articulation. Il peut faciliter la reprise de vos activités physiques et participer à une bonne réadaptation. Comme il existe plusieurs types d’attelles, mieux vaut consulter un expert qui vous orientera vers ce qui vous convient.
Vous craignez que votre douleur au genou vous condamne à la sédentarité et à l’abandon des sports que vous appréciez? Détrompez-vous! S’il est vrai qu’un court temps de repos peut être approprié, en revanche, l’inactivité prolongée peut avoir pour conséquence d’engendrer le raidissement et la perte de mobilité de l’articulation, en plus de diminuer votre force musculaire.
Enfin, si vous souffrez d’une douleur au genou, nous vous conseillons de consulter un physiothérapeute. Vous bénéficierez ainsi d’un programme d’exercices personnalisé, ayant pour but de renforcer vos muscles. De plus, vous obtiendrez des conseils vous permettant d’ajuster votre entraînement de manière à réduire les risques de blessure.
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Tendinopathie est le terme général utilisé pour désigner un tendon qui est blessé. Ce terme regroupe les termes tendinite et tendinose. La tendinite représente la blessure lors de sa phase inflammatoire; c’est-à-dire lors des premiers jours de la blessure. La tendinose, quant à elle, représente la blessure lors de sa phase la plus avancée; c’est-à dire lorsque la douleur persiste dans le temps.
Les tendinopathies surviennent principalement suite à une période de surcharge au niveau du tendon(1). Cette surcharge peut être créée de plusieurs façons incluant une mauvaise posture, un mauvais patron de mouvement, des mouvements répétitifs non habituels (ex: peinturer les plafonds de votre maison), ou une mauvaise progression de votre charge d’entraînement(1). Conséquemment, l’effort demandé à votre tendon dépasse sa capacité à récupérer et un processus inflammatoire s’installe. À ce moment, la douleur commence à être ressentie et progresse rapidement si elle n’est pas bien prise en charge.
La coiffe des rotateurs regroupe les tendons des muscles supra-épineux, infra-épineux, subscapulaire et petit rond. Tous ces muscles ont leur origine à différents endroits sur la scapula, anciennement connue sous le nom d’omoplate. Ils se regroupent tous à une terminaison commune au niveau de la tête humérale formant la pointe de votre épaule. Ces muscles ont comme fonctions principales de stabiliser l’épaule et également de permettre les mouvements d’élévation et de rotation de cette articulation(1,3). Par conséquent, lorsque l’on parle de l’épaule, l’atteinte de la coiffe des rotateurs constitue l’un des diagnostic les plus fréquemment rencontrés en clinique(2) et cause des limitations fonctionnelles chez une grande majorité de personnes qui en souffrent.
Outre l’aspect de surcharge sur la coiffe des rotateurs, un facteur important à considérer est la présence d’un syndrome d’abutement. Un syndrome d’abutement se caractérise par le pincement des structures situées dans l’espace sous-acromial, dont la coiffe des rotateurs(2). Lors des mouvements répétés d’élévation du bras, le pincement des structures sous-acromiales est plus fréquent et augmente le niveau de stress sur la coiffe des rotateurs, causant ainsi de la douleur.
Il existe deux types d’abutement: externe et interne(2). L’abutement externe est principalement vu chez les patients plus âgés et peut être causé, entre autres, par une mauvaise posture. L’abutement interne est plutôt la conséquence d’une instabilité articulaire de l’articulation de l’épaule(2). Il se peut aussi qu’un problème de contrôle moteur des muscles autour de la scapula (omoplate) soit à l’origine de l’abutement interne. Ce type d’abutement est observé majoritairement chez les jeunes spo
rtifs qui pratiquent des sports nécessitant l’élévation du bras de façon répétitive(2).
Comme mentionné plus haut, les tendinopathies de la coiffe des rotateurs sont majoritairement des blessures non-traumatiques de surutilisation. Il est donc important de donner du repos à votre épaule et d’éviter le plus possible les mouvements douloureux(1,2). De cette façon, vous permettrez à vos tendons de suivre le processus normal de guérison et vous éviterez des changements dégénératifs non désirés. Plusieurs autres interventions peuvent également être nécessaires pour optimiser votre guérison.
C’est pourquoi la physiothérapie est bénéfique dès les premiers signes de douleur(2,3). Ajustements posturaux, renforcements spécifiques, exercices de contrôle moteur, thérapie manuelle, électrothérapie, tapings neuro-proprioceptifs, conseils sur la gestion de la douleur et autres techniques utilisées en physiothérapie peuvent être bénéfiques(1,2). Un physiothérapeute pourra personnaliser votre plan d’intervention selon l’évaluation qu’il aura préalablement fait avec vous et selon vos objectifs. En consultant un physiothérapeute rapidement, vous éviterez plusieurs complications pouvant ultimement vous amener à subir une chirurgie. Pourquoi attendre? Il est temps de prend
re soin de vous!
La tendinopathie de la coiffe des rotateurs peut affecter grandement votre vie quotidienne et devenir complexe si le problème n’est pas bien pris en charge. Les physiothérapeutes possèdent une multitude d’outils pour vous aider à optimiser votre guérison et vous permettre de reprendre vos activités sans douleur. Laissez notre équipe vous prendre en charge!
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Sources:
1-Lewis, J., McCreesh, K., Roy, J., & Ginn, K. (2015). Rotator Cuff Tendinopathy: Navigating the Diagnosis-Management Conundrum. The Journal of orthopaedic and sports physical therapy, 45(11), 923-937.
2-Khan, Y., Nagy, M. T., Malal, J., & Waseem, M. (2013). The painful shoulder: shoulder impingement syndrome. The Open Orthopaedics Journal, 7, 347-351.
3-Lewis, J. (2016). Rotator cuff related shoulder pain: Assessment, management and uncertainties. Manual therapy, 23, 57-68.
Le nerf sciatique est le plus long nerf du corps humain. Prenant naissance au bas du dos et descendant dans chaque jambe, il a une fonction à la fois motrice et sensitive. Il se divise en plusieurs branches à partir du genou pour se rendre jusqu’au bout des orteils. Cela explique que lors d’une sciatalgie, des engourdissements ou une impression de « choc électrique » peuvent être ressentis au bas du dos. Cette sensation peut irradier d’un côté du corps, passant par la fesse, la cuisse, le mollet et peut même se rendre jusqu’aux orteils, longeant ainsi le parcours du nerf.
Il importe de savoir que la sciatalgie ecst généralement un symptôme d’un autre problème sous-jacent.
Le plus souvent (85% à 90% des cas), l’irritation du nerf sciatique sera attribuable à une hernie discale. Ainsi, en raison d’efforts physiques répétés (soulèvement d’objets en position penchée vers l’avant par exemple) et/ou de postures inadéquates adoptées de façon prolongée, il arrive qu’un disque intervertébral se rompe.
Son noyau peut alors sortir hors de son socle et faire pression sur la racine du nerf passant près du disque. Cette compression engendre une réaction inflammatoire. C’est à ce moment que la hernie discale est pointée du doigt en tant que coupable de cette douleur au nerf sciatique.
L’arthrose lombaire (également appelée lombarthrose) peut également être la cause. Avec l’âge, le cartilage des vertèbres lombaires les plus souvent sollicitées au quotidien s’use. De petites pointes osseuses, liées à cette dégénérescence cartilagineuse, peuvent alors se former. Ces excroissances peuvent comprimer le nerf sciatique et générer de l’inconfort.
Le syndrome du piriforme figure aussi parmi les causes menant à la sciatalgie. C’est parfois ce qui arrive lorsque le muscle piriforme devient tendu suite à une inflammation ou à l’adoption de mauvaises postures, augmentant ainsi son tonus musculaire. Le nerf sciatique devient donc affecté puisque le piriforme se situe tout près du nerf.
Idéalement, les personnes souffrant de sciatalgie devraient opter pour des traitements diminuant à la fois la douleur ressentie tout en permettant d’améliorer la mobilité.
Dans cette optique, la physiothérapie peut vous accompagner dans le traitement de votre douleur. Par un programme complet, le physiothérapeute vous guide afin de:
De plus, des alternatives vous seront proposées afin de vous aider à rester actif tout au long de votre guérison. Ainsi, le physiothérapeute pourra vous prodiguer quelques conseils utiles pour que les mouvements effectués au quotidien soient exécutés de façon appropriée, de manière à diminuer l’inconfort attribuable à vos symptômes. Ces conseils seront également précieux dans un objectif préventif, afin de réduire les risques de récidive.
La prise d’anti-inflammatoires non stéroïdiens, d’antalgiques et de relaxants musculaires prescrits par un médecin peut également amenuiser temporairement la douleur. Il en va de même pour les infiltrations de corticoïdes, dont l’efficacité s’avère variable.
Portez une attention particulière au fait de vous tenir le dos droit, debout comme assis. La posture assise est particulièrement difficile pour les personnes souffrant d’une sciatalgie. Il est donc recommandé d’avoir le dos bien appuyé, les pieds déposés au sol sans croiser les jambes, ni les allonger devant soi. Tentez également de limiter au maximum les situations où il vous faut porter de lourdes charges. Enfin, évitez de dormir sur le ventre. Ces quelques changements, même s’ils peuvent vous sembler minimes, pourraient faire une différence.
La douleur peut malheureusement avoir un effet négatif sur votre motivation à poursuivre vos activités physiques. Sachez que même en étant aux prises avec une sciatalgie, il est généralement recommandé de continuer à bouger régulièrement. Il est préconisé de pratiquer un sport qui n’augmente pas vos douleurs afin de rester actif et de conserver votre musculation et votre souplesse. Nous vous conseillons d’opter pour la marche, l’elliptique et la natation.
Si vous ressentez des symptômes ressemblant à ceux décrits en introduction, n’hésitez pas à rencontrer un professionnel de la santé. Nos physiothérapeutes sauront vous proposer le plan d’intervention qui vous conviendra.
Techniques particulières d’étirements, exercices spécifiques de renforcement, conseils visant à rectifier votre posture et relâchement musculaire; nos experts mettront leur expertise à profit afin de vous permettre de poursuivre vos activités.
Ayant pour dénominateur commun la douleur au cou, les différentes problématiques susceptibles d’engendrer ce mal se différencient entre elles notamment par les autres symptômes leur étant associés et/ou la raison de leur apparition.
Le torticolis, lequel survient plutôt soudainement suite à un traumatisme léger ou lorsque l’on a maintenu une mauvaise position de façon prolongée (en dormant par exemple), entraîne généralement:
L’arthrose cervicale (ou cervicarthrose), correspond à la dégénérescence du cartilage du cou et se développe souvent avec l’âge Elle se manifeste par:
Une hernie discale cervicale, soit l’usure des disques cervicaux lesquels compriment un ou des nerfs, causera pour sa part:
Enfin, les gens aux prises avec une entorse cervicale, suite à un choc, lors d’un accident de voiture ou pendant la pratique d’un sport par exemple, déclarent ressentir:
Les personnes travaillant fréquemment avec un ordinateur développent plus souvent des douleurs au cou, en raison de l’adoption de mauvaises postures. Par conséquent, il est important de se doter d’un poste de travail ergonomique. Par exemple, la hauteur de l’écran ne devrait être ni trop haut, ni trop bas, mais à la hauteur des yeux.
De même, si vous travaillez assis pendant de nombreuses heures, il est préférable de faire quelques pauses au cours de la journée. Nous vous conseillons également de vous lever et de vous étirer régulièrement. Relâchez les épaules et bougez doucement votre tête de gauche à droite et de haut en bas. Ce conseil s’adresse à vous également si vous êtes de ceux qui gardent la tête penchée de façon prolongée pour consulter une tablette ou un téléphone intelligent.
Dormez avec un oreiller adapté à votre cou. Il doit être plus mince si vous dormez sur le dos. Il doit combler l’espace entre l’épaule et l’oreille si vous dormez sur le côté. Privilégiez un sommeil sur le dos ou le côté, qui favorisera un alignement optimal de votre colonne vertébrale, tout en respectant la courbure de votre cou. En effet, dormir sur le ventre n’est pas recommandé puisque cette position peut engendrer des tensions à la base de votre cou ainsi qu’au dos, occasionnant parfois de la douleur et de l’inconfort non seulement au réveil, mais possiblement à plus long terme.
Afin de vous permettre de récupérer et de ne pas amplifier la douleur ressentie, accordez-vous un peu de repos. Pendant quelques jours, évitez les mouvements qui requièrent une grande amplitude au niveau de votre cou.
L’application de la chaleur ou de la glace peut faire en sorte que vous vous sentiez mieux. Habituellement, dans les premiers jours, la glace est préconisée, puis la chaleur est utilisée par la suite. Si la douleur est très élevée, votre médecin pourra vous aider à la soulager avec des médicaments analgésiques, des relaxants musculaires ou des anti-inflammatoires.
La physiothérapie, par l’intermédiaire de mobilisation, d’exercices de renforcement des muscles de la région cervicale, d’étirement et d’assouplissement de cet endroit douloureux, peut contribuer à apaiser votre douleur et éviter les récidives. Des étirements légers et en douceur peuvent être réalisés à la maison. Ils vous aideront à détendre les muscles de votre cou. Un massage de la nuque peut aussi vous être bénéfique afin de favoriser un certain relâchement des contractures musculaires. À cet effet, il est suggéré de consulter un physiothérapeute qui peut aider au relâchement musculaire.
En terminant, si une douleur au cou vous fait souffrir depuis plusieurs jours déjà, voire quelques semaines, n’attendez pas! Nos professionnels de la santé côtoient régulièrement des gens aux prises avec cette même problématique. Grâce à leur expertise, nos professionnels pourront, d’une part, calmer ces raideurs musculaires et articulaires souvent symptomatiques d’une douleur cervicale, et, d’autre part, vous proposer des exercices de renforcement musculaire et des étirements adaptés.
Votre physiothérapeute saura également vous guider afin d’améliorer vos habitudes posturales, au bureau comme dans vos moments de détente. L’objectif ultime est de soulager votre douleur et de redonner à votre cou son amplitude habituelle et sa pleine mobilité. Rencontrez un expert sans plus attendre.
Sommairement, l’arthrose du genou est une pathologie chronique consistant en une dégradation graduelle du cartilage articulaire. De manière plus explicative, l’articulation du genou implique quatre os, à savoir: l’os de la cuisse (le fémur), l’os de la jambe (soit la fibula et le tibia) et la rotule (ou patella). Les extrémités de ces os sont recouvertes d’un cartilage, lequel permet le mouvement harmonieux des surfaces articulaires. Avec le temps, ce cartilage s’use et peut engendrer un douloureux frottement des os directement les uns sur les autres.
Dans 65% des cas, l’arthrose se développe dans l’articulation se trouvant entre le fémur et le tibia. Dans d’autres cas (35%), elle se développe dans l’articulation entre le fémur et la rotule/patella. On parlera d’arthrose fémoro-tibiale dans le premier cas, ou d’arthrose fémoro-patellaire dans le second. L’arthrose peut atteindre un ou deux genoux.
Heureusement, certaines alternatives peuvent contribuer au mieux-être des personnes souffrant d’arthrose du genou. Le premier réflexe consiste souvent à soulager rapidement la douleur ressentie. Ainsi, le médecin peut utiliser des médicaments analgésiques ou des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) pour réduire l’inconfort.
Dans les cas plus sévères, les professionnels de la santé peuvent justifier une chirurgie. La douleur ressentie et les difficultés rencontrées au quotidien en raison de l’arthrose doivent être suffisamment importantes. Une arthroplastie (remplacement total ou partiel de l’articulation par une prothèse) peut alors être médicalement conseillée.
Toutefois, avant d’en arriver là, sachez que la physiothérapie constitue une avenue de choix à considérer. Non seulement peut-elle vous aider à réduire votre douleur, mais elle peut également retarder la dégénérescence articulaire, prévenant ainsi l’aggravation de vos symptômes.
En plus de ces avantages, la physiothérapie, par l’intermédiaire d’un programme d’exercices personnalisés adapté sur mesure à votre condition, peut améliorer la flexibilité et la mobilité de votre genou, ainsi que la force musculaire de votre jambe, permettant ainsi une meilleure stabilité de votre genou.
Les sportifs ne doivent pas laisser l’arthrose du genou les empêcher de demeurer actifs. Au contraire! L’exercice, notamment parce qu’il tend à maintenir votre capacité fonctionnelle et à travailler sur votre mobilité articulaire, peut vous aider dans le traitement de votre gonarthrose. Cette affirmation sera d’autant plus vraie si l’exercice effectué donne du tonus à vos muscles.
Ainsi, certains sports devraient être encouragés. Tel est le cas, par exemple, de la marche, du vélo et des activités aquatiques, comme la natation (à l’exception de la brasse) ou l’aquagym. L’un des avantages qu’ont les patients souffrant d’arthrose lorsqu’ils sont dans l’eau est que cette dernière diminue l’effet du poids sur les articulations, permettant ainsi un entraînement plus confortable. L’eau, par ses doubles caractéristiques de flottabilité et de résistance, permet tout à la fois de diminuer la pression que subissent vos articulations, tout en tonifiant vos muscles; le meilleur des mondes en termes d’exercices pour le traitement de l’arthrose du genou!
De plus, le surpoids et l’obésité se classent au nombre des facteurs susceptibles d’accroître les risques de gonarthrose et la dégénérescence cartilagineuse. Le fait de vous initier à un sport ou de continuer à en pratiquer favorise le maintien d’un poids santé et contribue à votre bien-être.
En terminant, nous vous conseillons de consulter un physiothérapeute! Il pourra vous orienter vers un programme d’exercices personnalisé, axé notamment sur la mobilité articulaire et le renforcement musculaire. Ce professionnel de la santé saura, par son écoute et son expertise, vous guider vers des alternatives de traitement adaptées à votre situation, qui contribueront à diminuer vos symptômes et maintenir votre vie active.
La sédentarité n’est généralement pas une alliée, en particulier lorsqu’il est question de gonarthrose. Nos experts, disposés à discuter de vos besoins et préoccupations, vous aideront à cibler les options favorisant la poursuite de votre routine quotidienne. Ils peuvent peut-être même vous suggérer de nouvelles activités qui vous seront favorables et auxquelles vous n’aviez pas songé!
L’arthrose de la hanche consiste en l’érosion progressive du cartilage qui recouvre les extrémités osseuses reliant le bassin au fémur. À force de frottements lors des mouvements, ce cartilage s’amincit et s’use. Cette amincissement occasionne le dénudement de l’articulation et, ultimement, un contact d’os à os susceptible de s’avérer douloureux. L’arthrose est un processus normal du corps humain appelé usure naturelle. Elle peut être pire à certaines articulations dépendant des mouvements faits quotidiennement depuis des années.
On distingue deux types d’arthrose de la hanche :
Ce type d’arthrose représente approximativement 40% des cas et survient habituellement chez des patients âgés de plus de 60 ans. Cette forme d’arthrose de la hanche ne résulte pas d’une malformation et ne provient pas d’une cause précise, aisément identifiable.
Cela dit, certains facteurs peuvent vous y prédisposer, tels que le surpoids/l’obésité, une surcharge au niveau des articulations (attribuable au port fréquent de charges lourdes par exemple), de même que l’hérédité (antécédents familiaux d’arthrose).
Ce type d’arthrose s’observe sur une hanche présentant des anomalies morphologiques chez des sujets plus jeunes. Ses causes sont anatomiques ou découlent d’une maladie.
Ainsi, une irrégularité dans la structure des os de la hanche, une ancienne fracture du col du fémur, une maladie affectant directement le cartilage ou les tissus de l’articulation (la chondrocalcinose, par exemple) ou une maladie inflammatoire articulaire (telle que la polyarthrite rhumatoïde), sont autant de raisons pouvant expliquer la présence d’une coxarthrose secondaire.
À ce jour, il n’existe pas de moyen connu permettant de guérir l’arthrose de la hanche. Toutefois, afin de diminuer les inconvénients liés à ce problème, l’objectif est souvent triple :
Dans cette optique, la physiothérapie peut jouer un rôle clé. Les exercices ciblés et personnalisés proposés par le physiothérapeute vous aideront à adopter de meilleures habitudes posturales et à optimiser votre mobilité, votre souplesse et regagner de la force musculaire, tout en diminuant la douleur.
La physiothérapie peut aussi vous fournir certains enseignements visant à protéger et à préserver le cartilage articulaire restant, en vous invitant à modifier certaines habitudes de vie. Des traitements complémentaires, tels que l’ergothérapie ou la massothérapie, peuvent également être conseillés, au besoin.
Lorsque l’arthrose est sévère, le médecin peut prescrire des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) pour soulager la douleur et prescrire des injections de cortisone ou des injections de viscosuppléance dans les cas les plus avancés. Une intervention chirurgicale peut également être envisagée. Dans ce contexte, la physiothérapie postopératoire peut être indiquée afin de faciliter la récupération.
Le premier réflexe lorsqu’on a mal est souvent d’arrêter de bouger et d’opter pour un mode de vie plus sédentaire. Pourtant, il est tout à fait possible de continuer à pratiquer un sport tout en ayant un diagnostic d’arthrose de la hanche.
Peut-être serez-vous surpris d’apprendre que le sport, tel que la marche ou la course, permet de diminuer les impacts négatifs que peut avoir cette problématique sur le fonctionnement de votre corps au quotidien.
En effet, plusieurs coureurs aux prises avec l’arthrose de la hanche estiment même être plus confortables avec leur douleur. Cette impression s’explique par le fait que la marche ou la course, par leurs mouvements répétés, produisent une circulation accrue du liquide contenu dans les articulations, appelé synovie. Ce liquide lubrifie naturellement l’articulation et nourrit le cartilage, réduisant ainsi la douleur causée par l’usure.
D’autres sports tels que la natation, le vélo et le yoga, peuvent également permettre aux patients atteints de coxarthrose de demeurer actifs, tout en limitant les mouvements douloureux à leur hanche. Indépendamment du sport pratiqué, le secret réside notamment en un effort graduel et un entraînement s’effectuant en suivant une intensité adaptée. Soyez à l’écoute de votre corps!
En conclusion, l’arthrose de la hanche occasionne chez certains patients à la fois douleur et inconfort lors de l’exécution de mouvements spécifiques. Cela dit, cesser toute activité physique ne constitue pas une solution; voire, adopter un mode de vie exempt de tout sport peut vous faire passer à côté de nombreux bénéfices pour votre santé.
N’abandonnez pas ces sports et activités qui vous tiennent à cœur. Rencontrez sans plus attendre un physiothérapeute! Par son écoute et ses conseils professionnels, il saura évaluer votre situation et vous permettre d’atteindre vos objectifs, en respectant votre condition et votre bien-être.
La population générale est de plus en plus conscientisée par rapport à la présence des commotions dans le sport et à la façon de les reconnaître. Il reste toutefois beaucoup de travail à faire en terme d’éducation et sur la manière de bien gérer la récupération suite à une commotion cérébrale. Professionnels de la santé: notre travail débute donc ici! À nous d’offrir à la population toutes les informations nécessaires pour minimiser les impacts négatifs suite à une commotion cérébrale.
Longtemps on a cru que la récupération normale suite à une commotion était de 7 à 10 jours (1). Par contre, les plus récentes études suggèrent qu’un adulte prend en moyenne 14 jours à récupérer. L’enfant et l’adolescent , quant à eux, prennent jusqu’à 4 semaines à récupérer (2). Il est donc important de prendre en considération ces dernières études lorsqu’un patient se présente avec des symptômes nous faisant suspecter une commotion cérébrale. Nous pourrons ainsi bien le rassurer sur la durée normale des symptômes.
Il y a également eu un gros changement dans la notion de repos suite aux plus récentes recommandations faites par le 5e consensus international sur les commotions cérébrales dans le sport en 2016 (McCrory et al 2017). Les études recommandent maintenant d’avoir une période de repos complet de seulement 24-48h. Par la suite, un retour aux activités de la vie quotidienne doit être débuté graduellement en fonction des symptômes présents. Le patient doit débuter et doser ses activités cognitives et sportives selon l’exacerbation des symptômes toujours présents. Un retour progressif est la clé dans la récupération suite à une commotion cérébrale afin d’optimiser l’adaptation du corps dans chacune des situations de la vie quotidienne. Il a été montré que le repos prolongé n’était pas bénéfique à moyen et long terme (4).
Dans le cas où les symptômes persistent au-delà de la période normale de récupération, la cause peut provenir de plusieurs dysfontions. Par exemple, la cause peut être en lien avec des dysfonctions cervicales et/ou du système vestibulaire et/ou oculomoteur, associées à la commotion cérébrale (6). Des traitements en physiothérapie sont alors essentiels pour aider la gestion de la commotion. Ainsi, le physiothérapeute proposera un programme d’exercices spécifiques aux dysfonctions dans le but d’accélérer la disparition des symptômes (5). La cause des symptômes persistant peut aussi résider dans des facteurs psychosociaux. La prise en charge par une neuropsychologue ayant une expertise dans les commotions cérébrales est alors recommandée.
En tant que professionnels de la santé, travaillons en équipe afin de mieux encadrer nos patients suite à une commotion cérébrale. Ainsi nous pourrons prévenir les effets dommageables et potentiellement persistants.
PCN a fondé La Clinique Commotion en 2018 dans l’objectif d’offrir un encadrement optimal, une prise en charge rapide et la meilleure accessibilité possible suite à une commotion cérébrale. La Clinique Commotion est composée d’une équipe de médecins, de physiothérapeutes et de neuropsychologues experts en gestion des commotions cérébrales. La prise en charge peut se faire dans chacune de nos succursales PCN de la grande région de Québec. Pour les cas persistants, une équipe multidisciplinaire assure l’encadrement et le suivi à la clinique PCN Lebourgneuf.
Sources:
1-J Sci Med Sport, 2013,Consensus statement on Concussion in Sport–the 4th International Conference on Concussion in Sport held in Zurich, November 2012, McCrory P et als.
2-Br J Sports Med, 2017,Approach to investigation and treatment of persistent symptoms following sport-related concussion: a systematic review,Makdissi M et als.
3-Br J Sports Med, 2017, Consensus statement on concussion in sport-the 5th international conference on concussion in sport held in Berlin, October 2016, McCrory P et als.
4-Br J Sports Med, 2017, Rest and treatment/rehabilitation following sport-related concussion: a systematic review, Schneider KJ et als.
5-Br J Sports Med, 2018, Cervicovestibular rehabilitation following sport-related concussion, Schneider KJ.
6-Musculoskelet Sci Pract, 2019, How often is neck and vestibulo-ocular physiotherapy treatment recommended in people with persistent post-concussion symptoms? A retrospective analysis, van der Walt K et als.
Bonne lecture et bonne rentrée!
En janvier dernier, la très attendue nouvelle version du guide alimentaire canadien a été lancée. À l’heure de la rentrée scolaire, il convient de prendre un temps d’arrêt pour se questionner sur l’équilibre de notre boîte à lunch et les stratégies à mettre en place afin d’optimiser son contenu. Bien que le visuel du guide ait grandement changé, les principales lignes directrices et les messages clés sont restés sensiblement les mêmes.
– Misez sur une bonne portion de légumes dans la planification de votre repas. Ils peuvent prendre la forme de crudités, de salade ou de légumes cuits (grillés, en papillote, blanchis, bouillis, etc). Oubliez le jus de légumes qui ne contient pas de fibres et qui est riche en sodium.
– Profitez de vos lunchs pour essayer de nouvelles céréales. Faites des salades en y ajoutant de l’orge, du sarrasin, du quinoa ou du millet. Osez la variété dans vos grains entiers. Si vous optez pour un sandwich, essayez un pain multigrain qui aura bien plus de saveur qu’un pain blanc.
– N’oubliez pas d’ajouter une source de protéines à votre repas! Une salade grecque accompagné d’un peu de fromage feta n’est pas suffisant comme apport en protéines. Misez sur une portion de protéines qui comblera environ le quart de votre repas. Essayez aussi d’inclure les protéines végétales le plus souvent possible. Le tofu et les légumineuses sont des options versatiles pour la boîte à lunch.
– Évitez les desserts sucrés et ultra-transformés. Un fruit ou un produit laitier est bien meilleur pour la santé! Pour changer la routine, pourquoi ne pas préparer une recette maison de barres tendres ou de muffins?
Besoin d’aide pour vos boîtes à lunch? Rencontrez notre nutritionniste Isabelle Morin.
La rentrée scolaire amène le retour des jeunes sur les bancs d’école et le retour des parents au bureau! Vous vous retrouvez donc à maintenir une posture assise pendant plusieurs heures. Sachez que chaque individu est unique et qu’il n’y a donc pas une seule bonne posture assise. Par contre, certains éléments-clés peuvent vous aider à bien vous tenir sur une chaise.
Lorsque vous ou votre enfant utilisez la tablette et/ou le cellulaire, attention à la posture! En effet, lorsque la tête est penchée vers l’avant, elle augmente le stress sur toute la musculature postérieure (muscles du cou jusqu’au bas du dos), augmentant ainsi les douleurs au cou, aux épaules, au dos et même à la tête. Il est préférable d’amener le cellulaire à la hauteur des yeux plutôt que de se pencher. De plus, pensez à appuyer votre tablette sur une table à l’aide d’un support.
Pour les professeurs, nous vous conseillons d’effectuer de courtes pauses de 30 à 60 secondes à toutes les 30 minutes afin de faire faire quelques étirements à vos jeunes et ainsi, repartir la prochaine demi-heure avec une posture saine. Vos élèves ou vos étudiants seront mieux disposés à continuer leur journée.
Besoin d’idées pour vos étirements? Rencontrez un physiothérapeute.
Même si à l’automne, les jeunes passent plus de temps assis en classe et les parents passent plus de temps au bureau, ce n’est pas une raison pour arrêter de bouger!
Attention! Bouger ne veut pas dire qu’il faut s’entraîner. Le simple fait de marcher jusqu’à l’école ou au bureau permet au corps de profiter de l’air et de s’activer un peu avant et/ou après la journée.
Un autre conseil serait de profiter de votre heure du dîner pour aller dehors. Pour l’élève et l’étudiant, profitez de votre rentrée scolaire pour essayer un nouveau sport sur votre heure du dîner!
Enfin, parents et enfants, inscrivez-vous dans un cours, une équipe ou un club sportif! Il est beaucoup plus motivant de bouger en groupe que seul!
Besoin d’idée pour continuer à bouger? Rencontrez notre kinésiologue Nicolas Audet.
La rentrée scolaire signifie le retour aux sports pour plusieurs jeunes alors que pour d’autres, leur été fut rempli de plusieurs semaines de perfectionnement et de camp d’été pour maintenir leur niveau dans leur sport respectif. Sachez que la surspécialisation dans les sports chez les jeunes est très controversée depuis les dernières années. Les études tendent à prouver que de faire le même sport toute l’année peut augmenter les risques de blessure, dont les blessures de surutilisation, augmenter la fatigue et peut même mener vers la dépression ou le désintéressement du sport chez l’athlète.
La surspécialisation est lorsqu’une personne est trop spécialisée dans un domaine qui demande plusieurs aptitudes physiques et cognitives (littératie physique).
Nous retrouvons de plus en plus de surspécialisation dans le milieu sportif, surtout chez les jeunes. Plus précisément, un sportif est considéré comme étant surspécialisé lorsqu’il pratique un seul sport au détriment du développement de compétences physiques multiples. Cette surspécialisation diminue les chances de développer des aptitudes variées (attraper, coopérer, se concentrer, courir, développer sa force, gérer l’effort, glisser, sauter, lancer, utiliser du matériel sportif, avoir une vision du jeu, etc). Évidemment, un seul sport ne peut permettre de développer toutes ces compétences.
Les bienfaits:
Les drapeaux rouges:
*liste non-exhaustive
De plus, la majorité des jeunes sportifs ayant obtenu de bons résultats dans leur sport l’abandonne pour deux raisons principales:
Saviez-vous que dormir fait dorénavant partie du programme d’entraînement de plusieurs athlètes de haut niveau? En effet, le sommeil permet une meilleure récupération et de meilleures performances. La durée, la qualité et les phases du sommeil influencent directement la capacité de récupération pendant la nuit.
La phase de sommeil lent et profond est celle où vous récupérez le plus de la fatigue physique accumulée. Elle est donc très importante dans la récupération sportive. Conséquemment, le manque de sommeil a un impact sur l’humeur, la concentration et les performances sportives et mentales.
Besoin de conseils de la part de notre équipe?
Sources:
ASSTSAS,Guide ERGONOMIE DU BUREAU, http://asstsas.qc.ca/sites/default/files/publications/documents/Guides_Broch_Depl/GP67_ergonomie_bureau-2012.pdf
CENAS, Organisation du sommeil (les phases), date de mise à jour 2018-06-12, https://www.cenas.ch/le-sommeil/comprendre-le-sommeil/phases-du-sommeil/
Johnson, J (2008) Overuse injuries in young athletes: Cause and prevention. Strength and conditioning journal. 30(2):27-31.
CNESST, Pour bien régler et bien aménager un poste de travail informatisé, date de parution 2016-04-22, https://www.cnesst.gouv.qc.ca/Publications/100/Documents/DC100-1735web.pdf
Dong, L (2009) Développement à long terme de l’athlète:une base pour entraîneur, athlètes et parents. SIRC.
Samuels H.C. et Alexander N.B.Sommeil, récupération et performance,Centre canadien multisport
Une blessure traumatique est une blessure qui survient à la suite d’un coup ou d’un impact. Parmi ces blessures, les plus fréquentes sont les lésions musculaires et ligamentaires, les fractures, les luxations, les commotions cérébrales et les lésions cervicales(1,3).
Des études ont démontré que les fractures et luxations sont plus fréquentes chez les plus jeunes athlètes de cheerleading (5 à 11 ans), alors que les entorses et les claquages sont plus fréquents chez les plus vieux athlètes (12 ans et plus)(3). De plus, les commotions cérébrales augmentent selon le niveau de pratique(2). En effet, plus le niveau de l’athlète sera avancé, plus il aura de chance de subir une commotion cérébrale. Malgré tout, les blessures sont peu fréquentes chez les athlètes de cheerleading en comparaison avec d’autres sports de contact tels que le rugby ou encore le football. Toutefois, lorsqu’elles surviennent, elles peuvent être dangereuse et plus longues à guérir(4). On pense évidemment aux chutes d’une certaine hauteur avec ou sans collision avec les coéquipiers.
Les athlètes de haut niveau qui ont un volume d’entraînement plus élevé ont tendance à effectuer souvent les mêmes mouvements (plusieurs répétitions d’une même routine, plusieurs fois par semaine) et s’exposent donc à des blessures en lien avec la surutilisation. Périostites tibiales, fractures de stress, tendinopathies et dysfonctions lombaires en font d’ailleurs partie.
Il y aura toujours des risques incontrôlables à la pratique du cheerleading, mais certains facteurs de risque peuvent être diminués lorsqu’ils sont pris en considération. Par exemple, des études ont démontré que les stunts sont la cause la plus fréquente de blessures. Il est donc primordial de mettre des spotters lorsque les stunts sont pratiqués. Un indice de masse corporelle élevé, certains antécédents de blessures, des surfaces d’entraînement trop dures ainsi que des entraîneurs peu expérimentés sont aussi des facteurs de risque.
La meilleure mesure préventive demeure une bonne préparation physique(1). Par exemple, les athlètes occupant la position de base devraient avoir une bonne préparation musculaire au niveau du haut du corps ainsi que du renforcement abdominal, afin d’être solides pour lancer et attraper les voltiges.
De plus, aucun athlète ne devrait tenter d’effectuer une manœuvre sans avoir les préalables physiques et techniques nécessaires. Chez les plus jeunes, il est primordial que le niveau d’activité corresponde au niveau de maturation physique. C’est pourquoi les saltos et les roues sans mains sont, entre autres, interdits pour les niveaux 1 et 2.1. Chez les plus vieux, il est important de bien doser l’entraînement et d’inclure des périodes de repos pour limiter le risque de blessures non-traumatiques.
Aussi, tous s’entendent sur le fait qu’un encadrement médical est nécessaire. La présence d’un physiothérapeute du sport et/ou d’un médecin du sport est recommandée, voire obligatoire aux compétitions.
Cette association de cheerleading américaine a émis des recommandations pour la pratique du cheerleading scolaire afin de limiter les blessures. Voici les principales :
En conclusion, il y a toujours un risque de blessure associé à chaque sport et le cheerleading n’en fait pas exception. Cependant, en adoptant les bonnes pratiques préventives et en s’associant à des professionnels de la santé qualifiés, il est possible de réduire considérablement l’impact de ces blessures afin de bien profiter de ce merveilleux sport!
Sources:
1- Cheerleading Injuries In Children: What Can Be Learned? https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5805112/
2- Epidemiology of Cheerleading Stunt-Related Injuries in the United States, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2775359/
3- Cheerleading Injuries: Epidemiology and Recommendations for Prevention https://pediatrics.aappublications.org/content/130/5/966.long
4- Blessures sportives fréquentes: de A à C https://axophysio.com/blogue/blessures-sportives-frequentes-de-a-a-c/
5- Fiche technique Cheerleading http://rseq.ca/media/617614/cheerleading.pdf
Six associations professionnelles en lien avec la santé et le sport (1) ont émis un consensus sur la prévention des blessures et la charge d’entraînement chez les athlètes (2). Ces associations s’entendent toutes pour dire qu’il est impératif de prévoir une période de récupération dans la planification de l’entraînement. Ci-après, vous retrouverez nos meilleurs conseils quant à l’entraînement et au repos!
D’abord, le tableau ci-bas permet de comprendre le stress subi par le corps après chaque activité physique. Les aspects physiques, physiologiques et psychologiques sont considérés dans le suivi des athlètes, puisqu’ils interagissent ensemble et influencent la réponse finale (adaptation) et donc, la performance des sportifs dans leur sport respectif.
La charge externe représente le stress mécanique, ou plutôt la demande faite au corps. Elle est influencée par la fréquence, l’intensité et la durée de l’activité. La charge interne, quant à elle représente la réponse du corps face à la charge externe. Celle-ci varie en fonction de l’âge, du sexe, de la composition corporelle, de la forme physique, de l’amplitude de mouvement, de l’historique des blessures antérieures et de la santé psychosociale. Enfin, la récupération, ou plutôt l’adaptation aux charges, est un processus ayant pour but d’optimiser les adaptations physiques, physiologiques et psychologiques à la suite d’un stress imposé.
Physique | Physiologique | Psychologique | |
Charge externe (Stress mécanique – Demande) |
Mouvements :
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Charge interne
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Altération du mouvement:
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Capacité aérobie/anaérobie:
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Récupération (Adaptation aux charges) |
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Sachez que ces concepts ne sont pas nouveaux! Par contre, nous pouvons maintenant lier les différentes composantes afin de créer un modèle plus complet. En effet, selon la source du stress, la stratégie de récupération ne sera pas la même. Il faudra alors adapter les entraînements et les périodes de récupération selon chaque type de sport.
Enfin, connaissez-vous le concept d’entraînement et de désentraînement? Ce concept est bien simple: les chances de se blesser diminuent en s’entraînant un peu, puis augmentent après un certain seuil. Notez que ce seuil diffère pour chaque personne selon l’âge, le sexe, la composition corporelle, la forme physique, le sport pratiqué, les blessures antérieures et la santé psychosociale. L’adaptation de l’entraînement, comme l’optimisation de la force et de l’endurance et l’atteinte d’un poids santé aide donc à prévenir les blessures, tant que l’on respecte la récupération et la limite du corps.
En terminant, rappelez-vous:
1 The organizations are the American Academy of Family Physicians, the American Academy of Orthopaedic Surgeons, the American College of Sports Medicine, the American Medical Society for Sports Medicine, the American Orthopaedic Society for Sports Medicine, and the American Osteopathic Academy of Sports Medicine.
2 S. A. Herring, W. Ben Kibler, M. Putukian, D. J. Berkoff, J. Bytomski, E. Carson, C. J. Chang, D. Coppel, R. R. Franks, P. Indelicato, N. Jayanthi, M. Kovacs, J. Matuszak, C. T. Moorman, (2019). Load, Overload, and Recovery in the Athlete -Select Issues for the Team Physician—A Consensus Statement. Medicine & Science in Sports & Exercise: April 2019 -Volume 51 – Issue 4 – p 821–828.
Avez-vous des raideurs ou douleurs dans le bas du dos en vous penchant, en toussant ou lors de l’effort? Si vous souffrez d’un mal de dos qui restreint vos activités depuis plus d’une semaine, n’hésitez pas à consulter un professionnel de la santé. De plus, si la douleur se propage dans la jambe, qu’elle augmente en position assise ou debout, et qu’elle est accompagnée d’engourdissements, il peut s’agir d’une hernie discale lombaire. Une bonne évaluation permettra de suggérer le traitement approprié.
D’abord, la colonne vertébrale est composée de 33 vertèbres, soit 7 cervicales, 12 thoraciques, 5 lombaires, 5 sacrées fusionnées et finalement, 4 pour le coccyx. Ces vertèbres sont séparées entre elles par des disques de fibrocartilage, appelés disques intervertébraux. Ces disques donnent une certaine souplesse à la colonne, mais surtout, servent d’amortisseurs advenant un choc. Essentiellement, ils protègent la colonne des traumatismes qu’elle est susceptible de subir.
En cas de choc ou bien de compression trop importante ou de longue durée, il arrive qu’un disque perde de son élasticité, s’use et s’écrase au point de se fissurer ou de se rompre. Lors d’une hernie discale, une partie du noyau mou situé au centre du disque fait irruption à l’extérieur de celui-ci et peut se rendre dans le canal rachidien, qui contient un nerf.
Bien qu’une hernie discale puisse se situer entre n’importe quelle vertèbre de la colonne, elle affecte plus souvent la région lombaire (le bas du dos).
Les symptômes et l’intensité de la douleur peuvent varier d’une personne à l’autre.
Néanmoins, les symptômes les plus souvent constatés sont les suivants:
Lorsque la douleur est particulièrement intense, le repos en position allongée peut être indiqué pour, au plus, 24 à 48 heures. Au-delà de cette durée, un repos complet n’est pas recommandé, car il peut engendrer l’atrophie des muscles du dos, nuire à la mobilité des articulations de la colonne, voire ralentir la guérison.
Des médicaments analgésiques (acétaminophène), des anti-inflammatoires (ibuprofène) ou des relaxants musculaires peuvent temporairement aider à soulager la douleur. Ces médicaments pourront être prescrits par votre médecin. De plus, des infiltrations (injections épidurales de corticoïdes (cortisone)) peuvent être prescrites dans de rares cas.
Combinant à la fois la thérapie manuelle (technique de relâchement musculaire), les mobilisations articulaires et un programme d’exercices personnalisés, la physiothérapie en tant que traitement de la hernie discale, tend à soulager la douleur et les symptômes ressentis.
L’adoption d’une meilleure posture et l’enseignement de méthodes de travail adéquates sont autant de moyens visant à éviter l’aggravation de la problématique. C’est pourquoi la physiothérapie mise sur l’éducation afin d’optimiser vos perspectives de guérison et de réduire les chances de récidives.
En outre, elle présente de nombreux avantages, notamment :
Enfin, la chirurgie est généralement la solution de dernier recours. Les chirurgiens la pratique dans certaines situations particulières. Par exemple, lorsque la douleur est difficilement supportable et ne diminue pas malgré l’essai d’autres traitements.
L’intervention chirurgicale consistera, en fait, en l’ablation de la hernie. Cette chirurgie peut entraîner certains effets indésirables et n’offre malheureusement pas de garantie à l’effet d’éradiquer complètement toutes les douleurs.
En terminant, être aux prises avec une hernie discale ne signifie pas qu’il faille renoncer à tout sport ou mettre de côté vos activités et loisirs. La physiothérapie peut contribuer à soulager les symptômes liés à votre diagnostic de hernie discale, et vous faire bénéficier de conseils pertinents afin d’adopter une posture et des habitudes de vie plus saines.
Que l’objectif de votre démarche soit curatif ou préventif, n’hésitez pas à communiquer avec l’un de nos professionnels afin de prendre rendez-vous pour une évaluation.
Prendre votre santé en main est toujours une sage décision!
La Fédération des kinésiologues du Québec définit le professionnel comme suit: «le kinésiologue est le professionnel de la santé, spécialiste de l’activité physique, qui utilise le mouvement à des fins de prévention, de traitement et de performance».
Majoritairement, les kinésiologues travaillent dans l’une des trois sphères suivantes:
1- En réadaptation et performance dans les centres multidisciplinaires et les centres d’entraînement;
2- En santé dans les hôpitaux, les CLSC/CSSS et dans les centres multidisciplinaires;
3- En ergonomie, dans différents milieux de travail de grandes entreprises.
Bien que ces trois sphères soient assez différentes, le but commun des kinésiologues est de promouvoir les bonnes habitudes de vie et d’assurer une population active et en santé!
Toute personne qui bouge ou désire bouger peut faire appel au kinésiologue! Pour la majorité de ces personnes, le kinésiologue est d’une grande nécessité pour une prise en charge complète. Ainsi, il est en mesure les guider, les rassurer et les motiver!
En centre multidisciplinaire, comme une clinique de physiothérapie, les clients qui font appel au kinésiologue désirent améliorer ou bien préserver leur santé. Souvent, ils sont référés par leur médecin ou bien leur physiothérapeute. Par contre, sachez que la référence d’un médecin n’est pas un prérequis pour rencontrer un kinésiologue.
Les sportifs désirant optimiser leur temps à l’entraînement afin d’obtenir les meilleurs résultats possibles font également appel au kinésiologue pour obtenir un plan d’entraînement et du support afin d’arriver à leurs objectifs.
Il peut y avoir plusieurs raisons pour lesquelles vous pourriez consulter un kinésiologue. Par exemple, le kinésiologue pourrait vous aider:
1- À préparer votre corps avant une opération afin d’augmenter les chances de succès;
2- À récupérer d’une opération ou d’un accident (selon l’approbation du médecin ou du physiothérapeute);
3- À effectuer des changements durables dans vos habitudes de vie;
4- À préparer votre corps en début de la saison sportive.
D’abord, le kinésiologue élaborera un plan d’entraînement structuré, qui permetra de prévoir les différentes phases d’entraînement et ainsi, assurer une bonne base avant d’entrer dans la préparation spécifique nous menant au jour de compétition. Les différentes méthodes d’entraînement permettent aussi d’optimiser le temps passé à s’entraîner et de l’adapter à la réalité chaque personne.
De plus, la personnalisation, grâce à l’évaluation initiale permettra au kinésiologue d’assurer un suivi de qualité.
Enfin, n’oubliez pas que le kinésiologue est un guide et une source de motivation. Il n’a pas de baguette magique. Le travail d’équipe entre le kinésiologue et le sportif est un élément-clé pour obtenir les résultats souhaités!
Source: FKQ : https://www.kinesiologue.com/le-kinesiologue
L’épicondylite est une pathologie affectant un ou plusieurs des tendons reliant les muscles extenseurs du poignet à l’épicondyle latéral du coude. L’épicondyle latéral du coude est un petit relief osseux de l’humérus (os du bras), situé au-dessus de l’articulation du coude et à la face externe du bras. Le(s) tendon(s) atteint(s) présente(nt) de la douleur en raison de la charge inadéquate imposée ou encore en raison d’un mouvement répétitif. La douleur peut progresser au niveau de l’avant-bras, du poignet et de la main.
De plus, outre la douleur, il est fréquent que les personnes souffrant d’une épicondylite présentent une diminution de force au niveau de la main et/ou du poignet. Ces personnes ont donc de la difficulté à tenir leur tasse à café ou encore à ouvrir des pots.
Puisqu’il n’est pas nécessaire d’avoir un trauma ou d’avoir fait un effort musculaire pour qu’elle se développe, l’épicondylite peut être difficile à identifier. Voici donc différents exemples qui pourraient expliquer le développement d’une épicondylite au coude :
Tous les changements dans les activités sportives, de la vie quotidienne ou de la vie domestique sont propices au développement des épicondylites du coude. Il est à noter qu’une dysfonction cervicale au coude ou au poignet, peut également expliquer le développement d’une épicondylite du coude.
Premièrement, il est important d’identifier la cause de l’apparition de l’épicondylite afin d’éviter d’entretenir le problème dans le temps. Le physiothérapeute peut vous aider à identifier l’activité, le geste ou le changement dans vos habitudes de vie qui est problématique. Ensuite, il est important d’avoir une période de repos selon les recommandations de votre physiothérapeute. Celui-ci optimisera également la gestion du stress physique appliquée sur les muscles attachés à l’épicondyle tout au long de votre journée. Il vous accompagnera dans cette gestion et vous proposera des exercices permettant de doser la douleur et de retrouver votre force.
Finalement, il vous aidera à prévenir une récidive d’épicondylite du coude. Pour ce faire, il vous donnera des conseils et vous aidera à identifier les différents facteurs de risques présents dans votre quotidien.
Les injections de corticostéroïdes ne sont pas recommandées puisqu’il n’y a pas d’évidence sur leur efficacité à long terme et qu’il y a un plus haut risque de récurrence de la pathologie un an après l’injection (1,2). Aussi, il est démontré qu’à long terme, la récupération de la condition serait inférieure (2). Une approche en physiothérapie qui combine thérapie manuelle, exercices et conseils aurait des bénéfices supérieurs aux injections de corticostéroïdes (1).
Pour conclure, il est possible de guérir une épicondylite du coude, même s’il faut parfois s’armer de patience.
Consultez un professionnel de PCN dès l’apparition des premiers symptômes!
Sources:
1.Bisset, L., Beller, E., Jull, G., Brooks, P., Darnell, R., Vicenzino, B. (2006). Mobilisation with movement and exercise, corticosteroid injection, or wait and see for tennis elbow: randomised trial. BMJ, 10.1136/bmj.38961.584653.AE.
2. Coombes, B., Bisset, L., Brooks, P., Khan, A., Vicenzino, B. (2013). Effet of corticostreroid injection, physiotherapy, or both on clinical outcomes in patients with unilatéral epicondylalgia. American Medical Association, 309(5).
3.Dumusc, A., Zufferey, P. (2015). Tendinopathies du coude. Revue Médicale Suisse, 591(5).
Voici les éléments à vérifier par rapport à votre selle de vélo pour d’éviter tous ces maux!
Le premier élément à considérer est la largeur de vos ischions. Il est possible de la mesurer à l’aide d’un outil spécifique dans une clinique de physiothérapie experte dans les blessures chez les cyclistes, ou encore dans une boutique spécialisée. Une fois la largeur de vos ischions mesurée, vous pourrez choisir une selle appropriée à votre morphologie.
Si la distance mesurée entre vos deux ischions est de 120mm, il serait recommandé dans votre cas de prendre une selle de taille 143mm.
Avec les années, l’industrie du vélo a développé une panoplie de modèles de selle. Il peut-être très facile de s’y perdre! Il existe sur le marché des selles pour les hommes souvent munies d’une incision centrale. Cette incision est efficace pour relâcher la pression au niveau du périnée. Tandis que pour les femmes, les selles sont créées avec la portion moyenne plus étroite, ce qui peut être plus confortable pour celles-ci et même éviter les frictions de chaque côté des cuisses.
La réponse est oui! La courbe de la selle peut être également à considérer. Les selles plus plates sont moins confortables pour les longues distances en comparaison aux selles avec plus de courbe. Le confort que vous avez en pédalant reste le critère numéro 1 de sélection!
N’oubliez pas: magasiner une selle peut ressembler un magasinage de chaussure! Il faut parfois essayer plusieurs modèles avant de trouver la vôtre!
Ne sous-estimez pas l’inclinaison de votre selle de vélo
L’inclinaison de la selle est un élément biomécanique important à considérer lorsqu’il est question de confort à vélo. Si le nez de la selle pointe vers le haut, et ce, même d’un petit 5 degrés, cela peut créer des inconforts dus à une pression excessive sur le périnée antérieur.
À l’inverse, si le nez pointe vers l’avant, vous aurez l’impression de toujours glisser vers l’avant et votre corps compensera pour ne pas glisser. Cela peut occasionner des douleurs périnéales, en plus d’avoir un impact possible sur vos genoux et vos membres supérieurs.
Notre conseil: la position idéale demeure toujours au neutre, soit à 0 degré d’inclinaison.
Il faut également considérer la hauteur de la selle. Celle-ci aura une influence directe sur les genoux si elle est trop basse, mais elle influence aussi la pression totale exercée sur le périnée si elle est trop haute. Pour vous assurer de la bonne position de votre selle, rendez-vous à La Clinique du Cycliste! Un physiothérapeute expert dans les blessures chez les cyclistes saura évaluer toutes les composantes qui entrent en jeu lorsque vient le temps de changer la hauteur de votre selle!
En conclusion, grâce à nos conseils, il est possible de défier les statistiques et d’éviter les problématiques ci-haut mentionnées. Nous vous conseillons d’effectuer un changement à la fois, dans le but de bien comprendre l’influence des composantes changées.
Une fois la saison débutée, n’oubliez pas qu’un bon échauffement dans les trois différentes sphères du golf est nécessaire pour diminuer votre risque de blessures. Prenez donc au minimum 5 minutes dans le champ de pratique pour les fers longs, dans l’aire de pratique pour les fers courts et sur le vert afin d’aider votre corps à être prêt pour le premier 18 trous de la saison!
La saison de golf est à nos portes et malheureusement l’hiver a limité la pratique de votre sport favori. Votre plus grand défi avant le prochain début de saison consiste à préparer votre élan, puisque c’est le mouvement le plus stressant pour vos épaules, votre dos et vos hanches. Voici deux exercices à intégrer à votre routine avant vos premiers pas sur le vert. Vous pouvez les réaliser de 2 à 3 fois par semaine en maintenant chaque position entre 20 et 30 secondes et répéter la séquence 10 fois.
a) Le pont:
Étendu sur le dos, contractez les abdominaux et décollez légèrement les fesses du sol en gardant votre bassin stable et droit.
b) La flexion de la hanche:
Étendu sur le dos contractez les abdominaux afin de garder votre dos en contact avec le sol. Gardez votre bassin stable et décollez une jambe en la maintenant le plus élevée possible tout en gardant le contact de votre dos au sol.
Si vous êtes en période de magasinage d’une nouvelle voiturette à main pour la prochaine saison, il serait préférable d’investir dans un «push cart» plutôt qu’un «pull cart». En effet, la voiturette que l’on pousse, soit sur trois ou quatre roues, diminue la torsion de votre tronc provoquée par le tirement. De plus, elle demande beaucoup moins de force à déplacer, ce qui vous permettra de conserver suffisamment d’énergie pour vous rendre au 19e trou !
Une douleur vous incommode? Consultez les professionnels de la Clinique du Golfeur.
Parce que vos objectifs sont également les nôtres!
Les entraînements débuteront le 12 juillet 2019 à raison d’une fois par semaine: le vendredi à 17h00.
Un 30 minutes de théorie est alloué par séance incluant une analyse globale de la technique de course.
Coût: 70$ pour les 8 semaines d’entraînement incluant l’inscription au 5km de l’Université Laval du 8 septembre prochain.
Point de départ: PCN Lévis
Pour informations : 418-838-0121 ou [email protected]
Pour inscription, cliquez ici.
Les yeux et les mains de profesionnels de la santé ne peuvent pas toujours identifier ou évaluer efficacement tous les déficits mécaniques lors de douleurs au genou. C’est pourquoi la clinique PCN Sainte-Foy offre maintenant à sa clientèle souffrant de douleurs au genou, le programme Mon Genou. Ce programme, chapeauté par un physiothérapeute, inclus les services de physiothérapie, de nutrition, d’analyse cinématique KneeKG (genougraphie) en plus d’autres services complémentaires, tels que les infiltrations ou le référencement d’orthèses.
Le thérapeute effectue l’évaluation cinématique à l’aide de la technologie KneeKG. Cet appareil offre aux professionnels de la santé un outil supplémentaire lorsqu’il effectue une analyse de la mécanique du genou, ce qui l’oriente dans l’élaboration du plan d’intervention pour une récupération optimale.
La genougraphie permet, à l’aide de capteurs, d’objectiver de façon précise les mouvements du genou en trois dimensions. Le thérapeute effectue l’analyse à l’aide d’un outil installé sur le genou du patient. Les données sont alors captées lorsque le patient marche sur un tapis prévu à cet effet. Un rapport détaillé est produit suite à l’évaluation, permettant d’identifier les déficits biomécaniques liés aux douleurs. Une fois identifiés et mesurés, les déficits mécaniques peuvent être corrigés à l’aide d’une thérapie personnalisée.
Consultez la courte vidéo pour un aperçu d’une évaluation KneeKG!
La podiatrie est une profession de la santé régie par le Code des professions du Québec, la Loi sur la podiatrie et le Code de déontologie des podiatres. Le podiatre traite les affections et les maladies du pied et de la cheville qui ne sont pas des maladies systémiques. De plus, il possède l’expertise et les compétences nécessaires pour déceler toute complication relative au pied ou à la cheville et faire la distinction entre une pathologie podiatrique, qu’il peut traiter, et une maladie systémique, qui relève plutôt de la compétence du médecin. En plus d’offrir des conseils sur la santé et l’hygiène des pieds, le podiatre peut prescrire et administrer certains médicaments, exécuter des chirurgies mineures et prescrire, fabriquer ou modifier des orthèses plantaires.
Vos douleurs aux pieds ne devraient pas vous empêcher d’effectuer vos activités quotidiennes ou sportives! Grâce à son enseignement et ses conseils, le podiatre vous prend en charge afin que vous compreniez bien l’origine de votre douleur.
En plus, le podiatre peut offrir les traitements suivants, tout en ne se limitant pas à ceux-ci :
Lors de la première rencontre, le podiatre réalisera une évaluation complète en plus de faire l’historique de vos symptômes et des soins reçus des précédants professionnels de la santé. Ce faisant, il pourra identifier le traitement optimal pour votre problématique. Il effectuera également un examen biomécanique podiatrique complet. Il vérifiera vos amplitudes de mouvement articulaires assis, à la marche, à la course et debout. Si nécessaire, il effectuera un examen supplémentaire à l’aide d’une méthode d’imagerie dans le but de confirmer ou d’infirmer le diagnostic. Après avoir recueilli et analysé toutes les informations, il pourra établir un plan de traitement personnalisé à votre condition et à vos objectifs. Dans la majorité des cas, un traitement est effectué lors de la première consultation afin de vous remettre sur pied le plus rapidement possible.
Notez qu’aucune référence médicale n’est requise pour prendre un rendez-vous avec le podiatre.
Vous croyez qu’un podiatre peut vous aider? Rencontrez Dominic Chicoine de PCN La Capitale!
Pour accéder aux articles spécifiques à la podiatrie, cliquez ici.
Sources:1: Ordre des podiatres du Québec: http://ordredespodiatres.qc.ca/public/quest-ce-quun-podiatre/
On sait que s’entraîner en groupe permet de mieux performer (5), mais quel rôle joue la musique lors de vos séances d’entraînement?
Une grande majorité de cyclistes a pour habitude de pédaler avec de la musique durant l’hiver. Parfois en mode aléatoire, parfois à tempo synchronisé.
Or, bien plus qu’un simple plaisir, la musique a la faculté de stimuler plus d’énergie et d’augmenter la motivation du cycliste à pédaler plus longtemps ou plus intensément, dépendamment de son rythme. Elle peut également donner l’impression que l’on ressent moins l’effort et donc améliorer l’endurance.
Saviez-vous que même le RPM est influencé par le tempo de la musique? En effet, des études ont démontrées que le cerveau a tendance à se synchroniser avec son environnement (4). Ainsi, la musique à tempo bas est plus susceptible de calmer tandis qu’une musique à tempo rapide est plus susceptible d’exciter.
Des chercheurs (1) ont notamment réalisés certains tests afin de pouvoir répondre à la question. Lors de ces tests, ils ont observé la performance des participants lorsqu’ils écoutaient de la musique synchronisée avec leur fréquence de course puis sans musique. Le résultat était clair: 66% des participants tenaient plus longtemps un effort intense après une période de fatigue en écoutant de la musique que lorsqu’ils n’écoutaient pas de musique.
Ce que cela veut dire : pour une même intensité, l’effort nous semble plus facile. Ainsi, on peut écraser les pédales plus longtemps avant de s’avouer vaincu.
Une autre étude (3) tente d’expliquer la performance lors de la variation de rythme musical durant un effort progressif. En déduction, il est recommandé d’écouter de la musique au tempo lent durant la portion facile-modérée et changer pour du tempo rapide lorsque cela devient difficile. Les participants aiment s’entrainer quand le rythme est rapide puisqu’ils peuvent penser à autre chose que leurs jambes qui piquent.
La musique apporte un peu plus de motivation pendant l’effort et permet d’augmenter l’endurance du cycliste. L’effet est positif sur des sprints répétés (2) et un effort jusqu’à épuisement (1). Le rythme rapide est le plus efficace et a pour faculté d’augmenter la cadence de pédalage.
Et vous, quelle chanson vous fait pousser le plus de watts?
Sources:
1-Nikol, L., Kuan, G., Ong, M., Chang, Y. K., & Terry, P. C. (2018). The heat is on: effects of synchronous music on psychophysiological parameters and running performance in hot and humid conditions. Frontiers in psychology, 9, 1114.
2-Stork, M. J., Kwan, M. Y., Gibala, M. J., & Martin, K. G. (2015). Music enhances performance and perceived enjoyment of sprint interval exercise. Medicine and science in sports and exercise, 47(5), 1052-1060.
3-Szabo, A., Small, A., & Leigh, M. (1999). The effects of slow-and fast-rhythm classical music on progressive cycling to voluntary physical exhaustion. Journal of sports medicine and physical fitness, 39(3), 220.
4-Terry, P. C., & Karageorghis, C. I. (2006). Psychophysical effects of music in sport and exercise: An update on theory, research and application. In Proceedings of the 2006 Joint Conference of the Australian Psychological Society and New Zealand Psychological Society (pp. 415-419). Australian Psychological Society.
5-Williams, E. L., Jones, H. S., Sparks, S. A., Marchant, D. C., Midgley, A. W., & Mc Naughton, L. R. (2015). Competitor presence reduces internal attentional focus and improves 16.1 km cycling time trial performance. Journal of Science and Medicine in Sport, 18(4), 486-491.
Ne manquez pas le Cours PCN: Blessures sportives, interventions et principaux tapings les 28-29 septembre prochains!
Le Cours PCN qui aborde les blessures sportives, les interventions de premiers soins et les tapings aura lieu les 28-29 septembre prochains à la clinique PCN La Capitale !
Inscrivez-vous rapidement, places limitées !
Pour inscriptions : Le Point de Vente
Pour plus d’informations, consultez le dépliant informatif en cliquant ici.
Pour toute question:
Marie Catherine Martel, 418.780.1771 #1223
Si l’appui sur les genoux est douloureux, modifier la position à quatre pattes par l’une des options suivantes :
Si la flexion complète des genoux est douloureuse:
Si la posture de l’enfant est douloureuse:
1. Posture de la montagne:
3. Guerrier 2
Ce texte se veut un résumé des éléments expliqués dans l’atelier de Yoga pour les genoux élaboré par PCN et Yoga Fitness. Les éléments mentionnés ne remplacent en aucun cas l’avis d’un professionnel de la santé. En cas de douleur, veuillez vous référer à votre professionnel de la santé.
Depuis quelques années, les sportifs consomment de plus en plus de superaliments et suppléments alimentaires en croyant améliorer leurs performances. Qu’en est-il réellement? La consommation de superaliments et suppléments alimentaires ne serait-elle pas surestimée par rapport aux bienfaits sur la santé et aux performances chez les sportifs?
D’abord, plusieurs chercheurs ont publié des articles scientifiques qui vantent les bienfaits des superaliments pour la santé. Le bleuet (2) et les autres petits fruits, la betterave (5), le jus de cerises de Montmorency (1), le jus de cornichon (3) et plusieurs autres aliments semblent avoir des effets remarquables sur la santé et la performance à l’effort (récupération, élimination des radicaux libres, thermorégulation, etc.).
En effectuant une recherche rapide sur la toile à propos des superaliments, nous retrouvons différentes listes. Celle de sélection.ca (4) attire notre attention par ses 53 superaliments: (presque) tous des aliments d’origine végétale et non transformée où s’ajoute également le poisson et le poulet. Nous nous sommes donc posé la question à savoir s’il restait des aliments dits normaux entre les superaliments et les aliments à consommer avec modération…
Dans cette liste, il n’y a pas de viandes rouges, ni d’aliments transformés. Cependant, nous y retrouvons du sucre (fruits), du gras (huiles) et des protéines (majoritairement d’origine végétale).
Donc, parlons-nous ici réellement de superaliments ou simplement d’aliments non transformés? Qu’en est-il des suppléments alimentaires?
La meilleure des alimentations incluant superaliments et suppléments alimentaires ne fera pas de vous un athlète si vous ne vous entraînez pas, mais une mauvaise alimentation peut nuire aux heures passées à s’entraîner et peut même causer problème le jour de la compétition.
En publicité, l’image du sportif est souvent représentée par une personne légèrement musclée, ayant à la main une boisson colorée. Le sport semble impraticable sans les superaliments et suppléments alimentaires. L’effet des suppléments est extrêmement surestimé. D’ailleurs, beaucoup trop de sportifs du dimanche prennent des suppléments alimentaires pour améliorer leur performance. Notre conseil: il est maintenant venu le temps de changer cette habitude!
superaliments_suppléments_sportif
1. Santé systémique (bon fonctionnement, cœur et digestion): Pour éviter les pics de glycémie, mangez des aliments sucrés contenant des fibres. Évitez le liquide, puisque cela vous fait consommer du sucre, sans provoquer le sentiment de satiété.
2. Forme physique (mobilité/agilité): Si votre alimentation est équilibrée, les superaliments et suppléments alimentaires n’ont aucun effet sur votre forme physique.
3. Gestion du poids: Pour gérer votre poids, pensez simplement au bilan de ce qui entre et ce qui sort de votre corps. Pour garder le contrôle, goûtez et mâchez ce que vous ingérez. La satiété est un signal que le cerveau reçoit lorsque le système digestif est saturé. Pour le saturer, le système digestif a besoin de nutriments et de textures!
4. Performance (puissance et endurance): Planifiez vos entraînements pour avoir assez de repos, même lorsque vous avez 2 ou 3 entraînements pendant la journée. Même avec des superaliments et suppléments alimentaires, le corps a besoin de temps pour assimiler les nutriments. Si l’entraînement est long (+ de 90 minutes), il est intéressant de consommer des glucides. La digestion est plus facile en liquide, donc le supplément est utile (mais pas la seule option). Enfin, mangez un bon repas une trentaine de minutes après la période d’effort.
Les athlètes de haut niveau font exception à cette règle. Pour eux, les effets positifs des suppléments alimentaires sont prouvés puisqu’ils comblent un déséquilibre ou un manque de nutriments.
Chaque sport implique des contraintes sur le corps humain, dont le système digestif qui subit un stress important pendant l’effort. Il est évident qu’il est plus facile de transporter du liquide sucré (de type Gatorade) durant une longue sortie de vélo. Pendant l’effort, il est donc plus pratique d’avoir recours aux suppléments, mais au repos vaut mieux permettre à notre corps de carburer aux aliments sains et variés. N’oubliez pas que le système digestif est créé pour digérer des aliments, et non des micronutriments isolés.
Isabelle déteste le terme superaliment parce que, selon elle, il représente un mot vide de sens et purement marketing. La plupart du temps, un aliment est qualifié de super en voulant vanter ses propriétés nutritionnelles hors de l’ordinaire, c’est-à-dire une quantité élevée de certains nutriments, d’antioxydants ou de composés biochimiques ayant potentiellement des effets bénéfiques sur le corps. Dans le domaine sportif, la propriété dudit aliment fait référence à l’amélioration de la performance. Or, aucun aliment ne peut être superpuissant à lui seul!
Par exemple, le jus de cerises de Montmorency aurait un potentiel intéressant au niveau de la récupération, notamment en raison de sa teneur élevée en antioxydants. Si vous consommez uniquement du jus de cerises de Montmorency à la suite d’un gros entraînement, mais que vous ne consommez pas suffisamment de glucides ou de protéines, votre récupération risque d’être nettement sous optimale et vous risquez de ne ressentir aucun bienfait.
Le jus de betterave est également consommé par les athlètes dans le but de tirer profit des nitrates ayant pour effet de diminuer légèrement la demande en oxygène du corps lors d’un effort physique. Or, saviez-vous que la roquette contient près de 4 fois plus de nitrates que la betterave? Un petit jus de roquette avant votre course, ça vous dit?
Effectivement, le terme superaliment réfère uniquement à des aliments non transformés, c’est-à-dire exempts de sucres ajoutés et de graisses de piètre qualité. Donc, d’un point de vue nutritionnel, ils réfèrent effectivement à de bons choix d’aliments. Toutefois, ils ne sont pas les seuls! Qu’est-ce que le brocoli a à envier au chou kale? Absolument rien! Alors pourquoi le chou kale a hérité du terme super et pas le brocoli? Il s’agit là de deux aliments particulièrement intéressants. Ainsi, avant de mettre un aliment sur un piédestal, il convient de regarder l’ensemble de vos habitudes alimentaires afin de voir si elles sont en accord avec vos objectifs sportifs.
Mettre les bases d’une saine alimentation au quotidien aura certainement un effet beaucoup plus favorable sur votre performance que le simple fait d’ajouter 1 ou 2 superaliments dans une diète déséquilibrée. Bien que l’industrie tente de vous vanter les mérites de certains aliments, ces derniers consommés seuls, ne pourront pas contribuer à votre performance. C’est un ensemble d’actions et d’habitudes qui aura cet effet. Ensuite, il faut bien reconnaître que ces fameux superaliments n’ont en soi rien de mal pour votre santé. Si vous souhaitez les inclure dans votre alimentation, allez-y! Toutefois, pensez à ne pas le faire au détriment d’autres aliments. Optez ainsi au quotidien pour des aliments de base, non transformés. Bien qu’ils n’aient pas tous l’étiquette super, ces aliments contribueront assurément à votre performance et votre santé.
Levers, K., Dalton, R., Galvan, E., O’Connor, A., Goodenough, C., Simbo, S., … & Crouse, S. (2016). Effects of powdered Montmorency tart cherry supplementation on acute endurance exercise performance in aerobically trained individuals. Journal of the International Society of Sports Nutrition, 13(1), 22.
McLeay, Y., Barnes, M. J., Mundel, T., Hurst, S. M., Hurst, R. D., & Stannard, S. R. (2012). Effect of New Zealand blueberry consumption on recovery from eccentric exercise-induced muscle damage. Journal of the International Society of Sports Nutrition, 9(2), 19.
Peikert, J., Miller, K. C., Albrecht, J., Tucker, J., & Deal, J. (2014). Pre-exercise ingestion of pickle juice, hypertonic saline, or water and aerobic performance and thermoregulation. Journal of athletic training, 49(3), 204-209.
https://www.selection.ca/cuisine/nutrition/15-des-meilleurs-superaliments/, Les 50 meilleurs superaliments pour une santé de fer, consulté le 9 novembre 2018 (4)
Wylie, L. J., Bailey, S. J., Kelly, J., Blackwell, J. R., Vanhatalo, A., & Jones, A. M. (2016). Influence of beetroot juice supplementation on intermittent exercise performance. European journal of applied physiology, 116(5), 415-425.
Avec l’arrivée de la nouvelle session, plusieurs danseurs ont tendance à accumuler le nombre d’heures de répétitions de façon trop intense et trop rapide. Puisque ton corps n’est pas encore habitué à ce volume d’entraînement dû au congé d’été, le risque de blessures augmente si tu ajoutes beaucoup d’heures rapidement. Nous te conseillons donc d’augmenter le nombre d’heure d’entraînement par semaine de façon progressive et de te garder des journées de repos!
Une période d’échauffement, peu importe l’intensité ou la durée devrait être prévue afin d’augmenter graduellement ta température corporelle et de préparer tes muscles à l’effort. Par exemple, tu peux effectuer un léger jogging pendant quelques minutes et faire des étirements dynamiques.
Après la répétition, des étirements dits statiques peuvent être réalisés dans le but de conserver ou d’améliorer ta flexibilité et l’amplitude de tes mouvements.
Pour diminuer ta douleur ou ta sensation de raideur, le froid et la chaleur peuvent t’aider. Rappelle-toi par contre que la glace peut réduire la guérison d’un muscle ou d’un ligament blessé. Il ne faut pas en abuser, voir l’éviter. Appliquer de la chaleur, une quinzaine de minutes localement, afin de relâcher une tension musculaire est l’option la plus recommandée.
Une petite blessure, même d’apparence bénigne ne doit pas être prise à la légère. Si tu ressens la même douleur au-delà de quelques répétitions, communique avec un professionnel de PCN, qui saura établir un plan de traitement afin d’éviter l’arrêt complet de ton entraînement. De plus, n’oublie pas qu’une blessure mal gérée te rend plus à risque de développer une seconde blessure lorsque tu danses.
Comment PCN peut t’aider?
Les physiothérapeutes de PCN offrent la possibilité de faire une analyse complète de ton corps et ainsi, évaluer tes forces et tes faiblesses. Ils pourront ensuite établir un plan de match afin d’optimiser tes performances et éviter les blessures de début de session en danse!
La plupart des joueurs s’accordent une courte période de repos pendant la saison estivale. Ceci permet de donner le temps au corps de revenir d’une douleur apparue lors des semaines précédentes. Il est alors bien d’écouter votre corps! Toutefois, sachez que ces douleurs ne seront pas nécessairement rétablies à 100% lors de votre retour au jeu, puisque le repos n’est pas nécessairement la seule recommandation pour le rétablissement. En effet, si celles-ci ont tendance à ressortir rapidement avec le retour au sport, nous vous conseillons de rencontrer un professionnel, qui saura vous orienter vers des techniques de traitement et des exercices spécifiques afin d’éviter que la douleur perdure jusqu’aux séries éliminatoires!
Il suffit que de deux à trois semaines de repos pour que votre forme physique acquise au cours de la saison précédente ne soit pas au même niveau lors de la reprise du sport à l’automne. Afin d’éviter les blessures de surutilisation créées par un retour trop intense, donnez-vous du temps! Nous conseillons d’élaborer un calendrier de progression sur deux semaines afin de reprendre l’intensité et la fréquence de hockey que vous aviez à la fin de la saison précédente. Par exemple, dosez l’intensité et la durée des premiers entraînements et augmentez progressivement votre temps de glace.
Notre conseil le plus précieux: échauffez-vous! Un bon échauffement d’avant-match apportera un apport sanguin aux muscles qui travailleront durant l’effort et permettra à votre corps de répondre adéquatement à la pratique du hockey sans vous blesser. Effectuez , par exemple, un jogging léger, un jogging genoux hauts, ainsi que quelques pratiques de sprint recréant un effort puissant. Vous serez par la suite prêt à commencer votre pratique!
Une contusion musculaire survient lorsque le joueur reçoit un coup directement sur le muscle. Selon l’intensité du traumatisme reçu, la douleur est variable. Les fibres musculaires peuvent être déchirées et un saignement peut être présent.
Une entorse acromio-claviculaire est une entorse survenant à l’épaule. Elle survient majoritairement à la suite d’une chute sur l’épaule ou après avoir donné une mise en échec à un adversaire. Le joueur décrit sa douleur comme un point précis sur le dessus de l’épaule, qui augmente lorsqu’il pose sa main de l’épaule touchée vers l’avant ou vers l’épaule opposée.
* Il s’agit de l’entorse créant la note de piano à l’épaule.
Douleur située à l’aine, l’étirement musculaire des adducteurs de la hanche survient lorsque le patin reste pris dans la glace et que le joueur poursuit le mouvement vers l’avant. Cette blessure peut également survenir à la suite d’un effort de patinage trop important. Les symptômes ressentis sont semblables aux contusions musculaires, tout en étant spécifiques à l’articulation de la hanche.
En tant que sport de contact, des accidents peuvent survenir amenant une articulation à faire un mouvement qu’elle n’est pas en mesure de faire. Les ligaments sont alors étirés, déchirés partiellement ou en totalité, selon le grade de l’entorse. Le joueur peut ressentir une douleur sous forme d’élancement, la mobilité est alors diminuée et une sensation d’instabilité peut être présente.
Bien entendu, un sport de contact comme le hockey amène son lot de fractures. Lorsqu’elle survient, le joueur ressent une douleur vive et n’est pas en mesure de bouger son articulation. Un gonflement et/ou une déformation peuvent également être présents. Une radiographie est nécessaire afin d’effectuer le diagnostic. Si la fracture est confirmée, il est conseillé de rencontrer un professionnel qui guidera le joueur vers des exercices appropriés à la suite de la période d’immobilisation. Cette prise en charge aidera à contrer les effets d’ankylose et de perte de force dus à la période d’immobilité.
Tout d’abord, il est important de savoir que le froid augmente la dépense énergétique. Ainsi, pour une même activité pratiquée à une intensité similaire, la dépense énergétique sera supérieure lorsqu’il fait froid puisque le corps doit utiliser plus d’énergie pour maintenir sa température stable.
Nous recommandons:
Un repas riche en glucides fournissant un apport modéré en protéines, deux ou trois heures avant le début de votre effort. Par exemple: un bol de gruau préparé avec du lait et accompagné de fruits, ou encore, un riz au poulet et aux légumes.
Ensuite, sachez que si vous pratiquez votre sport sur une durée de plus de 90 minutes, à une intensité modérée ou élevée, il devient pertinent d’avoir un apport en glucides puisque vos muscles ont épuisé en grande partie les réserves énergétiques dont vous disposiez.
Nous recommandons:
De garder dans votre sac ou de laisser à la station de ravitaillement de votre défi sportif quelques collations, telles que:
Un autre petit truc pour éviter que vos collations ne gèlent consiste à les garder près du corps, ou à utiliser un sac isolant dans lequel vous pourrez glisser un sachet chauffant de type Hotpack. Assurez-vous que vos aliments soient bien emballés pour qu’il n’y ait pas de contact direct entre la source de chaleur et votre nourriture.
Côté hydratation, la clé reste de boire en fonction de votre sensation de soif. Toutefois, mieux vaut éviter d’avoir un bloc de glace dans sa bouteille!
Nous recommandons:
Un contenant de type Thermos rempli d’une boisson chaude comme un bouillon ou une tisane. Pour les efforts de plus longue durée, pensez à ajouter une source de glucides à votre breuvage. Attention toutefois d’éviter les boissons trop sucrées comme le chocolat chaud. Optez plutôt pour un apport variant entre 40 et 80 grammes de glucides par litre.
Avec ces quelques conseils en poche, vous serez fin prêt à prendre d’assaut tous les défis sportifs que vous déciderez de mettre à votre calendrier! Profitez de l’hiver!
Vous avez besoin de plus de conseils concernant la nutrition sportive? Consultez les nutritionnistes de PCN!
Profitez des journées de congé pour pratiquer des activités sportives que vous n’avez pas l’habitude de pratiquer par manque de temps.
Notre conseil: Sortez à l’extérieur afin de profiter des belles journées hivernales. Allez glisser, construisez un château de neige avec les enfants, patinez ou bien faites des promenades en raquettes avec Fido! Nul besoin de faire quatre heures de sport par jour pour faire passer la tourtière…Une courte période d’activité physique de vingt minutes environ est suffisante pour améliorer votre santé globale!
N’oubliez pas que le meilleur sport pour garder la ligne pendant les fêtes est de danser des rigodons entre les repas!
Nous ne réinventons pas la roue dans cet article; vous savez qu’il est important de bien s’alimenter et d’écouter sa faim. Toutefois, la période des fêtes nous amène son lot de plaisir avec la bûche de Noël de tante Anne et les pâtés de grand-maman!
Notre conseil: Mangez ce que vous aimez et optez pour de petites portions afin de laisser le temps au corps d’atteindre la sensation de satiété. Dans le cas où votre gourmandise aurait pris le dessus, référez-vous au conseil numéro un de ce présent guide!
A- Adoptez une bonne posture de sommeil:
Afin d’éviter les risques de courbatures au dos, nous vous conseillons de vous coucher sur le côté en plaçant un oreiller entre vos jambes. Évitez de dormir sur le ventre!
B- Réalisez ces étirements à votre réveil:
Posture de l’enfant: À genoux, assis sur vos talons, touchez votre front au sol de manière à ce que votre ventre touche vos cuisses. Étendez les bras le plus loin possible vers l’avant pour un étirement optimal. Tenez cette posture 10 secondes et répétez 10 fois.
Étirement latéral: Debout, les pieds placés à la largeur des hanches, étirez d’abord un bras vers le plafond et placez l’autre main à votre taille. Avec la main du haut, tentez de rejoindre le mur opposé en étirant votre tronc. Effectuez 5 allers-retours lents en alternant les côtés.
C- Siestez en après-midi:
Comme il n’y a rien de mieux que de dormir dans son propre lit, une courte sieste d’après-midi de quinze à vingt minutes vous aidera à bien récupérer et à rester éveillé quelques heures supplémentaires lors de votre troisième réveillon!
En terminant, voici nos suggestions santés pour votre liste adressée au Père Noël:
-Ballon d’exercice;
-Tapis de yoga;
-Élastique d’exercice;
-Bouteille d’eau réutilisable;
-Leçon de golf, de ski, de danse ou de natation; et
-Beaucoup de neige pour que vous profitiez de la belle saison!
Nous avons réuni nos meilleurs professionnels pour vous offrir un plan d’accompagnement complet digne des plus grands athlètes!
Conçu spécifiquement pour les week-end warriors, le plan d’accompagnement pour sportif combine les services de physiothérapie, de kinésiologie et de nutrition pour vous offrir un programme clé en main complet et optimal.
La nutritionniste, la kinésiologue et le physiothérapeute unissent leur expertise pour vous créer un programme personnalisé de nutrition et d’exercices afin de bien vous préparer à votre défi. Le physiothérapeute effectue une évaluation globale de votre biomécanique, de vos amplitudes et de vos anciennes blessures (si nécessaire). Il pourra par la suite vous proposer différents exercices pour corriger et/ou prévenir les blessures. La kinésiologue évalue votre condition physique globale (test de capacité aérobique, tests musculaires) afin de proposer un programme élaboré sur plusieurs semaines dans le but d’augmenter vos performances sportives et d’être au meilleur de votre forme le jour J! Enfin, une rencontre avec la nutritionniste est prévue afin d’établir un plan alimentaire adapté à votre prochain défi!
Qu’attendez-vous pour atteindre vos objectifs et augmenter vos performances sportives? Découvrez tous les détails de l’accompagnement pour un défi sportif juste ici!
La clef: progresse doucement la difficulté des cotes et varie ta pratique entre la voie, le bloc, l’entraînement en endurance et le travail de tes projets!
L’échauffement est la base de la performance. Afin d’éviter les blessures aux mains, aux coudes, aux épaules, aux jambes et au tronc, Laurence te conseille de bouger au sol en imitant tes mouvements de grimpe. Par la suite, augmente progressivement la difficulté des cotes.
La douleur pendant ou après l’escalade est un bon indicateur de l’approche de blessures dues à l’escalade. Diminue la durée de ton entraînement et accordes-toi quelques journées de repos. Lorsque ta douleur sera disparue, recommence ton entraînement en grimpant des voies faciles.
La pratique de sports variés permet d’éviter les blessures de surutilisation et les déséquilibres musculaires. Inclus à ton horaire d’entraînement la pratique d’activités complémentaires que tu aimes et qui te convient!
Les extenseurs du dos, les rotateurs externes de l’épaule, le triceps et les extenseurs des doigts sont les muscles à cibler pour prévenir les asymétries. Communique avec un de nos professionnels qui pourra te guider dans ces exercices.
Que ce soit à l’école, au bureau ou en grimpant, pense à allonger ta colonne vertébrale et à détendre les muscles de ton dos. Une meilleure posture t’aidera à produire plus de force dans tes mouvements de grimpe et préviendra l’apparition de bien des maux!
Mise sur la qualité des mouvements plutôt que sur la quantité. Lorsque tu grimpes, vise à dépenser le moins d’énergie possible. Par exemple, place plus de poids sur tes pieds, garde tes hanches près du mur et grimpe avec tes bras allongés en plaçant tes pieds devant les mains. Sur de petites prises, évite le crimp arqué et opte pour la position demi-crimp avec la main plus ouverte.
Des blessures dues à l’escalade sont survenues? Laurence te conseille de prendre une période un repos précoce, d’immobiliser quelques jours l’articulation touchée si les mouvements sons douloureux, de débuter un programme d’exercices adapté à ta blessure à de planifier ton retour progressif à l’entraînement.
N’oublie pas qu’un diagnostic précis et un plan de traitement adapté à l’escalade sont les premiers pas vers la guérison. Rencontre un de nos professionnels, experts dans les blessures d’escalade.
Enfin, l’escalade doit demeurer une source de plaisir avant tout!
Nous vous proposons donc 6 variantes de push-ups efficaces!
N’oubliez pas: les push-ups sollicitent les muscles des épaules et des bras ainsi que les pectoraux. De plus, en gardant le corps très droit pendant l’exécution, les muscles stabilisateurs du dos, les jambes et les abdominaux sont également utilisés! Si vous ressentez une douleur en effectuant ces exercices, il est temps de téléphoner à votre physiothérapeute!
Pour plus d’informations sur les douleurs aux épaules, consultez notre dernier article sur le sujet.
Comme pour de nombreuses disciplines sportives exigeantes physiquement, plusieurs adeptes deviennent pratiquement accros, alors que d’autres ne se gênent pas pour lancer d’épineuses critiques concernant l’apparition de blessures associées à sa pratique. Alors, est-ce le CrossFit est une méthode d’entraînement sécuritaire pour le corps?
Bien que les études scientifiques réalisées en lien avec la pratique du Crossfit soient plutôt embryonnaires, le tableau ci-dessous permet de comparer le niveau de risque de blessures entre la pratique du CrossFit et celui d’autres sports populaires.
Sport (Recherches: musculation et conditionnement) |
Taux de blessures (nb/1000 hrs de pratique) |
CrossFit | 1,9 à 3,1 |
Haltérophilie | 2,4 à 3,3 |
Hommes forts | 5,5 |
Gymnastique | 2,6 à 4,6 |
Basketball | 7,6 |
Hockey | 7,8 |
Course | 2,5 à 12,1 |
À la lumière de ces données, des sports très populaires comme la course et le hockey sont associés à des taux de blessures largement supérieurs au CrossFit. Ces résultats nous mènent donc vers une réflexion; les critiques sont-elles réellement fondées ou s’agit-il plutôt d’un manque de connaissances en lien avec ce nouveau sport?
Il n’en reste pas moins que les athlètes de CrossFit peuvent se blesser rapidement si certains aspects de leur entraînement ne sont pas appropriés. D’ailleurs, les recherches démontrent que l’articulation de l’épaule est la plus à risque de blessures, suivi de la région lombaire et du genou (Hak, 2013).
La technique est très importante, surtout pour les athlètes débutants. Il est primordial de maîtriser les mouvements de base et d’acquérir un niveau de force minimum avant de réaliser les mouvements avancés. Le CrossFit a la particularité d’être un sport facilement adaptable au niveau de la forme physique des gens. Par contre, les athlètes de niveau débutant ont souvent tendance à essayer les mouvements plus difficiles comme des handstand Push-ups et des muscle-ups sans pour autant maîtriser les mouvements de pull-up et de push-up. Il faut savoir laisser l’égo de côté et respecter ses capacités.
Le fait que plusieurs mouvements soient réalisés à un niveau d’amplitude articulaire élevé représente l’une des plus grandes exigences du CrossFit. Par exemple, lors d’une compétition, le squat doit être réalisé à plus de 90° de flexion de hanche. Par contre, ce n’est pas tout le monde qui a la mobilité articulaire nécessaire pour réaliser ce mouvement! Il se peut même qu’une autre articulation soit en cause (ex : cheville, haut du dos, genou). Notre conseil : Vous n’êtes toujours pas en mesure de réaliser certain mouvement par manque de mobilité, même à la suite de conseils techniques de votre entraîneur et d’une diminution de charges? STOP! En tentant de réaliser le mouvement complet, vous vous exposez à un grand risque de blessures articulaires. C’est le moment de téléphoner à votre physiothérapeute !
À un niveau avancé, les athlètes de CrossFit réalisent un important volume d’entraînement. Ainsi, ces athlètes s’exposent à des blessures de surutilisation comme les tendinopathies et les lombalgies. Il est donc important d’avoir une saine gestion du volume d’entraînement. Notre conseil : Incorporez des journées de repos, des séances à faible intensité et des séances plus courtes afin de permettre au corps de récupérer et de s’adapter! Avant d’accuser votre technique ou votre mobilité articulaire, regardez d’abord votre horaire d’entraînement!
Hak, P. T., Hodzovic, E., & Hickey, B. (2013). The nature and prevalence of injury during CrossFit training. Journal of strength and conditioning research.
Peut-être vous reconnaîtrez-vous dans l’histoire de Jean qui a opté pour le service de Physio à Domicile!
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Jean est un père de famille et est à la tête de sa propre entreprise. En ce début d’automne, il est prêt à se remettre en forme pour éviter que le «poids» des années ne vienne le rattraper.
Septembre: la rentrée bat son plein. Les enfants sont de retour à l’école et les activités reprennent tranquillement leur rythme habituel. Après quelques recherches, Jean opte finalement pour un cours de POWER Yoga offert à quelques pas de son domicile. Assouplissement, cardio et renforcement, cela semble offrir tous les outils pouvant l’aider à vaincre la sédentarité.
Le premier cours se déroule plutôt bien. Le cobra rencontre le chien, le lotus et le triangle. Il ressent quelques tiraillements dans les muscles du dos, mais il décide de terminer le cours, se disant que ces douleurs doivent être normales.
Les choses se gâtent toutefois le lendemain matin. Le réveil sonne et, comble de malheur, Jean est incapable de se lever! Au moindre essai, son bas de dos le fait souffrir! Glace, Advil, Tylenol, rien n’y fait. Il n’ose même pas imaginer monter à bord de son VUS pour se rendre jusqu’à la clinique médicale!
Il se tourne alors vers l’équipe de Physio à Domicile PCN! Un physiothérapeute expérimenté en problèmes lombaires vient rejoindre Jean directement à son domicile. Jean lui raconte son histoire et, après une courte évaluation, le thérapeute est en mesure de soulager les spasmes qui parcourent son dos. Il lui enseigne quelques exercices mieux adaptés à sa condition actuelle et ceux qu’il devrait plutôt oublier pour le moment. Finalement, ils discutent ensemble des meilleures façons de gérer la douleur.
Le lendemain, Jean est en mesure de se lever et de se rendre au travail. Il consultera désormais chez PCN pour renouveler sa banque d’exercices et pour optimiser sa guérison. Il a même hâte à son prochain cours de yoga! Gageons que cette fois, il ira de façon plus progressive avec ses contorsions!
Les thérapeutes de PCN sont désormais indispensables au bon déroulement du spectacle Féria de FLIP Fabrique présenté à l’extérieur! Ils s’assurent de la prévention et de la prise en charge des blessures des artistes.
Interview avec notre intervenant sur place, formé Premier Répondant Sport: Gabriel Bussières
Dès les premières répétitions, j’assiste aux présentations de chaque numéro afin de déceler les problématiques pouvant nuire à la santé des artistes. Par exemple, un objet du décor mal fixé, du filage électrique au mauvais endroit ou bien un passage sous scène non sécuritaire, peuvent être facilement détectés afin d’éviter les blessures!
Je pratique également des situations de blessures urgentes possibles sur les différents plateaux afin de me préparer à toute éventualité. Finalement, je garde l’oeil ouvert et donne mes recommandations aux artistes afin de prévenir les blessures au cou, au dos, ou à toutes autres partie du corps.
Je suis présent à chaque spectacle, six jours par semaine. Je m’assure donc qu’un échauffement spécifique à chaque discipline est effectué par chaque artiste avant les répétitions et les représentations. Également, malgré la température parfois plus froide en soirée, je m’assure que les artistes gardent leur outil de travail (corps) bien au chaud. Au besoin, des techniques de relâchement musculaire et de taping sont effectuées avant les spectacles.
J’assiste à la représentation et garde l’oeil ouvert! En cas d’incident, je prends en charge immédiatement l’artiste blessé de façon sécuritaire. Enfin, à la suite des représentations, j’effectue des techniques de relâchement musculaire. Enfin, je m’assure d’une bonne communication avec l’équipe de production dans le cas d’incidents.
Ma meilleure alliée est la physiothérapeute de PCN Lebourgneuf, Geneviève Roger. Dans le cas de blessures qui nécessitent un suivi approfondi, Geneviève se rend sur les lieux de l’événement ou reçoit les artistes à la clinique. Elle s’assure ainsi d’une prise en charge complète pour un retour rapide à la scène.
Le spectacle Féria était présenté à l’Agora Port de Québec. À l’année prochaine!
Photo: Emmanuel Burriel
Parce que vos objectifs sont aussi les nôtres!
Les enfants et les adolescents peuvent, comme les adultes, avoir des douleurs dans le bas du dos. Ne cherchez pas plus loin, cette douleur est généralement causée par le port du sac à dos!
Le sac ne devrait pas peser plus de 10 à 15% du poids de l’étudiant qui le porte. Pour réduire le poids du sac, la bouteille d’eau devrait être remplie à l’école. De plus, les livres et les manuels importants de chaque journée devraient être les seuls transportés.
La boîte à lunch devrait être indépendante du sac à dos et par le fait même, transportée avec les mains à l’aide d’une poignée.
Le sac devrait contenir plusieurs pochettes. Ainsi, la répartition du poids sera plus facile à réaliser et la surcharge, plus facile à éviter!
La largeur du sac devrait être environ la même que celle du dos de l’étudiant qui le porte. De plus, lors du choix du sac, privilégiez de larges bretelles pour épouser les épaules. Enfin, les bretelles devraient être ajustables pour que le bas du sac ne dépasse pas le bas du dos.
Le sac devrait être porté sur les deux épaules, ce qui favorise l’équilibre au niveau du dos.
Étant le pilier du corps, le dos est souvent mis à l’épreuve! Il est donc important de bien le protéger et d’en prendre soin!
La commotion cérébrale survient à la suite d’un impact au corps ou à la tête, engendrant une onde de choc au cerveau. Le cerveau est alors secoué dans la boîte crânienne, ce qui cause un mauvais fonctionnement temporaire des cellules cérébrales.
La commotion cérébrale peut être causée par un impact direct (coup à la tête) ou indirect, (chute sur les fesses).
Voici les symptômes qui peuvent être observés suite à l’impact, immédiatement ou jusqu’à quelques jours après l’incident:
* Si vous remarquez une aggravation des symptômes, des vomissements, un dédoublement de la vision ou une somnolence excessive, rendez-vous immédiatement à l’urgence!
Attention! Un retour précipité au jeu à la suite d’une commotion cérébrale peut avoir des conséquences désastreuses sur le rendement sportif, scolaire ou professionnel.
En cas de commotion cérébrale, communiquez avec un professionnel de La Clinique Commotion,
qui assurera un retour sécuritaire aux activités sportives et quotidiennes.
La rentrée des classes amène le retour de la pratique des sports d’équipes, et ce, peu importe le groupe d’âge! Quoiqu’ils soient excellents pour la forme physique, ces sports présentent un risque de blessure, particulièrement pour les membres inférieurs. Ils sont exigeants pour le corps en raison des changements de direction brusques imposés.
1- L’équipement: Les crampons doivent être adaptés à la surface de jeu. De nouvelles chaussures pour commencer un tournoi n’est peut-être pas l’option à choisir! De plus, les chaussures doivent être bien ajustées, formées au pied, adaptées au terrain synthétique ou naturel et surtout «cassées».
2- La surface de jeu: Les terrains synthétiques augmentent en nombre et ceux-ci présentent une plus grande adhérence au sol dans les changements de direction. Cette surface plus stable modifie la mécanique du mouvement. Ainsi, il est suggéré de réaliser quelques entraînements préalables aux premières parties dans cet environnement.
3- La fatigue: Lors des premières séances, l’endurance est souvent moindre en raison du récent repos estival. Malheureusement, ce sont les fins de match qui sont les périodes les plus à risque de blessures. Une des hypothèses est qu’en situation de fatigue, le contrôle musculaire devient moins optimal et altère la biomécanique. Prenez conscience de cette fatigue et écoutez votre corps!
En ce début d’année scolaire, notre nutritionniste, Isabelle Morin, vous offre quatre conseils pour une boîte à lunch santé!
1- Pensez aux légumes: Lorsque vous faites l’épicerie, achetez des crudités en grande quantité et lorsque vous préparez les légumes du souper, coupez-en plus pour les mettre dans la boîte à lunch du lendemain.
2- Misez sur les fibres: Les mets riches en fibres soutiendront l’appétit plus longtemps. Garnissez les lunchs de fruits et de légumes frais, de pain brun, de pâtes de blé entier ou de légumineuses.
3- Pensez aussi à la collation: Trop souvent oubliées, les collations sont pourtant très importantes! Les enfants, qui sont généralement plus actifs pendant leur journée, ont un plus grand besoin énergétique. Pensez à choisir une collation qui fournit des protéines et des fibres pour un effet plus rassasiant.
4- Oubliez les boissons sucrées. Elles apportent trop de sucres et leur effet rassasiant est nettement inférieur à un fruit frais qui s’avère une bien meilleure option.
À chaque saison, vous sortez les chaussures de sport et vous vous demandez: «sont-elles encore bonnes pour une autre saison?»
Voici la réponse!
Vous devriez remplacer les chaussures de sport lorsqu’ elles deviennent déformées ou usées de façon asymétrique, ce qui affecte la biomécanique du sportif.
Les différentes façon d’observer ces changements sont les suivantes:
Si l’un de ces points se rapporte à vos chaussures de sport, il est temps d’aller magasiner!
Comment savoir si la douleur ressentie est une simple courbature ou bien s’il faut qu’elle soit prise en charge par un professionnel de la santé ?
Une douleur dite «normale» fait référence à une raideur musculaire causée par de petits bris dans les fibres des muscles. Ces petites déchirures sont normales et surviennent à la reprise des activités sportives, causant un inconfort musculaire. Cet inconfort perdure entre 24 et 48 heures après le sport. L’intensité des courbatures diminue graduellement d’entraînement en entraînement, dû à l’adaptation du corps à ces nouveaux mouvements.
Effectuer certains mouvements lorsque le corps est courbaturé peut être difficile! Par exemple, le lendemain d’une première pratique de basket-ball, l’utilisation des escaliers sera probablement plus pénible qu’à l’habitude! La meilleure stratégie pour diminuer l’inconfort est de bouger! En effet, l’activation musculaire diminue la sensation de douleur.
Toutefois, si la douleur:
Nous vous conseillons de rencontrer un professionnel de la santé qui sera en mesure d’identifier l’origine de la douleur. De plus, le professionnel de PCN offrira une prise en charge optimale pour un retour au sport rapide et sécuritaire.
Besoin de conseils de la part de notre équipe?
L’arrivée du beau temps et de la chaleur peut nous enivrer et nous amener à faire des erreurs d’entraînement risquant de provoquer des blessures et de vous décourager. Augmenter son volume d’entraînement trop rapidement est la principale erreur à éviter. Le volleyball de plage comprend plusieurs particularités, dont celles de se pratiquer à l’extérieur, à deux joueurs, pieds nus et sur le sable! Le fait de pratiquer régulièrement le volleyball intérieur pendant les mois précédents la saison estivale n’élimine pas le risque de blessure lors du changement de saison. Il est important de faire une transition progressive entre les deux saisons afin de laisser la chance au corps de d’adapter.
Notre conseil: Laissez le temps à votre corps de s’adapter! Augmentez progressivement le volume hebdomadaire et l’intensité de vos entraînements.
L’échauffement est essentiel pour minimiser les risques de blessure.
Notre conseil: 30 minutes avant un entraînement ou une partie de volleyball de plage, débutez par quelques pas de course dans le sable (vitesse lente à modérée). Échauffez ensuite vos jambes avec des mouvements dynamiques d’intensité moyenne tels des déplacements de côté, des squats, des fentes et des sauts. N’oubliez pas d’échauffer vos bras et vos épaules en échangeant des lancers de ballon et quelques frappes avec votre coéquipier.
Prévenir les blessures passe aussi par l’adoption de saines habitudes. Par exemple, lors des journées chaudes et ensoleillées, le niveau d’hydratation devient plus important.
Notre conseil: boire entre 500 et 700 ml par heure d’effort. De plus, il est préférable de répartir l’apport hydrique dans le temps plutôt que de consommer de grandes quantités en une seule fois. Par temps très chaud, un apport en électrolytes aide le corps à retenir davantage d’eau et optimise l’hydratation.
Pour plus d’informations sur la nutrition et l’hydratation, consultez nos nutritionnistes sportifs.
Une blessure vous incommode pendant vos entraînements et/ou vos parties?
Vous aimeriez plus de conseils pour votre échauffement ou bien un plan de transition entre vos saisons?
Toujours dans l’optique d’une population active et en santé, PCN offre désormais des consultations express dans les pharmacies suivantes:
Pour offrir ce service à votre pharmacie, communiquez avec nous!
Pour connaître les principaux symptômes d’une commotion cérébrale, cliquez ici.
Vous suspectez une commotion cérébrale?
Voici nos 4 meilleurs conseils:
1 – Tout sportif présentant des symptômes de commotion cérébrale suite à un impact doit être retiré du jeu immédiatement
2 – Avisez vos proches de votre état de santé. En cas de détérioration marquée de votre condition, rendez-vous directement à l’urgence
3 – Évitez les activités qui requièrent un haut niveau de concentration (exemple : lecture, jeux vidéo, ordinateur, conduite de véhicule…) et les activités physiques pendant les premiers 48h
4 – Consultez un physiothérapeute de PCN spécialisé dans la prise en charge des commotions cérébrales
La Clinique Commotion de PCN est une équipe interdisciplinaire pouvant déterminer la cause de vos symptômes et apporter des recommandations concernant la prise en charge nécessaire. De plus, elle assure le suivi avec les autres professionnels de la santé (médecin, neuropsychologue, kinésiologue) en lien avec les déficiences identifiées lors de l’évaluation. Enfin, elle vous guidera dans un retour sécuritaire à vos activités cognitives et sportives.
La philosophie de l’approche McKenzie est de permettre au patient de devenir l’acteur principal de sa guérison. En donnant la priorité aux stratégies d’auto-traitement et d’éducation des patients, cette technique comporte plusieurs avantages:
Dans cette optique, le rôle du physiothérapeute est donc d’élaborer, en collaboration avec le patient, des exercices et des stratégies adaptés pour que ce dernier soit responsable de sa guérison.
De façon générale, cette technique est particulièrement utile pour les patients motivés qui cherchent à devenir autonome dans leur réadaptation. L’approche McKenzie est indiquée pour toutes les personnes souffrant de douleurs d’origine mécanique à la colonne vertébrale (lombalgies, discopathies, cervicalgies) en plus d’être efficace dans les cas d’arthrose, de névralgie et de tendinopathie.
Enfin, même si cette technique est basée sur l’enseignement d’exercices plutôt que sur des traitements directs ou passifs tels que des mobilisations et des manipulations, les séances avec le physiothérapeute font partie intégrante du continuum de progression.
L’une des méthodes fréquemment utilisée pour contrer la douleur chronique est le recours aux médicaments opioïdes. En plus d’être démontrée inefficace à long terme pour soulager la douleur, son utilisation peut entraîner le patient dans un cercle vicieux qui apporte son lot d’inconvénients et dans certains cas, peut même mener au décès.
Selon Statistiques Canada, près de 3000 décès par année sont attribuables à la consommation d’opioïdes au Canada. Qui plus est, plusieurs personnes décédées à la suite d’une consommation d’opioïdes ont d’abord débuté suite à une ordonnance médicale.
Le Canada a un dossier peu reluisant dans le domaine, étant le deuxième pays au monde pour la consommation d’opioïdes per capita.
Face à cette situation, il est primordial d’agir à la source du problème et d’éviter la première prescription d’opioïdes. Les études supportent une prise en charge rapide en physiothérapie et selon les besoins, la participation coordonnée d’une équipe multidisciplinaire. Selon les évidences scientifiques actuelles, cette prise en charge peut réduire significativement la prescription d’opioïdes tout en représentant, dans la majorité des cas, des coûts moins élevés pour le patient.
L’équipe de PCN est bien outillée pour prendre en charge les patients souffrant de douleurs chroniques. Selon le cas, le physiothérapeute pourra évaluer exhaustivement la condition du patient, lui offrir un plan de traitement personnalisé de même que des traitements analgésiques (thérapie manuelle, électrothérapie, etc) moins dommageables que les opioïdes.
De plus, le physiothérapeute pourra orienter son patient vers des exercices appropriés, favorisant un mode de vie actif et le guidant dans l’auto-gestion de la douleur. Le problème est alors adressé à sa source et l’accent est mis sur une prise en charge et une guérison plutôt que sur la gestion des symptômes.
Références :
Association Canadienne de la Physiothérapie
Association Québécoise de la Physiothérapie
Ojha et Al., Timing of Physical Therapy Initiation for Nonsurgical Management of Musculoskeletal Disorders and Effects on Patient Outcomes: A Systematic Review
Effectuez entre 3 et 5 séries de chaque exercice d’étirement efficaces pour cycliste et maintenez 30 secondes de chaque côté (droit et gauche).
Avant l’entraînement, nous vous conseillons de faire un échauffement, c’est-à-dire une activation musculaire spécifique à l’activité qui sera pratiquée. Cette activation devrait être d’une durée et d’une intensité suffisantes pour que vous ressentiez de la chaleur, sans toutefois entraîner une fatigue musculaire. Le principal effet de cet échauffement est l’augmentation de la circulation sanguine vers les muscles, ce qui augmente leur capacité de contraction et diminue, par le fait même, le risque de blessure.
Cela dit, il est tout de même important de conserver l’étirement statique dans une routine quotidienne d’entraînement. Idéalement, nous vous conseillons de le faire en fin de journée à raison de trois répétitions de 30 secondes pour chaque muscle. Ces étirements sont importants afin de conserver une souplesse musculaire qui vous permettra de faire des mouvements de plus grande amplitude tout en diminuant le risque de blessure dans votre sport.
Enfin, si une blessure vous limite dans votre activité, n’hésitez pas à nous consulter!
Parce que vos objectifs sont aussi les nôtres!
Cet exercice est excellent pour développer votre musculature.
Cet exercice est idéal pour développer les muscles de votre chaîne postérieure.
Tout d’abord, faites des échauffements avant chaque partie et avant chaque pratique. Le soccer implique beaucoup d’arrêts et de départs rapides, ce qui est très intense et stressant pour le corps en général. En préparant votre corps aux mouvements rapides, vous préviendrez des blessures aux chevilles qui pourraient survenir durant la partie ou la pratique.
Ensuite, assurez-vous d’avoir des chaussures adéquates par rapport au(x) terrain(s) que vous fréquentez. La hauteur des crampons et la disposition de ceux-ci différeront en fonction de l’adhérence dont vous aurez besoin.
-Jonglerie et manipulation de ballon avec les pieds
-Faire de petits sauts sur une jambe (monter les escaliers sur une seule jambe, par exemple)
-Sauter de droite à gauche, puis d’avant en arrière, sur une seule jambe
Finalement, ne laissez pas traîner des douleurs. Puisque la réactivité est très intense dans ce sport, la compensation liée à une douleur peut être très importante. Cette compensation peut alors créer d’autres problèmes. On voit donc apparaître un cercle vicieux de blessures indésirable. Prenez alors rendez-vous avec un physiothérapeute de PCN pour assurer une guérison complète et rapide.
En effectuant des échauffements, en ayant de bonnes chaussures de soccer adaptées au terrain et en vous entraînant durant la saison morte, vous minimiserez les risques de blessures aux chevilles et vous maximiserez vos performances durant les parties.
Comme dans toute nouvelle activité physique, il faut d’abord commencer par un entraînement progressif selon son niveau de forme et son expérience antérieure. Vous n’avez aucune expérience dans l’un ou l’autre de ces sports? Ne mettez pas votre rêve de côté! Il suffit de débuter progressivement les trois sports et d’augmenter le volume afin de vous préparer selon vos objectifs.
Si vous faites du vélo en gymnase ou à la maison pendant la saison hivernale, il suffit de continuer votre entraînement, en vous préparant à accomplir la distance du parcours sélectionné. Dès que le temps le permettra, vous pourrez sortir votre vélo à l’extérieur et augmenter progressivement le volume. Par exemple, si vous êtes habitués à des séances de 40 à 60 minutes à l’intérieur, débutez avec le même temps à l’extérieur. Ceci permettra à votre corps de se réhabituer à votre coup de pédale, et aidera vos jambes à s’adapter aux différents nivelés.
Pour débuter l’entraînement de course, nous vous suggérons d’y aller très progressivement, en débutant par un 5 minutes de marche, puis en alternant de la course à la marche. Pour diminuer le risque de blessures en course à pied, il est recommandé de courir sur de plus courtes périodes, à plusieurs reprises dans la semaine. Ceci permettra à votre corps de s’habituer aux impacts. Vous pourrez par la suite augmenter progressivement le temps de course entre les moments de marche.
En téléchargeant nos guides, vous obtiendrez les recommandations de notre équipe afin de prévenir vos blessures spécifiques à la course, au vélo, au golf et dans les différents sports d’équipe.
1.Avec l’arrivée du soleil vient l’envie de s’inscrire à une ou plusieurs courses! Téléchargez notre guide sur la course à pied afin de connaître nos conseils pour courir sans se blesser.
Votre vélo et vous avez hibernés pendant l’hiver? Consultez notre guide sur le vélo afin de connaître nos meilleurs conseils pour éviter les douleurs lors de vos premières sorties!
Vous entamez une nouvelle saison de golf? Téléchargez notre guide sur le golf et obtenez nos conseils et exercices afin de bien vous préparer pour la saison.
Vous retrouvez votre équipe sportive estivale sous peu? Consultez notre guide sur les sports d’équipe afin d’être prêt lors de votre première partie!
Notre physiothérapeute Jérôme Lizotte de PCN L’Hêtrière, a développé une expertise dans le traitement et la prévention des blessures reliées au crossfit. Il est LA ressource à Québec pour les athlètes compétitifs et amateurs de ce sport!
Il offrira une plage horaire par semaine directement au gym afin de dépister les blessures des athlètes.
PCN est fier de célébrer le premier anniversaire de PCN St-Nicolas!
Nous profitons de l’occasion pour adresser à tous nos clients nos sincères remerciements pour la confiance accordée à nos services.
Merci à tous!
Saviez-vous que lorsque vous pédalez à une cadence de plus de 90 rpm pendant une heure, cela implique plus de 5400 coups de pédale?
L’ajustement de votre vélo doit être ergonomique, adapté à votre anatomie et tenir compte de vos antécédents et/ou de vos blessures actuelles. De plus, il ne faut pas oublier l’entretient de votre équipement !
Voici quelques petits trucs d’ajustement si des douleurs aux genoux surviennent:
L’arrivée du beau temps, l’odeur du bitume ou l’assèchement des premiers sentiers en montagne peuvent vous enivrer et vous amener à accumuler des kilomètres trop rapidement. En faire trop, trop vite est l’erreur principale à éviter.
Soyez progressif en terme de distances parcourues, de volume hebdomadaire et d’intensité (dénivelé, conditions venteuses, contre-la-montre et intervalles). Surtout, ne négligez pas la récupération et le repos. De plus, si vous pratiquez le Fatbike en hiver, soyez graduel au printemps lors du changement de monture. La largeur du pédalier étant plus grande sur un vélo à pneus surdimensionnés, la charge sur vos structures sera différente. Laissez le temps à votre corps de s’adapter
En plus de prévenir l’apparition de blessures de surcharge, une meilleure stabilisation dynamique sur votre vélo vous permettra d’avoir un pédalage plus efficace. La fatigue musculaire sera moins rapide et vous pourrez développer plus de puissance au pédalage. Pour vous aider, renforcez vos abdominaux, votre dos et les muscles stabilisateurs du bassin, de la hanche et des genoux. À titre d’exemple, faites des planches, des squats à une jambe et des exercices de proprioception.
Des blessures mal soignées peuvent laisser des traces sur votre corps. Donc, n’hésitez pas à en prendre soin dès le début de la saison afin de profiter au maximum de l’été qui arrive!
Consultez un professionnel de la Clinique du Cycliste pour plus d’informations.
Parce que vos objectifs sont aussi les nôtres !
Dès le 19 mars prochain, la clinique PCN Lebourgneuf sera située dans le local adjacent à notre présente adresse!
Cette nouvelle clinique nous permettra d’offrir à nos patients un environnement plus spacieux au décor renouvelé, une salle d’attente adaptée à leurs besoins, ainsi qu’une plus grande salle d’exercices.
Nous avons hâte de vous accueillir dans nos nouveaux locaux!
À bientôt
L’équipe de PCN Lebourgneuf
Nous sommes heureux de vous annoncer que PCN Grand-Mère célèbre sa première année!
Cet anniversaire est pour nous l’occasion d’adresser à tous les clients de la succursale de Grand-Mère, nos sincères remerciements pour la confiance accordée à nos services.
Merci à tous!
«Ils ont le pouvoir de nourrir le corps; de faire découvrir en cuisinant avec nos enfants; de prévenir les maladies chroniques; de guérir certains maux; et de nous rassembler, en nous faisant vivre des expériences avec nos proches» Les Diététistes du Canada.
Découvrez les cinq pouvoirs ici.
Besoin de plus d’informations? Consultez les nutritionnistes de PCN!
Adepte de ce sport, notre physiothérapeute Jérôme Lizotte de PCN L’Hêtrière, a développé une expertise dans le traitement et la prévention des blessures reliées au CrossFit.
Il est une excellente ressouces pour les athlètes compétitifs et amateurs du gym CrossFit 418!
Détrompez-vous! Malgré nos croyances, ces athlètes ne sont pas dotés de super pouvoirs leur permettant de déjouer la biologie humaine et d’accélérer la guérison de leurs blessures. Par contre, quelques facteurs peuvent jouer en leur faveur:
Audrey Robichaud, athlète de ski acrobatique et Marcel Hardy, physiothérapeute.
Les athlètes de haut niveau ont la chance incroyable d’être suivis par une équipe de professionnels de la santé multidiciplinaires (physiothérapeute, kinésiologue, médecin). Ainsi, la moindre douleur est prise en charge rapidement afin d’identifier son origine et d’effectuer le plan de traitement adéquat à mettre en place pour une récupération optimale. L’entraînement peut alors être poursuivi puisqu’il est adapté selon la blessure!
Le désir d’un athlète à revenir rapidement sur ses deux pieds est un élément-clé de la guérison. En effet, à chaque jour, l’athlète trouvera le temps nécessaire pour réaliser les séries d’exercices proposées par son professionnel de la santé en plus de mettre de la glace ou de la chaleur si cela est prescrit par son équipe médicale. N’oublions pas leur éthique de travail: le fait de s’occuper de leurs blessures fait partie intégrante de leur carrière!
Toutes ces heures passées dans la salle d’entraînement, dans le gymnase, sur les pentes ou sur la glace assurent le développement de leur musculature de façon à optimiser la force et la vitesse de réaction. Puisque le corps est toujours prêt à réagir, ces qualités physiques peuvent ainsi diminuer la gravité de la blessure.
Afin de favoriser un retour plus rapide à vos activités, vous devriez vous inspirer de ces grands athlètes! Lorsqu’une douleur survient, votre corps vous envoie un signal pour vous informer que vous êtes blessé. Parfois, le fait d’attendre 2-3 jours afin de voir si la douleur disparaît avant de consulter un professionnel ralenti la récupération.
Pendant cette période, votre corps tentera de compenser les mouvements afin de diminuer la douleur, ce qui provoquera des déséquilibres musculaires et articulaires et une sous-sollicitation de la région atteinte. Une consultation rapide chez un professionnel de la santé favorisera le délai de guérison. Enfin, une adaptation de votre programme d’entraînement est également nécessaire.
Notre dernier conseil:
Nous vous conseillons de poursuivre vos activités physiques afin d’activer la circulation sanguine et le recrutement musculaire sans douleur. Laissez la chance à votre corps de récupérer entre les entraînements; une bonne nuit de sommeil et parfois une journée de repos vous permettront d’être plus alerte, ce qui diminuera le risque de blessures.
Dans une descente de bosses ou dans une compétition de sauts, l’atterrissage est un moment crucial de la performance et elle peut même faire la différence entre une bonne ou une excellente performance. De plus, c’est un moment critique où la majorité des blessures surviennent. Voici donc nos meilleurs conseils pour maximiser sa qualité!
L’impact au niveau des genoux, des hanches et du dos est très important. C’est pourquoi il est important de développer une force adéquate au niveau des quadriceps, des fessiers et des muscles stabilisateurs des abdominaux. Un manque de force à ces muscles amplifie le stress appliqué sur nos articulations ce qui augment le risque de blessure.
De plus, il est important de développer un bon contrôle musculaire pour optimiser la qualité du mouvement de l’atterrissage (qui se trouve à être un mouvement d’un demi-squat). L’erreur la plus fréquente est la position des genoux vers l’intérieur lors du mouvement de squat. Cela peut être expliqué, entre autres, par un manque de force au niveau des fessiers ou tout simplement par un manque de contrôle.
Philippe Marquis
L’entraînement et la répétition!
1- Commencez par effectuer un mouvement d’un demi-squat au sol en vous concentrant à garder vos genoux en ligne avec vos orteils et en poussant les fesses vers l’arrière comme si vous vouliez vous asseoir.
2-Augmentez la difficulté en effectuant le même mouvement sur 1 jambe et n’oubliez pas d’alterner les jambes.
3-Progressez en effectuant un saut d’une petite marche avec atterrissage en demi-squat sur 1 ou 2 jambes.
4-Finalement, vous pourriez ajouter un demi-tour lors de votre saut pour mimer la fin d’un saut avec rotation.
Si votre contrôle sans vos skis est excellent, vous maximiserez votre efficacité en ski, réduirez le risque de blessures et augmenterez vos performances!
Pour plus de conseils, communiquez avec un professionnel de PCN, expert en sport alpin.
Un repas complet devrait être pris au minimum 2 heures avant d’effectuer un effort physique. La collation, quant à elle, peut être consommée jusqu’à 20 minutes avant l’effort.
Les glucides représentent le meilleur carburant pour les muscles en mouvement. Vous devez toutefois adapter la portion et le type de glucides consommés avec les délais de digestion dont vous disposez. Par exemple, plus vous vous rapprochez du moment de l’effort physique, plus les glucides consommés doivent être simples et faciles à digérer. À l’inverse, dans le cas d’un repas pris quelques heures avant l’effort, il est préférable de consommer des glucides complexes comme du pain, des pâtes ou du riz.
Pour ce qui est des protéines, notez qu’elles ne fournissent pas d’énergie en soi lors d’un effort physique. Elles sont toutefois importantes à consommer 2 heures ou plus avant votre effort car elles assureront un sentiment de satiété ainsi qu’une meilleure gestion de votre énergie. Comme elles sont plus longues à digérer, évitez d’en consommer en trop grande quantité près du moment de votre entraînement.
Enfin, ne consommez pas d’aliments trop riches en matières grasses puisque ces dernières sont beaucoup plus longues à digérer.
Aide-mémoire pour la composition du repas pré-entraînement
4h avant |
3h avant |
2h avant |
1h avant |
½h avant |
|
Composition |
Un repas normal Apport élevé en glucides et modéré en protéines |
Un repas léger Apport plus élevé en glucides qu’en protéines |
Une bonne collation Principalement des glucides et un peu de protéines |
Une petite collation Presque uniquement des glucides |
Une mini collation Apport exclusif en glucides, faible en fibres |
Exemple |
Riz au poulet avec légumes + 1 yogourt aux fruits et 1 petit muffin maison |
Sandwich au poulet + 1 banane |
Céréales et yogourt Muffin anglais avec beurre d’arachide et confiture |
Petit bol de gruau Fruits Barre tendre faible en fibres |
Compote de fruits Barre de purée de fruits séchés |
Pendant l’activité physique, le corps perd une grande quantité d’eau. C’est pourquoi il est important de bien vous hydrater. Attention! Trop d’eau n’est pas synonyme de meilleure performance!
Les besoins en eau sont influencés par plusieurs facteurs tels que la température, la corpulence et le degré de sudation. Notre conseil: débuter votre séance bien hydraté et boire selon votre soif, à intervalles réguliers, durant et après l’entraînement. L’écoute des signaux de votre corps est toujours à privilégier!
Lorsque l’entraînement est réalisé à une intensité relativement élevée et sur une durée de plus de 90 minutes, il est également nécessaire de refaire le plein d’énergie. Pour ce faire, un apport régulier en glucides permet de maintenir un bon niveau d’énergie.
Nous recommandons un apport de 30 à 60 grammes de glucides par heure. Plus la durée de l’effort est longue, plus l’apport recommandé est élevé. Nous vous suggérons des sources de glucides simples et faciles à digérer. Si vous optez pour une boisson sucrée, veillez à ce que sa concentration en glucides avoisine les 6 à 8% (6 à 8 grammes de glucides / 100 ml).
Après un entraînement, il peut être pertinent d’opter pour une collation qui vous aidera à bien récupérer en vue de votre prochain effort. Cette collation devrait vous fournir entre 30 et 60 grammes de glucides et un minimum de 10 grammes de protéines afin de permettre à votre corps de refaire ses réserves. Cette collation s’avère essentielle si vous planifiez un second entraînement dans les prochaines 24 heures ou si l’entraînement a été long et très intense.
Cette collation n’est pas nécessaire si vous vous entraînez de 3 à 4 fois par semaine de manière modérée et que vous ne ressentez pas la faim après votre entraînement. De plus, si votre prochain repas est prévu dans l’heure suivant la fin de votre entraînement, la collation peut être considérablement diminuée puisque celui-ci fournira tous les nutriments essentiels à la récupération dans un délai raisonnable. Assurez-vous alors que votre repas contienne à la fois des glucides et des protéines.
Besoin d’idées pour votre collation de récupération?
Essayez ces quelques suggestions:
Effectuez une course légère.
Tout en gardant le dos droit, effectuez des fentes en alternant les jambes de façon à avancer. Amorcez la descente par le genou arrière et le genou avant ne doit pas dépasser les orteils. Pendant cet exercice, le poids devrait se trouver sur le talon avant et le genou arrière devrait presque toucher le sol.
Effectuez une course en touchant vos talons à vos muscles fessiers.
Effectuez des fentes sur le côté tout en gardant le genou plié en ligne avec les orteils de la même jambe. Effectuez 10 répétitions de chaque côté.
Effectuez une course en levant les genoux le plus haut possible devant vous.
Descendez les fesses vers le sol et vers l’arrière tout en évitant que les genoux ne dépassent les orteils. Descendez jusqu’à 90 degrés si possible. Le mouvement devrait être lent et contrôlé. Effectuez 10 répétitions.
Tout en gardant le dos bien droit, relevez un genou vers votre poitrine à l’aide de vos mains. Alternez les jambes de manière à avancer. Ne pas saccader le mouvement.
Effectuez des sauts et atterrissez en squat (pour des précisions sur le mouvement du squat, référez-vous à l’exercice 6). Effectuez 10 sauts.
Placez une jambe devant vous et pointez les orteils vers le plafond. Lentement, pliez la jambe de support et penchez votre tronc vers l’avant tout en gardant le bas du dos droit. Alternez les jambes de façon à avancer.
Effectuez un saut et atterrissez sur 1 jambe. Alternez les jambes pour un total de 10 sauts.
Les limitations physiques les plus rencontrées
Les joueurs de golf expérimentent des limitations physiques qui affectent leur élan. Les principales limitations sont la posture, l’extension hâtive des hanches lors du downswing et l’approche du bâton dans un plan extérieur-intérieur.
Voici trois tests de base que nous vous proposons afin d’évaluer votre condition générale pouvant influencer votre élan. Notez qu’aucune douleur ne devrait apparaître lorsque vous effectuez ces tests.
1- Équilibre debout sur une jambe :
Placez-vous debout sur une jambe, les bras le long du corps. La jambe dégagée du sol doit être à 90 degrés. Tentez de tenir cette position les yeux fermés le plus longtemps possible.
Norme PGA: 15 secondes
2- Squat complet
Placez votre bâton de golf au-dessus de votre tête et vos pieds parfaitement alignés à la largeur de vos hanches. Descendez en squat le plus bas possible sans perdre l’équilibre tout en gardant le bâton au-dessus de votre tête.
Norme PGA: Position parfaite de l’haltérophile
3- 90-90 Test d’épaule
Placez vos bras en croix et pliez vos coudes à 90 degrés. Vos doigts doivent pointer vers le haut et vos paumes doivent être face au mur de devant. En gardant vos coudes statiques, effectuez une rotation de vos avant-bras vers l’arrière sans creusez votre dos.
Norme PGA: Mains derrière ou en ligne avec vos oreilles
Optimiser votre élan au golf pendant la saison morte
Nous vous conseillons de profiter de l’hiver pour renforcer les muscles sollicités lors de votre élan au golf. Le retour aux terrains de golf en début de la saison estivale se fera alors sans douleur et sans risques de blessures.
En début de saison, il est important de t’assurer que ton équipement soit bien ajusté. Un casque trop grand ou trop petit peut amener des conséquences importantes lors d’un impact de la tête ou du corps avec le sol. Il est aussi important de vérifier l’état de tes skis afin d’éviter les mauvaises chutes. Enfin, nous te conseillons de faire ajuster la tension de tes fixations et de rectifier l’aiguisage et le cirage de tes skis!
Plusieurs mois se sont écoulés depuis ta dernière journée de ski! Laisse le temps à ton corps de se réhabituer aux exigences physiques de ce sport. Une augmentation trop rapide du volume d’entraînement et de son intensité peuvent faire apparaître des blessures de surutilisation. Nous te conseillons donc de commencer la saison avec des journées plus courtes ou fractionnées en alternant les périodes d’exercices et de repos. Ce truc permettra à ton corps de s’adapter, et ainsi, tu optimiseras tes performances à long terme!
Une grande majorité des blessures surviennent en début de saison, parce que les skieurs sont téméraires et que les conditions de neige ne sont pas toujours optimales. Profite plutôt de cette période pour revenir à la base. Nous te conseillons de commencer avec des exercices, des pentes et/ou des sauts plus simples et plus faciles. Assure-toi d’avoir une bonne qualité d’exécution avant d’effectuer des figures plus complexes ou de dévaler les pentes difficiles. Plus tes mouvements seront précis, plus tu seras en contrôle de ton corps et moins tu auras de chance qu’une blessure apparaisse!
Profite des dernières semaines de l’automne pour reprendre quelques exercices qui t’aideront à bien commencer la saison de ski.
1- Stabilité abdominale (planche ventrale/latérale):
En appui sur tes avant-bras et sur tes genoux, maintiens la position le plus stable possible, sans creuser le dos, pendant 20 secondes et répète de 3 à 10 fois.
2- Squats sur deux jambes:
Descends les fesses vers le sol et vers l’arrière tout en évitant que les genoux ne dépassent les orteils. Effectue 3 séries de 10 à 25 répétitions, en maintenant la position pendant 5 secondes à la fin du squat.
3- Renforcement de fessiers:
Étendu sur le côté, plie tes genoux à un angle de 45 degrés tout en gardant tes hanches alignées. Amène ton genou du dessus vers le plafond, en gardant les pieds rapprochés. Effectue 3 séries de 10 à 25 répétitions de chaque côté. Tu peux ajouter un élastique autour de tes genoux pour augmenter le niveau de difficulté.
Prévois une période d’échauffement appropriée avant chaque entraînement ou compétition. Celle-ci doit être complète et spécifique pour optimiser ta journée d’entraînement et prévenir les blessures.
Comment PCN peut t’aider?
Les physiothérapeutes de PCN offrent la possibilité de faire une analyse complète de ton corps et d’évaluer tes forces et tes faiblesses en lien avec le ski. Ils pourront ensuite établir un plan de match afin d’optimiser tes performances et d’éviter les blessures de début de saison. Vaut mieux descendre la pente sur deux skis… que sur deux fesses!
Communique avec un expert dans l’évaluation des blessures reliées aux sports alpins maintenant!
L’automne est la période de l’année où nous nous préparons pour l’hiver. Toutefois, les corvées extérieures pour préparer la maison et le terrain à l’arrivée de la neige sont souvent à l’origine de plusieurs blessures. En effet, notre corps n’est pas préparé à racler les feuilles, à installer les clôtures à neige, à habiller les arbres et à installer l’abri de voitures.
Voici donc 4 conseils afin d’éviter les blessures lors de vos corvées automnales:
1- Lorsque vous ramassez les feuilles, nous vous conseillons d’effectuer de petits mouvements plus fréquents plutôt que de grands et longs mouvements. Cette diminution d’amplitude permettra à votre corps d’éviter les faux mouvements et donc, les blessures!
2- Lorsque vous soulevez des charges comme les clôtures à neige, assurez-vous de répartir également votre poids entre votre côté gauche et votre côté droit afin d’éviter un débalancement.
3- Pliez les genoux! Pour soulever une charge ou couvrir les arbustes, il est préférable de fléchir les genoux et de s’accroupir afin de diminuer la force de tension sur votre bas du dos.
4- Parfois il vaut mieux effectuer les travaux sur plusieurs journées pour ne pas accumuler trop de fatigue. Saviez-vous qu’en état de fatigue, votre corps devient moins efficace au niveau de sa biomécanique, et ce, principalement dans les mouvements pour lesquels vous n’êtes pas entraînés?
1. La randonnée est une activité complète. Elle améliore votre capacité cardio-respiratoire, votre force musculaire et votre proprioception.
2. Assurez-vous d’avoir le bon équipement. Afin de profiter au maximum de votre sortie, de bonnes chaussures avec de petits crampons et des bâtons de marche vous aideront à apprécier votre randonnée et à prévenir les blessures.
3. Marcher sur un terrain difficile ou accidenté, ça s’apprend! Si vous êtes débutant, privilégiez des terrains faciles et augmentez progressivement la difficulté par le dénivelé et les obstacles.
4. Les bâtons de marche, c’est utile! Ils vous permettront de moins solliciter les articulations de vos jambes, tout en activant la musculature des bras, ce qui vous permettra d’activer davantage votre système cardio-respiratoire.
5. Prévoyez l’imprévisible. Apportez de l’eau et de la nourriture en quantité suffisante. Prévoyez également des vêtements pour différentes intempéries: imperméable, chapeau, vêtements chauds et bas de rechange.
La neige n’est toujours pas tombée et déjà, vous rêvez à votre sport d’hiver favori? Dans ce guide automnal pour personnes actives, notre équipe a élaboré un programme de renforcement afin de vous préparer aux différents sports hivernaux tels que le ski alpin, la planche à neige, le ski de fond, la raquette et le patin!
Pour chaque exercice, effectuez 2 ou 3 séries de 10 à 15 répétitions. Répétez ce programme de renforcement de 3 à 4 fois par semaine.
Squat :
Cet exercice est complet pour la préparation musculaire de vos jambes. Descendre les fesses vers le sol et vers l’arrière tout en évitant que les genoux ne dépassent les orteils. Pour un peu plus de complexité, effectuez l’exercice sur une jambe.
Planche abdominale et latérale:
Maintenez la position de la planche abdominale sur les genoux afin renforcer le dos et les abdominaux. Dans cette posture, assurez-vous de conserver votre dos le plus droit possible, de la nuque jusqu’au bassin. Vous pouvez augmenter le niveau de difficulté en vous plaçant sur la pointe des pieds. Vous pouvez effectuer l’exercice de chaque côté.
Équilibre unipodal:
À l’hiver, les terrains sont glacés et enneigés et donc, très glissants! Des muscles stabilisateurs efficaces préviendront les chutes et amélioreront votre efficacité dans la pratique des sports d’hiver. Le défi est de vous tenir le plus souvent possible sur un seul pied tout en continuant vos activités régulières (se brosser les dents, cuisiner, parler au téléphone, etc.)
Arabesque:
Afin de renforcer votre musculature et votre stabilité, nous vous conseillons d’effectuer l’arabesque. Tenez-vous sur une jambe et tentez de toucher le sol avec la main opposée à votre pied de façon synchronisée tout en laissant la jambe arrière monter. Vous devriez sentir l’effort dans l’arrière de votre cuisse et dans votre fessier.
Source images: Total Coaching
La pratique du yoga s’avère être de plus en populaire pour améliorer la flexibilité, la force, l’endurance ou l’équilibre.
La pratique du yoga est bonne pour vous:
1. Elle favorise une posture adéquate. Les travailleurs de bureau ont développé une posture bien spécifique: les épaules ramenées vers l’avant et la tête avancée vers l’écran. Cette posture crée donc des tensions au niveau des épaules. La pratique du yoga favorise une rectitude du dos, un relâchement des tensions et une respiration profonde.
2. Elle réduit plusieurs symptômes associés au stress quotidien. La pratique régulière du yoga permet la réduction des symptômes de dépression et d’anxiété. De plus, elle permet d’activer l’énergie du corps, d’améliorer le sommeil et les fonctions cérébrales en plus de favoriser une meilleure respiration.
3. Elle facilite la récupération physique. Les différentes postures assises, couchées et debout (sur une jambe ou deux jambes) favorisent une amélioration de la condition physique en douceur, tout en prenant conscience du corps. Cette activité permet de diminuer la douleur, de réduire l’hypervigilance du corps et d’étirer les fascias (enveloppe des muscles et des tissus).
PCN Physiothérapie et Médecine du Sport et le Réseau Sports Adultes ont récemment développé un partenariat afin d’offrir un service de physiothérapie de grande expertise aux membres du réseau. Désormais, l’équipe de PCN couvrira les tournois du RSA afin de vous aider à atteindre vos objectifs sportifs!
Le Réseau Sports Adultes a pour mission d’activer les adultes par le sport en offrant des ligues sportives, des événements corporatifs et sociales. Le réseau compte plus de 4000 joueurs annuellement dans 10 différents sports.
Leader en physiothérapie depuis plus de 28 ans, l’équipe de professionnels de PCN a à coeur la santé des personnes actives de Québec et guide les sportifs de loisirs jusqu’aux athlètes internationaux dans l’atteinte de leurs objectifs.
Parce que vos objectifs sont aussi les nôtres!
PCN, fier partenaire du Défi de Novembre!
Cet automne, l’équipe de PCN vous attendra sur les plaines d’Abraham pour vous faire bouger!
Partenaire du Défi de Novembre, nos physiothérapeutes vous ont préparé de tout nouveaux défis à relever afin de vous faire bouger dès le lever du soleil.
C’est un rendez-vous: les mardis de novembre à 6h30 AM au Parc de la Francophonie pour un entraînement haut en couleur et en plaisir!
PCN Physiothérapie et Médecine du Sport et la Polyvalente de L’Ancienne-Lorette ont récemment développé un partenariat afin d’offrir un service de physiothérapie de grande qualité aux élèves-athlètes de l’école. Une clinique satellite de physiothérapie est désormais aménagée dans l’enceinte de la polyvalente et une physiothérapeute de PCN, détenant une expertise en physiothérapie sportive, assurera les soins dès la rentrée scolaire 2017.
En 2012, PCN ouvre sa toute première clinique satellite au sein de L’Académie Saint-Louis afin de prodiguer des soins de physiothérapie aux élèves des programmes sportifs de l’école. La présence rassurante de PCN a rapidement été appréciée des entraîneurs, des athlètes et des parents, ce qui en fait aujourd’hui un service clé pour les équipes sportives de l’ASL et un exemple à suivre pour toutes les écoles de Québec offrant des programmes sportifs compétitifs.
«La collaboration de PCN nous est précieuse pour accompagner nos jeunes tout au long de leur saison respective» déclare Marc Chamard, directeur général de la polyvalente. En effet, la prise en charge rapide d’une blessure sportive diminue les risques de récidive et améliore les performances. L’équipe de la PAL offrira donc un encadrement complet incluant le service de physiothérapie via une clinique satellite PCN, la présence d’un représentant en santé et sécurité, des formations sur la gestion et la prévention des blessures aux entraîneurs, ainsi qu’un suivi rigoureux des commotions cérébrales selon le protocole établi par La Commission scolaire des Découvreurs.
Leader en physiothérapie depuis plus de 28 ans, l’équipe de professionnels de PCN a à coeur la santé de la relève sportive de Québec et guide les sportifs de loisirs jusqu’aux athlètes internationaux dans l’atteinte de leurs objectifs.
La saison vient à peine de débuter et votre enfant est déjà prêt à atteindre ses objectifs sportifs. L’équipe de PCN offre au parfait parent de sportif ses meilleurs conseils afin d’accompagner le jeune athlète vers une saison en pleine santé!
Également appelée traumatisme crânien cérébral léger (TCCL), la commotion cérébrale survient à la suite d’un impact au corps ou à la tête, engendrant une onde de choc au cerveau. Le cerveau est alors secoué dans la boîte crânienne, ce qui cause un mauvais fonctionnement temporaire aux cellules cérébrales.
La commotion cérébrale peut être causée par un impact direct (coup à la tête) ou indirect, (chute sur les fesses).
Voici ce que vous pourriez observer chez votre enfant suite à cet impact, immédiatement ou jusqu’à quelques jours après l’incident:
En présence d’un ou de plusieurs de ces signes et symptômes, il est primordial de retirer votre enfant du sport, de le garder au repos pour un minimum de 24 heures* et de consulter un professionnel qui saura vous guider pour une prise en charge optimale.
Consultez un professionel de PCN expert en commotion cérébrale.
* Si vous remarquez un changement de comportement, une aggravation des symptômes, des vomissements, des maux de tête qui s’aggravent, un dédoublement de la vision ou une somnolence excessive, rendez-vous immédiatement aux urgences.
Voici enfin la réponse!
1- Utilisez la glace dans le but de diminuer une douleur locale, à la suite d’un traumatisme (un coup ou une chute par exemple). Vous pouvez utiliser un sac de glaces concassées, de légumes congelés ou même de la neige, recouvert d’un linge humide, que vous appliquez directement sur la région blessée.
2- Utilisez la chaleur lorsqu’il y a présence d’une raideur ou d’une limitation de mobilité quelques jours après un exercice excessif. Par la dilatation des vaisseaux sanguins, la chaleur diminue les tensions musculaires et augmente la mobilité. Vous pouvez utiliser une compresse de type Sac Magique, un coussin électrique ou un bain chaud.
Le temps d’application? Quinze (15) minutes à tous les deux heures.
N’oubliez pas de surveiller la peau de votre enfant afin d’éviter les engelures et les brûlures.
1- Prévoir au moins deux (2) heures pour la digestion d’un repas et trente (30) minutes pour la digestion d’une collation avant d’effectuer une activité intense.
2- Si votre enfant a faim dans l’heure (1) précédant l’activité, une petite collation riche en glucides et faible en fibres alimentaires est suggérée pour une meilleure digestion. Une compote de pommes, une barre tendre, un smoothie, sont de bons exemples. Recette de barre tendre maison.
3- En plus de contenir des glucides, la collation prise une (1) à deux (2) heures avant l’activité peut contenir une petite quantité de protéines, par exemple: un fruit entier, un muffin maison, etc.
4- Un repas léger peut être pris de deux (2) à trois (3) heures précédant l’activité. Ce repas devrait contenir des glucides et une faible portion de protéines.
5- Lorsque le délai est de plus de trois (3) heures avant l’activité, votre enfant peut manger un repas complet.
6- Dans le cas des entraînements matinaux, il se peut que votre enfant n’ait pas faim. Il est tout de même important qu’il prenne au minimum une petite collation avant l’activité. Il pourra manger un repas complet à la suite de l’entraînement.
7- En ce qui concerne l’hydratation, notez que la perte en eau de votre enfant est plus grande lorsqu’il pratique une activité physique que lorsqu’il est sédentaire. Son besoin en eau est donc grandement influencé par plusieurs facteurs tels que son physique, son degré de sudation et la température ambiante. L’important est qu’il soit bien hydraté dès le début de l’activité et qu’il s’hydrate selon sa soif pendant et après. La sensation de soif est un bon indicateur. Il est donc important d’être à l’écoute!
Consulter un nutritionniste de PCN.
Le parfait parent de sportif devrait penser à consulter un physiothérapeute avec son enfant dans les cas suivants:
En cas de doute, il est préférable de cesser la pratique de l’activité sportive et de prendre un rendez-vous en physiothérapie. Lors de la première rencontre, le professionnel sera en mesure de vous guider afin que votre enfant puisse retourner à son sport rapidement et en pleine santé!
Bonne nouvelle: la consultation en physiothérapiee se fait en accès direct et ne nécessite pas de référence d’un médecin!
Planifiez une rencontre d’évaluation personnalisée avec un physiothérapeute expert dans le sport pratiqué par votre enfant.
Les parties et les pratiques sont bien entamées et tu rêves déjà à tes objectifs sportifs? L’équipe de PCN a concocté le guide du parfait sportif afin de t’accompagner vers tes objectifs de la saison, quels qu’ils soient!
Comment?
Avant de commencer ton entraînement, tu devrais faire dix (10) minutes d’activation: jogging léger, quelques passes avec le ballon, des petits sauts sur place, etc.
L’objectif: avoir chaud sans être essoufflé!
Les étirements statiques, tels que maintenir ton talon à ta fesse ou bien te pencher vers l’avant pour toucher tes orteils, sont à effectuer à la fin de ta journée d’entraînement. Ils sont surtout utiles pour conserver une bonne souplesse musculaire et te permettront à long terme d’avoir une course plus rapide par une plus grande mobilité ou des bottés plus puissants grâce à une amplitude plus grande, en plus de prévenir tes blessures!
À retenir: avant une activité, t’échauffer activement au lieu de t’étirer passivement t’aidera à prévenir les blessures!
Faire partie d’une équipe sportive est une chance en or pour toi! En plus d’être entouré de tes amis, tu pourras pratiquer un sport que tu aimes.
Le plaisir dans la pratique de ton sport est le plus important et a une influence directe sur ta performance.
Afin d’améliorer tes performances et ton plaisir dans la pratique de ton activité, nous te conseillons de ne pas limiter ta pratique à un seul sport. Par exemple, jouer au basketball sur ton heure de dîner est profitable pour t’améliorer au football puisque cela entraîne ta capacité à réagir vite! Jouer au soccer peut également t’aider dans tes performances au hockey puisque cela améliore tes capacités cardiovasculaires.
N’hésite pas à pratiquer différents sports afin de développer toutes tes qualités athlétiques et de t’amuser!
Tu as reçu un coup ou un ballon à la tête ? Tu es tombé sur le dos ou les fesses et depuis, tu ne te sens pas tout à fait normal?
Une commotion cérébrale est le résultat d’un impact à la tête ou au corps qui se répercute sur le cerveau. Ce dernier est alors secoué dans la boîte crânienne, ce qui cause un mauvais fonctionnement de celui-ci.
Si après un contact…
Comme parfait sportif, il est important de le dire à ton coach, tes parents, ton physio ou même à un de tes amis que tu ne te sens pas bien.
Pourquoi?
Parce que ton cerveau est le principal organe permettant à ton corps de fonctionner à sa pleine capacité. De plus, si tu le blesses, tu es plus à risque de subir une seconde commotion et alors, tu risques d’avoir des symptômes plus importants (perte de conscience, hémorragie cérébrale, mal de tête très importants, etc.) qui dureront beaucoup plus longtemps et t’empêcheront de retourner à ton sport rapidement.
Si tu crois avoir un des symptômes énumérés ci-haut, n’hésites pas à en parler. Nous désirons te garder en santé afin que tu puisses pratiquer ton sport longtemps!
Confus? N’oublie pas qu’un expert en commotion cérébrale de PCN peut te guider.
Un taping est utilisé dans le but de soutenir une articulation ou un muscle récemment blessé ou qui n’est pas encore totalement rétabli. Il existe différents types de tape sur le marché, entre autres:
1- Les taping blancs sont peu élastiques et très solides. Il sert surtout à empêcher le mouvement d’une articulation, par exemple, éviter que ta cheville ne tourne ou limiter l’extension de ton poignet.
2- Les tapings colorés neuroproprioceptifs sont utilisés pour faciliter certains mouvements comme la contraction d’un muscle ou bien pour lui dire de se relaxer un peu!
Tu as suivi tous les conseils du parfait sportif, mais tu t’es tout de même blessé? Voici nos recommandations:
1- Il est important d’aviser ton entraîneur de tes douleurs afin d’éviter de poursuivre ton activité sur ta blessure. Il pourra ajuster tes entraînements selon celle-ci et te référer à un professionnel au besoin.
2- Pour soulager ta douleur n’hésites pas à mettre de la glace sur ta blessure. Quinze (15) minutes suffiront à te soulager. Par contre, si tu ressens une raideur, utilise plutôt de la chaleur pendant quinze (15) minutes.
3- Si malgré la glace ou la chaleur, en plus de la gestion de tes entraînements, ta douleur est toujours présente ou semble augmenter, il est temps de consulter un professionnel de la santé!
Un physiothérapeute de PCN pourra t’aider à identifier la cause de ta douleur, te donner des exercices spécifiques à ton sport pour revenir au jeu le plus rapidement possible. Il pourra aussi te conseiller un taping afin de diminuer ta douleur.
Planifie une rencontre personnalisée avec un professionnel de PCN expert dans ton sport!
Charlotte Vallières-Villeneuve, physiothérapeute de PCN a été sélectionnée pour accompagner la délégation canadienne à Taipei en Chine, pour la couverture médicale des Universiades d’été 2017. La physiothérapeute en chef du Rouge et Or de L’Université Laval offrira son expertise de haut niveau en étant attitré spécifiquement à l’équipe canadienne de soccer, du 19 au 30 août prochain.
La candidate tout indiquée
Se démarquant comme physiothérapeute depuis 2012, Charlotte Vallières-Villeneuve a été sélectionnée parmi plusieurs candidats désirant combler le poste de physiothérapeute au sein de l’équipe médicale canadienne des Jeux. Impliquée dans le milieu sportif depuis ses débuts, Charlotte a, entre autres, assuré les soins de physiothérapie de l’équipe du Québec de rugby U18 féminin, du Cirque du Soleil et des équipes du Rouge et Or. De plus, elle a complété, au fil des années, plusieurs formations spécifiques à la réadaptation des blessures sportives, dont le convoité diplôme en physiothérapie du sport de l’Association canadienne de physiothérapie.
Les 29èmes jeux mondiaux universitaires d’été
La compétition internationale universitaire multisport organisée par la Fédération internationale du sport universitaire (FISU) en est à sa 29e édition d’été et est composée de quinze sports obligatoires ainsi que de quelques sports optionnels déterminés par le comité organisateur.
Depuis le 24 juillet 2017, la clinique PCN Ste-Foy ainsi que les bureaux administratifs de PCN sont situés au Centre Commercial de la Colline: 3211 Chemin Ste-Foy Québec, G1X 1R3.
Cette nouvelle adresse nous permet d’offrir à nos patients un environnement spacieux au décor renouvelé, une salle d’attente adaptée à leurs besoins, ainsi qu’une plus grande salle d’exercices.
Nous avons hâte de vous accueillir dans nos nouveaux locaux!
À bientôt
L’équipe de PCN Ste-Foy et PCN Gestion
Psychoéducation et accompagnement sportif maintenant offert chez PCN La Capitale!
Votre stress, vos pensées parasites ou votre manque de concentration vous empêchent d’atteindre vos objectifs dans vos activités sportives? Vous perdez votre motivation, vous vous sentez fatigué ou vous reprenez l’entraînement à la suite d’un surentraînement et trouvez difficile de retrouver votre concentration?
Psychoéducatrice et accompagnatrice sportive, Chrystelle St-Pierre peut vous accompagner afin d’optimiser votre préparation mentale et faire face aux pensées qui freinent votre performance.
Qu’attendez-vous? Planifiez dès maintenant une rencontre personnalisée.
Parce que vos objectifs sont aussi les nôtres
PCN est fier d’annoncer notre tout nouveau partenariat avec Yoga Fitness!
Une équipe de physiothérapeutes de PCN et de professeurs chez Yoga Fitness se sont alliés afin de préparer un tout nouveau cours : Yoga Thérapie.
Namasté!
Que ce soit avant la saison ou en cours de saison, plusieurs exercices peuvent vous aider à adapter votre corps et vos chevilles à la course, dans le but de diminuer les risques de douleurs et de blessures aux genoux. Voici quelques exemples d’exercices à privilégier:
Ces exercices vous permettront de muscler votre corps, d’entraîner la flexion de vos chevilles et de travailler votre stabilité.
Avant chaque course, échauffez votre corps à l’aide d’une période où vous courez, mais qui est dédiée au réchauffement. C’est donc un moment où vous limitez votre vitesse ainsi que le dénivelé de votre trajet, et où vous courez doucement sans intervalle. Lorsque votre corps sera bien réchauffé, vous pourrez alors courir plus rapidement, augmenter les dénivelés et débuter les intervalles.
En effectuant de petites foulées lors de la course, vous imposerez moins d’impact sur votre corps en général. Vous demanderez plus de force à vos chevilles en termes de stabilité, mais l’impact moindre sera un grand avantage pour la santé de vos genoux.
Vous êtes blessé? Rencontrez un professionnel dès maintenant!
Tout d’abord, il est important d’y aller progressivement en début de saison. Écoutez votre corps afin de ne pas trop le fatiguer; c’est lorsqu’il est en grand état de fatigue que les blessures à vélo surgissent plus fréquemment. Un bon truc, surtout en début de saison, est de prévoir un trajet alternatif en fin de parcours. Ainsi, si vous vous sentez fatigué, vous pourrez éviter les dernières montées et rentrer plus rapidement. Ne vous laissez pas convaincre par vos amis de faire une trop grosse sortie si vous ne vous sentez pas encore prêt!
Il n’est pas normal de ressentir des douleurs ou des engourdissements, même après une première sortie en début de saison. C’est le premier signe que votre vélo n’est pas adapté pour vous, ou qu’il est mal positionné.
De plus, assurez-vous d’avoir une cadence qui est efficace; rapide, mais qui ne demande pas trop d’effort aux muscles afin de ne pas les surcharger. Une cadence entre 90 et 100 RPM est l’idéal. Ainsi, pour une heure de vélo à 100 RPM, vous donnerez environ 6 000 coups de pédale. La biomécanique de pédalage est importante, et n’hésitez pas à consulter afin de vous assurer que celle-ci est adéquate et que vos douleurs ne sont pas causées par celle-ci.
Finalement, lors de la saison morte, vous pouvez entretenir votre capacité cardio-vasculaire et musculaire en pratiquant un sport complémentaire: le ski de fond, le spinning ou le patin de vitesse, par exemple.
Vous pouvez aussi vous entraîner sur un rouleau d’entraînement ou sur un vélo stationnaire. Une base d’entraînement est vraiment l’outil idéal, car il vous permet d’utiliser votre propre vélo. Votre positionnement est donc optimal. Vous pourrez aussi en profiter pour améliorer la fluidité de votre coup de pédale, sans les aléas de l’environnement extérieur (vent, dénivelé, voiture, trou, etc.). Un bon pédalage devrait être fluide et équilibré entre l’action de tirer et celle de pousser la pédale.
Gardez en tête ces bons conseils et vous devriez connaître une belle saison de vélo tout en minimisant vos risques de blessures. Pour davantage de conseils, incluant une analyse biomécanique complète, des exercices conçus spécifiquement pour le cycliste ainsi qu’une évaluation de dépistage présaison, visitez une de nos Cliniques du cycliste.
Parce que vos objectifs sont aussi les nôtres!
Vous vous êtes blessé à vélo? Prenez rendez-vous avec un physiothérapeute de PCN!
Vous êtes blessé à l’épaule? Consultez un professionnel!
La capsulite à l’épaule est un enraidissement de la capsule articulaire. Elle est causée par une immobilisation prolongée (suite à une fracture de l’humérus ou à une opération par exemple) ou par une chute. Elle peut aussi survenir sans qu’aucune cause n’y soit associée.
La capsulite peut se guérir naturellement en 1 ou 2 années. Par contre, un suivi en physiothérapie est grandement recommandé afin d’accélérer la guérison et de diminuer rapidement la douleur. Un physiothérapeute pourra vous enseigner les exercices adéquats, entre autres.
La tendinopathie d’épaule est une inflammation du tendon de l’épaule. Elle est due à un nouveau mouvement ou à un mouvement répétitif inhabituel, accompli dans une posture inadéquate.
Si votre tendinopathie commence tout juste à vous faire souffrir, offrez-vous du repos et mettez de la glace pour les 2 à 3 premiers jours. Ces actions aideront à l’antalgie (diminution de la douleur). Laissez alors passer la crise de douleur aigüe. Après 5 à 7 jours, mettez de la chaleur durant 15 minutes quelques fois par jour pour relâcher les raideurs et augmenter la circulation sanguine. Vous pouvez aussi recommencer à bouger progressivement sans douleur afin de regagner votre mobilité. Prenez garde à rester dans des mouvements non douloureux.
Après 4 à 6 semaines, si la douleur est toujours présente, elle est devenue ce qu’on appelle une douleur chronique. C’est donc une douleur moins aigüe, mais qui perdure dans le temps. Vos mouvements seront alors limités et votre corps développera des compensations. Il serait temps de consulter si ce n’est pas déjà fait. Il faudrait éviter que vous développiez des mouvements de compensation et que d’autres problèmes physiques et/ou blessures aux épaules fassent alors leur apparition.
Les principales blessures traumatiques de l’épaule sont la luxation, la subluxation ou l’entorse acromio-claviculaire. Elles sont causées par un mouvement de plus grande amplitude, qui amène l’humérus à la limite de la stabilité articulaire, ou même hors de celle-ci. Les facteurs sont variés; coup, mauvaise chute, mouvement de trop grande amplitude. Ce peut même être causé par une hyperlaxité naturelle.
Une guérison de vos structures articulaires/ligaments survient habituellement en 6 à 8 semaines. Comme ce temps est relativement long, un bon suivi en physiothérapie vous aidera à ne pas développer de mouvements de compensation et vous donnera les outils pour améliorer votre amplitude et votre force musculaire dans le but d’éviter une récidive.
Si vous êtes hyperlaxes, un physiothérapeute pourra vous donner des exercices pour vous stabiliser musculairement, augmenter le contrôle de votre épaule et prévenir de futures luxations involontaires et imprévues.
En suivant ces recommandations, votre blessure à l’épaule devrait guérir rapidement, et la douleur associée devrait aussi diminuer rapidement.
Prenez rendez-vous aujourd’hui avec un physiothérapeute pour diminuer vos douleurs à l’épaule.
Tout d’abord, vous devez vous assurer d’avoir un dos en santé dès le début de la saison. En débutant la saison en forme, vous vous assurerez un dos stable et fort. Pour protéger son dos au golf, deux points sont à prendre en considération; la stabilisation lombaire par le renforcement du dos, et le gainage au niveau des abdominaux. Voici quelques exercices pour vous inspirer.
Maintenez la position de la planche abdominale sur les genoux pour renforcer le dos et les abdominaux. Dans cette posture assurez-vous de conserver votre dos le plus droit possible, de la nuque jusqu’au bassin. Débutez par des périodes de quelques secondes seulement afin d’avoir une posture optimale. Vous pouvez aussi utiliser une chaise ou un mur comme support.
Accomplissez le mouvement du haut du corps lors de l’élan avec un poids dans les mains, tout en étant assis sur un ballon d’exercice. Assurez-vous d’avoir un mouvement fluide, et donc un contrôle musculaire maximal, afin d’optimiser l’efficacité de cet exercice.
Entraînez la flexibilité articulaire de vos hanches; couchez-vous sur le dos, les jambes entrouvertes à 90 degrés. Puis, fermez les genoux jusqu’à les coller, et décollez-les ensuite. En favorisant une plus grande mobilité des hanches, vous éviterez des mouvements compensatoires qui pourraient causer des maux de dos.
Par la suite, référez-vous à un trio de professionnels pour vous aider à garder votre dos en santé. Un physiothérapeute, un professionnel de golf ainsi qu’un préparateur physique (ou kinésiologue) composent une bonne équipe pour optimiser votre préparation physique. Vous pouvez prendre rendez-vous dès maintenant pour mettre en place cette équipe en cliquant ici.
Lors de la saison morte, vous pourriez opter pour le golf intérieur virtuel, qui conserverait vos acquis de la saison estivale précédente. Il vous permettra de garder vos muscles en forme et de bien pratiquer votre technique de golf.
Finalement, si vous avez malgré tout des douleurs au dos, vérifiez si la cause pourrait être votre équipement;
En trouvant la cause de vos douleurs, vous pourrez rapidement trouver une solution.
De plus, vous devriez consulter rapidement afin d’accélérer votre guérison et d’éviter des mouvements compensatoires qui pourraient créer d’autres problèmes physiques aux hanches, au bassin, aux genoux, aux épaules ou ailleurs. Plus vous endurerez une douleur associée à une blessure, plus vous développerez des compensations qui ralentiront votre récupération.
En suivant ces quelques conseils vous serez en mesure de protéger votre dos au golf tout en profitant des belles rondes que la saison vous apportera!
Que vous débutiez votre saison ou que vous soyez un nouvel adepte de ce sport, vous devez y aller en douceur et progressivement. Faites de courts trajets en alternant les périodes de marche et de course, afin de permettre à votre corps de s’adapter progressivement. Bien souvent, les coureurs ont tendance à en faire trop, trop vite et trop longtemps. C’est à ce moment que les blessures surviennent.
Dans le même ordre d’idées, privilégiez de courir souvent en alternant les courtes et les longues sorties. Ainsi, vous ne pousserez pas votre corps dans un état de fatigue qui favoriserait les blessures. Vous permettrez plutôt à vos tissus de s’adapter, en les protégeant d’une trop grande fatigue. Ce sera aussi moins stressant pour vos tendons, vos articulations, vos muscles et vos os. Ainsi, votre corps pourra s’ajuster, en douceur, à ce sport qu’est la course.
Ensuite, vos chaussures doivent être adaptées à la course. Si vous avez les mêmes chaussures depuis longtemps et que vous n’êtes pas blessé, alors poursuivez avec celles-ci. Par contre, si vous débutez la course, une chaussure de type minimaliste est recommandée. Vous devriez donc choisir une chaussure qui interfère de façon minimale avec les mouvements naturels de votre pied de par sa grande flexibilité, son faible dénivelé, son faible poids, sa faible épaisseur au talon et l’absence de technologies. Ainsi, votre corps développera un patron de course qui aura un impact minimal sur vos articulations et autres structures.
Si vous êtes un habitué de la course mais que vos chaussures sont usées, ou que vous voulez augmenter votre efficacité, vous pouvez changer vos chaussures pour un modèle minimaliste. Toutefois, faites le changement de façon très progressive.
Déjà blessé? Cliquez ici pour consulter un professionnel!
Une bonne préparation pré-saison englobe plusieurs actions à prendre pour s’assurer une saison sans douleur et sans blessure. Tout d’abord, soignez vos vieilles douleurs. En cours de saison, ces anciennes blessures peuvent ressurgir et entraîner des problèmes plus importants. Ensuite, offrez-vous un programme d’entraînement musculaire adapté au golf. Il vous permettra d’entretenir et de développer les principaux muscles qui seront sollicités durant la grosse saison, le dos en particulier.
Débuter la saison de golf doucement, en progression, en écoutant les signes de fatigue que vous envoie votre corps. Ainsi, vous éveillerez doucement vos muscles tout en évitant le risque de blessure. L’utilisation d’un champ de pratique peut être bien utile à ce stade, en plus de vous permettre de réviser votre technique.
Le dos est très en demande lors des parties de golf, et vous devez adopter une position de jeu qui le protège. Ceci vous permettra de ne pas développer des douleurs qui, avec le temps, pourraient devenir importantes. Nous vous proposons un petit exercice tout simple et très efficace pour pratiquer une bonne position de lancer. Réalisez cet exercice en trois étapes:
1) Maintenez un élastique entre vos mains.2) Placez-vous en position pour faire un coup roulé.
3) Effectuez une rotation du tronc, tout en gardant un mouvement fluide.
En vous pratiquant sans être dans une situation de jeu, vous aurez plus de temps pour analyser votre mouvement, et ainsi vous assurer qu’il est optimal pour éviter les blessures au dos. Pour encore plus de conseils pour protéger votre dos, cliquez ici pour lire l’article qui est dédié à ce sujet.
Un bon équipement est important pour éviter les blessures. Tout d’abord, des chaussures adaptées au golf vous aideront à vous protéger des mauvaises chutes. Ensuite, un sac de golf à deux bretelles est préférable qu’un sac à une bretelle, car il permet d’avoir un meilleur équilibre et d’avoir un travail musculaire uniforme. Un autre bon choix est un support à sac de golf que l’on pousse (et non que l’on tire), afin d’éviter au maximum les torsions au niveau du dos.
Finalement, soignez vos douleurs si vous en avez. De vieilles douleurs peuvent empirer ou créer d’autres problèmes. En effet, le corps a tendance à compenser pour des douleurs présentes, et ceci peut causer d’autres douleurs, créant ainsi un cercle vicieux indésirable. En débutant au sommet de votre forme, vous optimiserez votre saison de golf.
En vous assurant un bien débuter la saison de golf, vous minimisez les risques de blessures et de douleurs. En suivant ces trucs, vous aurez une bonne saison de golf, sans repos forcé par un rétablissement.
Parce que vos objectifs sont aussi les nôtres!
Soignez vos douleurs dès maintenant pour mieux jouer au golf!
Nous sommes heureux de vous annoncer l’ouverture de notre toute nouvelle clinique: PCN St-Nicolas!
À partir du 30 mai 2017, PCN Physiothérapie et Médecine du Sport, offrira ses services de qualité à toute la population de St-Nicolas et des environs.
Monsieur Kevin Dumont en assurera le bon fonctionnement ainsi que son développement en tant que responsable de clinique. Il aura comme alliée madame Laura Belley, physiothérapeute, qui offrira une prise en charge optimale à tous les patients!
Pour connaître les coordonnées de la clinique, cliquez ici.
Téléphonez dès maintenant pour prendre rendez-vous!
Parce que vos objectifs sont aussi les nôtres !
En appui sur vos avant-bras et sur vos genoux, maintenez la position le plus stable possible, sans creuser votre dos, pendant 30 secondes et répétez 2 à 3 fois. Tentez d’augmenter le niveau de difficulté en vous mettant sur la pointe des pieds ou même avec les pieds sur un ballon.
Saviez-vous que la cadence optimale de pédalage se situe entre 90 et 100 rpm? Une cadence aussi élevée vous permet de diminuer votre fatigue sur les longues sorties et de mieux récupérer après l’entraînement. Un pédalage trop rapide (plus élevé que 120 rpm) augmenterait à l’opposé vos pertes énergétiques et diminuerait votre stabilité.
Douleurs à vélo? Les physiothérapeutes de la Clinique du Cycliste PCN vous offrent la possibilité d’effectuer une analyse biomécanique complète. En fonction de cette évaluation, ils pourront ensuite déterminer les exercices à effectuer afin de terminer votre saison en force et en santé!
Rencontrez un expert de la Clinique du Cycliste maintenant!
À partir du 1er mai 2017, PCN Sillery sera déménagé au 1363 avenue Maguire, suite 410, Québec, G1T 1Z2.
Cette nouvelle adresse nous permettra de vous offrir un environnement plus spacieux, une plus grande salle d’exercice, ainsi qu’une aire d’attente adaptée à vos besoins.
Venez nous visiter à PCN Sillery!
PCN Physiothérapie et médecine du sport sort de la région de Québec et s’établit à Shawinigan afin d’offrir ses services à un tout nouveau secteur de la province.
Madame Laurence Bouin, physiothérapeute bien connue de la région, en assurera le bon fonctionnement ainsi que son développement en tant que copropriétaire.
Vous habitez le secteur ? N’hésitez pas à aller la rencontrer !
Pour connaître les coordonnées de la clinique, cliquez ici.
Parce que vos objectifs sont aussi les nôtres !
Les symptômes précédemment décrits sont les résultats d’une problématique au niveau du plancher pelvien, des abdominaux et/ou des organes du bassin (vessie, utérus et rectum).
Chez la femme ayant accouché, les possibilités de développer un problème d’incontinence sont plus élevées. Les facteurs pouvant diminuer ces possibilités sont:
En considérant ces facteurs, les possibilités de souffrir de cette condition peuvent être réduites d’au moins 20% à 50%, selon les études.
Vous avez besoin de plus d’informations sur les fuites urinaires? N’hésitez pas à consulter une spécialiste de La Clinique de Santé Pelvienne de PCN.
Parce que vos objectifs sont aussi les nôtres!
RÉFÉRENCES :
Si une femme enceinte a des problèmes urinaires pendant ses activités physiques, nous lui recommandons de consulter un physiothérapeute en rééducation périnéale afin de l’aider à adapter son activité et lui permettre de demeurer active sans aggraver ses problèmes urinaires.
Également, certains sports à haut risque de traumatisme (collision ou chute), ou causant des changements physiologiques (plongée sous-marine ou randonnée en haute altitude) devraient être évités.
Nous conseillons aux femmes enceintes inactives de débuter progressivement une activité physique telle la marche ou la natation. Nous suggérons de commencer par 15 minutes à raison de 3x/semaine et d’augmenter graduellement afin d’atteindre un objectif minimal de 30 minutes à raison de 4x/semaine.
Pour l’intensité de l’exercice, vous devriez être en mesure de pouvoir tenir une conversation pendant la durée totale de l’exercice.
Vous aimeriez obtenir plus d’informations concernant l’activité physique chez la femme enceinte? N’hésitez pas à consulter une spécialiste de La Clinique de Santé Pelvienne de PCN.
Parce que vos objectifs sont aussi les nôtres!
Probablement pas… Même si vous avez pratiqué d’autres sports durant l’été et que votre système cardiovasculaire et vos muscles sont entraînés, il faut savoir que votre corps a besoin d’une période d’adaptation lorsque vous recommencez un sport qui a été délaissé pendant plusieurs mois.
Le truc? D’abord et avant tout, nos physiothérapeutes conseillent d’écouter votre corps. Nous le savons, cela est bien plus facile à dire qu’à faire! En tant que sportifs passionnés et performants, il est souvent très difficile de faire des entraînements ou des sorties plus courtes et moins intenses en début de saison. Pourtant, il faut savoir que c’est la clé du succès!
Alors, lorsque vous verrez de la neige par la fenêtre et que vous vous précipiterez sur la patinoire, les sentiers ou la montagne; pensez PROGRESSION. Commencez par une courte sortie de 15 à 20 minutes afin d’adapter votre corps à l’équipement ainsi qu’aux mouvements, qui disons le, étaient rangés un peu loin dans votre mémoire. Par la suite, effectuez une augmentation progressive du temps et de l’intensité tout en écoutant votre corps. Vous retrouverez ainsi très vite votre forme de l’hiver dernier tout en évitant les blessures!
Enfin, pour ceux qui ne pourront s’empêcher de faire 13 tours de patin en moins de dix minutes lors du premier entraînement de l’hiver et qu’une douleur se manifestera… Nous sommes là!
Parce que vos objectifs sont aussi les nôtres!
On choisit de mettre de la glace principalement dans le but de diminuer une douleur locale. On peut utiliser un sac de glaces concassées ou de légumes congelés recouvert d’un linge humide, ou même de la neige!
Il est préférable d’utiliser la chaleur dans le cas de raideur ou d’ankylose. Ce procédé diminue la douleur et les tensions musculaires et augmente la mobilité. On peut utiliser une compresse de type « Sac Magique », un coussin électrique ou un bain chaud.
Plus d’infos:
Enfin, lorsque survient une blessure, ne vous contentez pas de diminuer votre douleur temporairement avec de la glace ou de la chaleur: consultez-nous.
Parce que vos objectifs sont aussi les nôtres!