
La saison vient à peine de débuter et votre enfant est déjà prêt à atteindre ses objectifs sportifs. L’équipe de PCN offre au parfait parent de sportif ses meilleurs conseils afin d’accompagner le jeune athlète vers une saison en pleine santé!
Également appelée traumatisme crânien cérébral léger (TCCL), la commotion cérébrale survient à la suite d’un impact au corps ou à la tête, engendrant une onde de choc au cerveau. Le cerveau est alors secoué dans la boîte crânienne, ce qui cause un mauvais fonctionnement temporaire aux cellules cérébrales.
La commotion cérébrale peut être causée par un impact direct (coup à la tête) ou indirect, (chute sur les fesses).
Voici ce que vous pourriez observer chez votre enfant suite à cet impact, immédiatement ou jusqu’à quelques jours après l’incident:
En présence d’un ou de plusieurs de ces signes et symptômes, il est primordial de retirer votre enfant du sport, de le garder au repos pour un minimum de 24 heures* et de consulter un professionnel qui saura vous guider pour une prise en charge optimale.
Consultez un professionel de PCN expert en commotion cérébrale.
* Si vous remarquez un changement de comportement, une aggravation des symptômes, des vomissements, des maux de tête qui s’aggravent, un dédoublement de la vision ou une somnolence excessive, rendez-vous immédiatement aux urgences.
Voici enfin la réponse!
1- Utilisez la glace dans le but de diminuer une douleur locale, à la suite d’un traumatisme (un coup ou une chute par exemple). Vous pouvez utiliser un sac de glaces concassées, de légumes congelés ou même de la neige, recouvert d’un linge humide, que vous appliquez directement sur la région blessée.
2- Utilisez la chaleur lorsqu’il y a présence d’une raideur ou d’une limitation de mobilité quelques jours après un exercice excessif. Par la dilatation des vaisseaux sanguins, la chaleur diminue les tensions musculaires et augmente la mobilité. Vous pouvez utiliser une compresse de type Sac Magique, un coussin électrique ou un bain chaud.
Le temps d’application? Quinze (15) minutes à tous les deux heures.
N’oubliez pas de surveiller la peau de votre enfant afin d’éviter les engelures et les brûlures.
1- Prévoir au moins deux (2) heures pour la digestion d’un repas et trente (30) minutes pour la digestion d’une collation avant d’effectuer une activité intense.
2- Si votre enfant a faim dans l’heure (1) précédant l’activité, une petite collation riche en glucides et faible en fibres alimentaires est suggérée pour une meilleure digestion. Une compote de pommes, une barre tendre, un smoothie, sont de bons exemples. Recette de barre tendre maison.
3- En plus de contenir des glucides, la collation prise une (1) à deux (2) heures avant l’activité peut contenir une petite quantité de protéines, par exemple: un fruit entier, un muffin maison, etc.
4- Un repas léger peut être pris de deux (2) à trois (3) heures précédant l’activité. Ce repas devrait contenir des glucides et une faible portion de protéines.
5- Lorsque le délai est de plus de trois (3) heures avant l’activité, votre enfant peut manger un repas complet.
6- Dans le cas des entraînements matinaux, il se peut que votre enfant n’ait pas faim. Il est tout de même important qu’il prenne au minimum une petite collation avant l’activité. Il pourra manger un repas complet à la suite de l’entraînement.
7- En ce qui concerne l’hydratation, notez que la perte en eau de votre enfant est plus grande lorsqu’il pratique une activité physique que lorsqu’il est sédentaire. Son besoin en eau est donc grandement influencé par plusieurs facteurs tels que son physique, son degré de sudation et la température ambiante. L’important est qu’il soit bien hydraté dès le début de l’activité et qu’il s’hydrate selon sa soif pendant et après. La sensation de soif est un bon indicateur. Il est donc important d’être à l’écoute!
Consulter un nutritionniste de PCN.
Le parfait parent de sportif devrait penser à consulter un physiothérapeute avec son enfant dans les cas suivants:
En cas de doute, il est préférable de cesser la pratique de l’activité sportive et de prendre un rendez-vous en physiothérapie. Lors de la première rencontre, le professionnel sera en mesure de vous guider afin que votre enfant puisse retourner à son sport rapidement et en pleine santé!
Bonne nouvelle: la consultation en physiothérapiee se fait en accès direct et ne nécessite pas de référence d’un médecin!
Planifiez une rencontre d’évaluation personnalisée avec un physiothérapeute expert dans le sport pratiqué par votre enfant.